Fermons l’élevage de chiens de Mézilles

Fermons l’élevage de chiens de Mézilles

Fermons l’élevage de chiens de Mézilles
Expérimentation animale
Fermons l’élevage de chiens de Mézilles
Le nombre de chiens expérimentés en France augmente.
La situation
Le nombre de chiens expérimentés en France augmente.

La législation européenne commande de réduire et remplacer les expériences faites sur les animaux

À l’attention du Préfet de l’Yonne

Le nombre de chiens expérimentés en France augmente, alors même que la législation européenne commande de réduire et remplacer les expériences faites sur les animaux, au bénéfice de méthodes substitutives, plus fiables et moins onéreuses.

Les chiens sont parmi les animaux les plus protégés en France, grâce à leur statut d’animaux de compagnie. Que subissent alors les autres animaux: singes, lapins, hamsters, souris… sur les paillasses des laboratoires?

« L’élevage des Souches » à Mézilles semble vouloir régulariser l’augmentation de sa « capacité d’accueil » puisque, d’après les informations de l’enquête publique, les limites sont largement dépassées. Selon les chiffres à disposition, c’est pourtant déjà le plus gros élevage du pays à fournir les centres d’expérimentation animale.

Elevage et expériences, c’est souffrance sur souffrance!

Les chiennes sont considérées comme des « reproductrices », leurs petits sont séparés d’elles, et toutes et tous sont finalement vendus et envoyés vivants ou morts, entiers ou en morceaux (organes, sang…), en camionnette plusieurs fois par semaine vers les laboratoires. Ces êtres hautement sociaux et sensibles n’auront jamais connu la chaleur d’un foyer aimant.

Aux côtés de l’association One Voice, nous demandons la fermeture de cet élevage de chiens Beagle et Golden Retriever destinés aux laboratoires qui effectuent sur eux des expériences traumatisantes et douloureuses.

Consultez le site chiens-de-labo.fr

 

Nos articles sur le Centre d’Elevage du Domaine des Souches :

5 mars 2018 Nos compagnons chiens et chats torturés dans les laboratoires !

19 avril 2018 Toujours plus de chiens fournis aux labos… Fermons l’élevage au lieu de l’agrandir!

7 juin 2018 Élevage intensif de chiens pour les laboratoires: One Voice porte plainte!

14 juin 2018 L’élevage de chiens de Mézilles veut nous faire taire.

15 juin 2018 Retour sur le constat d’huissier à Mézilles : entre confinement et reproduction intensive des chiens (vidéo)

12 septembre 2018 Une première victoire pour les beagles et les golden retrievers enfermés à Mézilles!

5 décembre 2018 À Mézilles, élevage et Etat font la paire contre les chiens

15 février 2019 Expérimentation animale: One Voice défend ses preuves contre l’élevage de chiens à la cour d’appel de Paris

21 mars 2019 Elevage de chiens pour l’expérimentation animale : la consternante décision de la cour d’appel

9 mai 2019 Mézilles: nouvelle audience et rassemblement pour les chiens

10 septembre 2019 Victoire détonante contre l’élevage de Mézilles

 

Avec le soutien de LAV, IBT, Djurens Rätt, ONG ADDA, Aerzte gegen Tierversuche e.V. Društvo DZZŽ, Forsøgsdyrenes Værn :

 

Sauvons les félins captifs dans les cirques

Sauvons les félins captifs dans les cirques

Sauvons les félins captifs dans les cirques
Cirque
Sauvons les félins captifs dans les cirques
Les cirques: zones de non-droit pour tous les animaux.
La situation
Les cirques: zones de non-droit pour tous les animaux.

Rester assis sur un tabouret, faire le beau, recevoir des coups de fouets…

Son nom de « bête de cirque » est Nal (ou Nale). Nous avions choisi de lui donner un nom de lion libre, un nom solaire: Elyo. En ce mois de juin 2019, il a été placé dans un «zoo-refuge» : La Tanière. Cela n’en reste pas moins une belle et grande victoire. Que les autorités feignent de faire comme si de rien n’était, ça n’y changera rien: l’obscurité du camion vide, pour Elyo, c’est terminé!

 

Les cirques sont des zones de non-droit pour tous les animaux qui y sont captifs et en particulier pour les félins.

Nés ou non dans une cage, ils sont les mêmes, des animaux sauvages, des prédateurs, y compris pour les humains. Rester assis sur un tabouret, faire le beau, recevoir des coups de fouets… cela n’a rien de naturel pour eux ! Dans les cirques, lions et tigres ne peuvent jamais être eux-mêmes. Ils ont besoin d’espace à parcourir et à explorer. Mais les cirques ne leur offrent qu’une cage vide à l’arrière d’un camion. Ils ont besoin de silence, de lieux où se cacher. Mais le cirque ne leur offre que le tohu-bohu, l’exhibition permanente.

Les lions ont besoin de vivre en famille.  Mais certains, comme sont dans l’isolement complet.

Les tigres ont besoin de solitude. Mais le cirque les contraint à la promiscuité, y compris avec d’autres espèces.

Les femelles enceintes ont besoin de repos. Mais le cirque les oblige à participer au spectacle jusqu’au bout. Naissances, décès et échanges ne sont même pas toujours déclarés !

Le stress de ces situations les rend fous. Ils font les cent pas, s’agressent les uns les autres, s’automutilent… Leur système immunitaire faiblit, ils tombent malades, leurs blessures cicatrisent mal. Ils étouffent et se meurent lentement de la captivité.

Voilà ce que vivait Elyo au quotidien! Nous avons obtenu un constat officiel, en présence de l’un de nos vétérinaires consultants. Ses conclusions sont sans surprise : Elyo s’est blessé aux pattes et à la face parce qu’il ne supporte pas ses conditions de captivité et il doit être placé !

Nous soussignés, réclamons que tous les félins des cirques soient libérés et confiés à l’association One Voice qui les placera dans des sanctuaires.

Sauvons Jumbo !

Sauvons Jumbo !

Sauvons Jumbo !
Cirque
Sauvons Jumbo !
Depuis 30 ans, sa vie est un enfer.
La situation
Depuis 30 ans, sa vie est un enfer.

Ses besoins fondamentaux sont niés de bout en bout.

Depuis 30 ans, la vie de l’hippopotame Jumbo est un enfer.

Lui qui devrait vivre et communiquer avec son troupeau en permanence, entouré d’une dizaine de femelles, est enfermé, désespérément seul, dans un camion.

Lui qui devrait passer ses journées dans l’eau, y plonger longtemps, dont le corps tout entier est fait pour ce mode de vie semi aquatique, doit supporter la pesanteur en continu et se contenter de l’eau dont on l’asperge depuis un tuyau d’arrosage.

Lui qui pourrait courir jusqu’à 30km/h, ne peut que piétiner sur quelques mètres, durant les 30mn où on le sort du camion pour l’exhiber au public.

Lui qui devrait brouter, la nuit, jusqu’à 68kg de nourriture, est nourri la journée de foin et de céréales pour chevaux.

L’existence de Jumbo n’a rien d’une vie d’hippopotame. Ses besoins fondamentaux sont niés de bout en bout.

Pour lui, nous soussignés, soutenons la demande de One Voice qu’il soit libéré du cirque qui le détient et placé dans un sanctuaire où ses besoins physiologiques et comportementaux seront respectés.

Nos articles sur Jumbo :

Il faut sauver Jumbo (vidéo)

Jumbo, un hippopotame au fond du gouffre

Nos actions juridiques en cours pour libérer des cirques les animaux sauvages

Jumbo a besoin de nous

Jumbo: un sauvetage en ballotage

Après les tentatives de saisie de l’hippopotame Jumbo, One Voice ne lâche rien

Procès du cirque pour mauvais traitements sur Jumbo: une première!

Jumbo: en attendant que justice se fasse

Une nouvelle plainte pour Jumbo

Audience contre le préfet de la Drôme pour faire libérer Jumbo du cirque !

Pour Jumbo et tous les animaux «de cirque»: le scandaleux courrier, qui en dit long… 

Face au cirque, le combat continue coûte que coûte pour Jumbo !

Jumbo enchaîné à vie : le Cirque Muller obtient un certificat de capacité définitif

La justice vole au secours du Cirque Muller contre Jumbo et nous

Chasse des blaireaux, l’enfer sous terre

Chasse des blaireaux, l’enfer sous terre

Chasse des blaireaux, l’enfer sous terre
Chasse
Chasse des blaireaux, l’enfer sous terre
Infiltration à hauts risques dans le milieu fermé de la vénerie sous terre.
La situation
Infiltration à hauts risques dans le milieu fermé de la vénerie sous terre.

Fermons l’abattoir de Sobeval

Fermons l’abattoir de Sobeval

Fermons l’abattoir de Sobeval
Cuir
Fermons l’abattoir de Sobeval
À l’abattoir de Sobeval en Dordogne, plus de 500 veaux sont tués chaque jour.
La situation
À l’abattoir de Sobeval en Dordogne, plus de 500 veaux sont tués chaque jour.

Déchargés brutalement des camions, manipulés comme des paquets, battus…

Certains ouvrent les yeux et semblent reprendre conscience après le coup de pistolet du tueur et avant le couteau. Les cadences font de l’égorgement de ces tout-petits une horreur indescriptible.

 

Et tout ça pourquoi ? Pour fournir de la viande de veau dont la société Sobeval propose des recettes festives sur sa page Facebook, et surtout du cuir à l’industrie du luxe.

 

 

Les coulisses du cuir de veau, le luxe à la française from One Voice on Vimeo.

One Voice dépose plainte pour mauvais traitements commis par un professionnel, qui constituent un délit. Pourquoi n’y a-t-il toujours pas de caméras dans les abattoirs ? Comment l’industrie du luxe peut-elle encore cautionner ces atrocités quand il existe tant de matières innovantes et raffinées pour remplacer la peau de ces bébés ?

Nous soussignés demandons la fermeture de l’abattoir de Sobeval.

 

 

Expérimentation sur les microcèbes: non!

Expérimentation sur les microcèbes: non!

Expérimentation sur les microcèbes: non!
Expérimentation animale
Expérimentation sur les microcèbes: non!
Le Muséum national d’Histoire naturelle dispose du plus gros élevage de ces minuscules primates.
La situation
Le Muséum national d’Histoire naturelle dispose du plus gros élevage de ces minuscules primates.

Il les exploite  pour l’expérimentation et la vente pour d’autres laboratoires partout dans le monde.

À l’attention du Préfet de l’Essonne

Avec près de cinq cents individus, le Muséum national d’Histoire naturelle dispose du plus gros élevage de microcèbes mignons au monde. Il exploite ces primates aux grands yeux, dont l’espèce vient de Madagascar, pour l’expérimentation et la vente pour d’autres laboratoires partout dans le monde

Ces lémuriens du MNHN, dont l’annexe est située à Brunoy, pèsent une soixantaine de grammes chacun et sont aussi maniables que des souris. Mais leur code génétique laisse à penser que les résultats des des recherches seront plus facilement transposables à l’espèce humaine… Des recherches qui concernent surtout le fonctionnement du système nerveux et des hormones, notamment en lien avec la digestion, et qui font endurer des souffrances parfois sévères à ces petits primates.

Tous seront euthanasiés ou carrément décapités par la suite, leurs corps autopsiés, échantillonnés et envoyés pour analyse post-mortem.

One Voice a écrit au président du MNHN, au directeur de la DDPP de l’Essonne ainsi qu’à la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, afin de savoir exactement ce qui se passait pour les microcèbes sur les paillasses de l’annexe du Muséum national d’Histoire naturelle à Brunoy. Nous avons ainsi pu apprendre que l’établissement où sont détenus les microcèbes a enfreint la loi pendant des années, et nous attendons encore les preuves de sa régularisation. En 2021, une simple peinture écaillée sur un plafond de la salle de détention, à force de négligence depuis des années, était devenue un ensemble de plaques de moisissure noire. Sans même parler de l’expérimentation elle-même, comment imaginer que le Muséum puisse fournir des conditions de vie acceptables aux microcèbes, alors qu’il a prouvé son incapacité chronique à respecter la réglementation ?

À vrai dire, même s’il s’adaptait aux normes, le rôle du Muséum ne devrait pas être de faire souffrir les animaux, mais de les protéger !

Je soussigné·e, demande aux côtés de One Voice que les tests sur les microcèbes mignons menés par le Muséum national d’Histoire naturelle cessent. Je demande également l’arrêt de leur livraison dans des laboratoires et la fermeture de cet élevage pour l’expérimentation animale.

Edit au 5.10.21 : suppression d’une erreur sur les températures.

Chiens «de chasse» : à protéger, comme les autres!

Chiens «de chasse» : à protéger, comme les autres!

Chiens «de chasse» : à protéger, comme les autres!
Chasse
Chiens «de chasse» : à protéger, comme les autres!
Les chiens utilisés à la chasse considérés comme des outils, ça suffit!
La situation
Les chiens utilisés à la chasse considérés comme des outils, ça suffit!

Nous demandons que les chiens de chasse soient traités comme les autres chiens.

La législation ne fait pas de différence entre les chiens de chasse et les autres. Pourtant, dans les faits, ils doivent souvent dormir dehors et reçoivent peu d’attention. Lors de la chasse, ils ne peuvent quasiment pas boire, sont souvent sous-alimentés, brutalisés, enfermés longtemps dans des coffres et leurs soins sont bâclés. Nombreux sont ceux qui se perdent et errent dans les bois sur des kilomètres avant d’être secourus, ou retrouvés morts.

Quand des affaires judiciaires les concernent, ils doivent autant être traités en victimes que les autres chiens par les autorités enquêtrices. Trop souvent, la fonction qui leur a été attribuée change le regard porté sur eux, et donc les peines prononcées.

Quand ceux qui les maltraitent sont des chasseurs, nous demandons que ces derniers soient sanctionnés comme les autres citoyens. Et de manière générale, que cessent les passe-droits dont bénéficient les chasseurs, en particulier sur leurs chiens.

Les chiens utilisés à la chasse considérés comme des outils, ça suffit ! Ce sont des êtres sentients, pas des robots dont on se débarrasse dès qu’ils ne sont plus performants.

Je soussigné.e, demande, avec One Voice : l’arrêt des passe-droits des chasseurs, que les chiens de chasse bénéficient du même traitement et des mêmes protections que les chiens choisis pour être aimés au sein d’un foyer, comme la loi le prévoit.

Fermons les élevages d’animaux sauvages !

Fermons les élevages d’animaux sauvages !

Fermons les élevages d’animaux sauvages !
Chasse
Fermons les élevages d’animaux sauvages !
Chasse ou abattoirs : faisons fermer ces élevages.
La situation
Chasse ou abattoirs : faisons fermer ces élevages.

Dans notre pays, quand les animaux sauvages sont libres, ils sont massacrés sous couvert de « régulation » pour le « loisir » de certains.

La législation ne les protège pas. D’autres animaux sauvages, eux, naissent captifs, et leur sort n’est guère différent : ils seront relâchés pour des parties de chasse ou envoyés à l’abattoir. En voici la carte des élevages officiels.

Il existe de nombreux élevages, partout sur notre territoire. Sangliers, cerfs, perdrix, faisans… Ils servent d’excuse aux chasseurs qui crient à qui mieux mieux qu’ils repeuplent et régulent quand il suffirait de laisser la nature agir. Ils approvisionnent aussi les parcs privés de chasseurs en enclos, les étagères d’épiceries et des restaurants.

Dès qu’un animal est considéré comme du gibier, l’arsenal législatif se déploie pour autoriser autant de dérogations qu’il y a de cas, permettant de le mettre à mort de toutes les manières possibles. Piégé, traqué, élevé et envoyé à l’abattoir… C’est inadmissible.

Nous, soussignés, demandons la disparition des élevages d’animaux sauvages destinés à la chasse ou l’abattoir !

Abattages dans les fourrières !

Abattages dans les fourrières !

Abattages dans les fourrières !
Errance féline
Abattages dans les fourrières!
Pour la fin de l’omerta et des abattages dans les fourrières.
La situation
Pour la fin de l’omerta et des abattages dans les fourrières.

Les enquêtes de One Voice dans les fourrières en France y ont révélé des problèmes fondamentaux.

Les fourrières en France sont un service public financé par le contribuable, et chargées de la gestion des déchets. Les chiens et les chats trouvés hors de leur domicile sont donc potentiellement considérés comme tels. Ainsi, chacun d’entre nous paye pour que des chiens et des chats soient abattus, la plupart en parfaite santé.

Quand un animal est récupéré par une fourrière, sa famille est contactée s’il est identifié. Sinon, il est placé en quarantaine et au bout d’un délai de huit jours ouvrés, ces structures (privées ou associatives) peuvent procéder à son abattage. Rares sont ceux qui trouvent une place en refuge en vue d’être adoptés : les animaux étant trop nombreux, les refuges se trouvent chroniquement surpeuplés.

Les enquêtes de One Voice dans les fourrières en France y ont révélé des problèmes fondamentaux. Les animaux sont « stockés » dans des locaux sordides. Les procédures liées aux soins sont quasi inexistantes, les maltraitances volontaires ou par négligence sont monnaie courante, les abattages innombrables…

Ces mises à mort (faussement appelées euthanasies) sont cachées au public qui ignore l’ampleur du problème et peut prendre la stérilisation et l’identification des animaux à la légère. Par exemple, quand une fourrière cherche l’humain d’un animal, elle devrait indiquer à quelle date l’animal sera tué. Les faits doivent être connus de tous !

Quand l’essentiel des chiens retrouvent leur maison ou une place en refuge, les chats, eux, pour la plupart sans abri ni famille, sont abattus en masse et sans ménagement. Pourquoi ? Les chats ne sont pas systématiquement identifiés ni stérilisés ;beaucoup moins que les chiens. Le nombre de leurs abandons est abyssal et leurs portées fréquentes et nombreuses. Dans nos rues comme à la campagne, il y aurait ainsi plus de 11 millions de chats errants. Les conséquences sont terribles, pour ces individus comme pour la biodiversité.

Je soussigné.e, soutiens la campagne de One Voice sur les fourrières :

  • Pour un plan d’urgence contre l’errance des chats, imposant leur stérilisation obligatoire (sauf LOOF) ;
  • Pour un meilleur contrôle des identifications et des stérilisations, associé à de réelles sanctions en cas de manquement ;
  • Pour que les animaux familiers soient soignés dans des conditions décentes dans les fourrières, à la hauteur de la protection dont ils bénéficient dans la loi ;
  • Pour une publication systématique, avant chaque « euthanasie », de la photo et des informations sur l’animal concerné,ainsi que de la date à laquelle l’abattage est prévu ;
  • Pour la transparence, enfin ! Avec la création d’un registre national à jour. Pour chaque fourrière, publique ou privée : les entrées, soins, sorties, précisant de manière détaillée s’il s’agit d’une adoption, d’une euthanasie pour cause de maladie (avec attestation signée d’un vétérinaire décrivant l’affection et les soins prodigués pour guérir l’animal) ou d’une mise à mort pour une autre cause ; le tout consultable par les contribuables.

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires
Expérimentation animale
Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires
Chaque année, des milliers de primates sont utilisés dans les laboratoires français.
La situation
Chaque année, des milliers de primates sont utilisés dans les laboratoires français.

Ce sont des babouins, des vervets, des microcèbes, des ouistitis, des singes-écureuils, mais aussi et surtout des macaques. Parmi eux, les macaques à longue queue sont les plus vulnérables.

À l’attention : du ministère de la Recherche, du ministère de l’Agriculture, du FC3R, du Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale et de Silabe / Université de Strasbourg

Encore aujourd’hui, des individus sont capturés dans leur milieu naturel pour approvisionner les élevages qui vendront leurs petits à des laboratoires du monde entier. Alors que les organismes internationaux lançaient déjà l’alerte sur ces pratiques il y a vingt ans, les pratiques n’ont pas changé et cette espèce a été déclarée « en danger » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) en 2022.

La plupart des macaques à longue queue utilisés en France proviennent de ces élevages de l’île Maurice et du Vietnam (et dans une moindre mesure, du Cambodge ou d’Indonésie). Beaucoup transitent par le centre de primatologie Silabe, à l’université de Strasbourg, qui est au cœur du commerce européen de ces animaux.

Dans les laboratoires, ceux-ci endurent des souffrances variées : prélèvements divers, implants crâniens, restriction hydrique, « chaises de contention » dans lesquelles ils peuvent à peine bouger… Tout cela est inacceptable !

Je soussigné·e, demande avec One Voice :

  • que le centre de primatologie Silabe et l’université de Strasbourg s’engagent à ne plus importer de macaques à longue queue et à cesser leur commerce ;
  • que les autorités nationales prennent leurs responsabilités et mettent en place les mesures appropriées pour en finir avec l’importation, le commerce et l’utilisation de macaques à longue queue en France et dans l’Union européenne.