INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL

INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL

INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL
INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL

Destinataire(s) : Ministère de l’Agriculture

A la foire de Maurs, depuis près de 50 ans, sont vendus les chevaux devenus inutiles à l’exploitation humaine.

Issus d’élevages pour l’alimentation, pour la compagnie, de centres équestres, de clubs hippiques, de travail de traie, ou derrière une calèche, tous les chevaux, juments, pouliches ou poulains qui se retrouvent dans les enclos minuscules de Maurs sont envoyés à l’abattoir.

Effrayés par les cris et les coups de batons, portés sur les flancs, sur le cou, sur la tête près des yeux, ils ont beau tenter de se sauver, de chercher une issue, rien n’a faire ils sont pris au piège. 

L’investigation des Sans Voix d’Eden de 2019 fait écho de celle de One Voice en 2006. Rien n’a changé, les images ne montrent pas des actes de cruauté exceptionnels, mais bel et bien un système qui se répète d’année en année.
Les coups pleuvent sur les chevaux apeurés, incapables se se défendre et mener à la mort sans aucune merci.

Nous soussignés soutenons la demande des Sans Voix d’Eden et de One Voice que soit donné le statut d’animal familier aux chevaux, au même titre que les chiens et les chats.

UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX

UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX

UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX
UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX

Destinataire(s) : Barbara Pompili (Ex Ministre de la Transition écologique )

Samba est une orpheline, violemment capturée petite, comme les autres éléphantes détenues dans les cirques qui sillonnent les routes de France.

Pendant des années, jour après jour, elle a été forcée de simuler sa propre mort, sous un faux coup de fusil du dresseur et ces mots : « Samba est condamnée à la peine de mort!». En 2003, sous la pression de notre campagne, le dresseur changea le nom de Samba en la renommant Tania.

Rouée de coups si elle ne s’exécutait pas, elle décida de s’échapper, un jour de 2013 où le dresseur avait oublié de l’enchaîner. Dans sa fuite, elle bouscula un vieil homme à qui la chute fut fatale. La justice la laissera dans le cirque…

One Voice continue de réunir des preuves de ces conditions de vie, et reprend de plus belle les procédures en justice pour elle.

Je soussigné.e soutiens la demande de One Voice pour que Samba soit libérée de cette exploitation, de l’isolement et de la captivité qui la tuent à petit feu, et qu’elle soit confiée à l’association qui la transférera dans un sanctuaire partenaire, loin du dressage, des camions, du bitume, de la peur, de la solitude, et de l’ennui…

AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE

AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE

AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE
AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE

7 ans après notre enquête, nouvelle infiltration dans l’une des écoles taurines françaises

UNE ACTIVITÉ EXTRASCOLAIRE COMME UNE AUTRE ?
​Nos enquêteurs se sont rendus une nouvelle fois dans l’une des écoles taurines de France, et ils ont pu assister à des mises à mort de taureaux si jeunes qu’il s’agit presque de veaux.

Sept ans après notre enquête à l’école de Nîmes, nous demandons l’interdiction de ces « centre de formations » pour les mineurs, l’interdiction de l’accès aux mineurs à ces « spectacles », l’interdiction de blesser les taureaux, et bien entendu de les mettre à mort…

Lire notre article

ERRANCE FÉLINE EN FRANCE : IL FAUT UN PLAN NATIONAL D’URGENCE ! #URGENCEERRANCEFÉLINE

ERRANCE FÉLINE EN FRANCE : IL FAUT UN PLAN NATIONAL D’URGENCE ! #URGENCEERRANCEFÉLINE

ERRANCE FÉLINE EN FRANCE : IL FAUT UN PLAN NATIONAL D’URGENCE ! #URGENCEERRANCEFÉLINE
ERRANCE FÉLINE EN FRANCE : IL FAUT UN PLAN NATIONAL D’URGENCE ! #URGENCEERRANCEFÉLINE

Destinataire(s) : Emmanuel Macron (Président de la République) 

11 millions de chats vivent sans abri en France, et ils sont tués par dizaines de milliers chaque année… Cela ne peut plus durer. L’errance est un problème d’ordre public qui est non seulement cause de maltraitances, mais aussi de nuisances environnementales et sanitaires.

Pour les félins sans famille, il faut un plan national d’urgence !

Il y a ceux qui sont jetés à la rue, mais aussi ceux qui y naissentUne seule chatte non stérilisée et ses filles peuvent donner naissance à plus de 10000 chatons en 7 ans !

Les enquêtes de One Voice montrent ce que les chats errants endurent au quotidien, celle qui vient de paraitre ne fait pas exception. Nos refuges partenaires témoignent du nombre sans cesse grandissant de chats et chatons qu’ils doivent prendre en charge. Ils n’en peuvent plus, ils débordent depuis longtemps et la situation ne cesse d’aggraver !

L’origine de cette situation est clairement identifiée : il y a trop de naissances incontrôlées et une pernicieuse commercialisation des chatons par des particuliers qui génèrent de nombreux abandons et alimentent l’errance.

L’obligation d’identification actuellement en vigueur n’est pas appliquée et de nombreux maires, qui ont pourtant l’obligation d’assurer la gestion des populations de chats libres sur leur commune, ne le font pas correctement: « Les chats non identifiés, sans propriétaire ou sans détenteur, vivant en groupe, dans des lieux publics, sur le territoire d’une commune (…) ne peuvent être conduits en fourrière que dans la mesure où le programme d’identification et de stérilisation (…) ne peut être mis en œuvre ». (annexe de l’arrêté du 3 avril 2014)

Demandons, aux côtés de One Voice, la mise en place d’un plan national de lutte contre l’errance féline en France, avec notamment : 

  • la création obligatoire d’un lieu de vie pour les chats libres dans chaque commune, dont le recensement et le suivi sanitaire seront confiés par la mairie à une association de protection animale ;
  • la stérilisation obligatoire de tous les chats âgés de 6 mois ou plus, à peine de sanction pénale à l’exception des chats inscrits au LOOF n’ayant pas accès à l’extérieur ;
  • l’interdiction des cessions, gratuites ou onéreuses, des chats par petites annonces de particuliers et par les animaleries, dans les foires et salons d’animaux de compagnie, à peine de sanction pénale.

 

Avec le soutien de: Le collectif chats 100% stérilisation obligatoire

Yulin : Stop à la fête du martyre animal !

Yulin : Stop à la fête du martyre animal !

Yulin : Stop à la fête du martyre animal !
YULIN: STOP À LA FÊTE DU MARTYRE ANIMAL !

Destinataire(s) : Monsieur l’Ambassadeur de Chine en France

À Yulin, en Chine, tous les ans, des dizaines de milliers de chiens et de chats sont massacrés et consommés au cours d’un grand festival.

Cette année encore, les associations locales estiment que 40 000 chiens et 10 000 chats vont souffrir et être mis à mort pour finir dans les assiettes.

La mobilisation internationale s’amplifie et partout dans le monde, les pétitions se multiplient, montrant clairement qu’il est temps de mettre un terme à cet événement cruel !

Nous, citoyens français, demandons l’arrêt du massacre des chiens et des chats lors du Festival de Yulin.

Nous, citoyens français, ne pouvons cautionner que la Chine assassine ceux qui sont les mêmes compagnons ici ou là-bas. Chiens et chats n’ont pas leur place dans une assiette mais au sein d’un foyer… Là commence le respect auquel tous les animaux ont droit, quels qu’ils soient !

Ecoutez la communauté internationale, écoutez la France : stoppez le massacre du festival de Yulin !

MADAME LA MINISTRE, AGISSEZ POUR LES #DAUPHINS

MADAME LA MINISTRE, AGISSEZ POUR LES #DAUPHINS

MADAME LA MINISTRE, AGISSEZ POUR LES #DAUPHINS
MADAME LA MINISTRE, AGISSEZ POUR LES #DAUPHINS

Barbara Pompili (Ex Ministre de la Transition écologique ) 

Suite à la décision du Conseil d’Etat du lundi 29 janvier 2018 d’annuler l’arrêté du 3 mai 2017, dit « delphinarium », nous demandons au Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire d’adopter un nouvel arrêté, interdisant la reproduction et la détention de tout nouveau cétacé et prévoyant l’agrandissement des bassins pour les animaux encore captifs.

La justification de la décision du Conseil d’Etat est que seules deux consultations publiques au lieu de trois ont été mises en œuvre avant la signature du ministère de l’Ecologie de l’époque. Pourtant, les deux consultations allaient dans le même sens: celui de l’intérêt des animaux, pas des industriels du secteur. Le fond n’a pas été remis en cause par le Conseil d’Etat, mais bien la forme uniquement! 

Les dauphins et les orques souffrent énormément de la captivité. En bassins bétonnés, ces nageurs hors pair sont privés de tout : vie sociale, plongeons, courses sur des kilomètres. Et le stress de l’ennui profond qu’ils endurent jour après jour a des conséquences sur leur santé !

Pétition soutenue par: Arthur Guérin Boëri, Apnéiste français, Quintuple Champion du monde d’apnée, Recordman du Monde

Hurlements en musique pour les lapins angoras de France

Hurlements en musique pour les lapins angoras de France

Hurlements en musique pour les lapins angoras de France
Hurlements en musique pour les lapins angoras de France
Une fois de plus, nous sommes obligés de publier des images révoltantes pour dénoncer la violence de l’élevage et de l’exploitation des lapins angoras.

Stop Angora

En 2020, la méthode usuelle pour récolter leur «laine» est toujours de les attacher par les pattes à une planche, les étirer pour qu’ils ne puissent plus bouger, et leur arracher la quasi-intégralité des poils par poignées.
Nous avons déposé plainte auprès de la Cour européenne de justice, à la suite de la décision du Conseil d’État de maintenir cette méthode.

Après avoir entendu les cris stridents des lapins se faire épiler à vif lors de notre première enquête sous infiltration en 2016, après les images révélées en 2018 et celles de cette année, on ne peut que s’indigner une fois de plus de l’aveuglement et du silence assourdissant de nos autorités. Lors de notre recours devant le Conseil d’État, les services du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation avaient assuré que le processus de la « dépilation » était non invasif. Ils avaient maintenu la légalité de celui-ci, se basant sur les conclusions d’un rapport de l’INRA qui s’est avéré n’avoir jamais existé !

Une plainte auprès de l’Europe

 

Parallèlement à de multiples actions menées auprès du public avec notre partenaire PETA France, nous avons décidé de porter plainte auprès de l’Europe, car cela ne peut plus durer. Les cris glaçants de ces lapins à qui l’on arrache les poils sans anesthésie plusieurs fois par an, parfois en leur arrachant des lambeaux de peau, ça suffit !

Notre nouvelle enquête renforce notre détermination à sauver ces lapins

 

Les lapins se débattent à qui mieux mieux, tentant de toutes leurs forces de s’arracher aux liens qui les enserrent. Et quand l’éleveur reprend l’arrachage, ils hurlent tant la terreur et la douleur de l’épilation sont une torture. Dans la nature, les lapins sont des êtres qui n’utilisent leur voix que très exceptionnellement : dans des circonstances de grand danger.

Dans ces lieux de supplice, la plupart des animaux exploités sont des lapines. Les mâles, eux, sont tués peu après leur naissance, car moins étoffés en poils. Seuls sont gardés les plus rentables financièrement parlant, en fonction de la masse de leurs poils, pour la reproduction. Environ 170 lapines sont enfermées à vie dans les clapiers de cet éleveur bien connu, épilées ainsi plusieurs fois par an et tout au long de leur existence, souvent à côté, leurs congénères entendent les cris, en attendant leur tour… Lors de notre infiltration, nous avions même découvert, comble de l’horreur, qu’il vendait les lapines malades à des laboratoires d’expérimentation animale.

Soutenez notre action auprès de la Cour européenne de justice en signant notre pétition !

Vive Fort Boyard sans animaux

Vive Fort Boyard sans animaux

Vive Fort Boyard sans animaux !
Vive Fort Boyard sans animaux !

Victoire !

Les tigres quittent officiellement Fort Boyard et prennent leur retraite !

Un grand merci à tous !

 

Nous soussignés, demandons l’arrêt dans l’émission Fort Boyard de l’utilisation à des fins récréatives des tigres, espèce protégée en voie de disparition dans la nature, et des autres animaux (rats, souris, mygales, serpents, insectes, etc.).

Privés de liberté, détenus et manipulés contre leur gré, ces êtres sentients sont loin de s’amuser, eux !

Myn, Cali et Kanji, les tigres, figures emblématiques de l’émission, subissent le même sort que leurs congénères dans les cirques : violence (privation de liberté), maltraitance (dressage) et esclavage !

Araignées, serpents et scorpions, présentés comme des épouvantails, sont mutilés…Rats et souris, eux aussi utilisés comme repoussoirs, confinés.

Tous, sans exception, sont terrorisés. Peut-on alors parler de divertissement ?

Notre devoir étant de donner aux jeunes générations une vision citoyenne responsable, une telle réification d’êtres vivants et une telle instrumentalisation de la peur qu’ils peuvent provoquer sont intolérables.

Gageons que l’émission Fort Boyard gagnera en dignité et en attractivité en proposant des défis à ses candidats à la hauteur de leur humanité ! Le gain sera d’autant plus valeureux qu’il ne sera pas obtenu sur le dos d’innocentes victimes présentées comme terrifiantes.

VIVE FORT BOYARD SANS ANIMAUX !

Pour en finir avec le test de nage forcée

Pour en finir avec le test de nage forcée

Pour en finir avec le test de nage forcée
Pour en finir avec le test de nage forcée

À l’attention de : ministère de la Recherche, ministère de l’Agriculture, FC3R, Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale, Académie nationale de médecine, Académie vétérinaire de France.

Depuis des dizaines d’années, les laboratoires simulent la dépression chez des rongeurs à coups de chocs électriques ou d’autres méthodes avant de les plonger dans un bocal d’eau. Pendant plusieurs minutes, rats et souris se débattent en vain pour tenter de s’échapper, puis se laissent flotter sans savoir si et quand on viendra les en sortir. Cette pratique cruelle est appelée « test de nage forcée ».

En plus des souffrances injustifiables qu’il fait endurer aux animaux, l’utilité de ce test est largement remise en cause par la littérature scientifique, qui craint qu’il nous détourne de solutions intéressantes contre la dépression. Des entreprises pharmaceutiques et des universités l’abandonnent donc pour privilégier le développement et l’utilisation de méthodes modernes. Mais dans ce domaine, la France est en retard, notamment parce que le développement des méthodes de recherche sans animaux y est encore largement sous-financé.

Avec l’association One Voice, je demande l’interdiction du test de nage forcée et le financement du développement de méthodes de recherche fiables et modernes sur la dépression. Pour l’information du public, je demande également la transparence entière et inconditionnelle sur les pratiques de l’expérimentation animale, notamment en ce qui concerne les images des expériences et les résultats des inspections.

La campagne de One Voice contre le test de nage forcée :

 

Image extraite de Animal research: antidepressants and the forced swim test

Pour Aïcko, Galéo, Inouk, Femke…

Pour Aïcko, Galéo, Inouk, Femke…

Pour Aïcko, Galéo, Inouk, Femke…
Delphinarium
Pour Aïcko, Galéo, Inouk, Femke…
Pour tous les cétacés captifs : fermons les delphinariums!
La situation
Pour tous les cétacés captifs : fermons les delphinariums!

Orques et dauphins, ces créatures merveilleuses faites pour l’immensité de l’océan, ne sont pas des objets de divertissement.

Jusqu’à quand la France tolérera-t-elle l’esclavage sur son territoire ?

Comment, en effet, appeler autrement la détention et l’exploitation de dizaines de cétacés dans des établissements carcéraux pompeusement nommés delphinariums ?

Bien sûr, les chaînes sont absentes, l’ambiance est festive, l’eau turquoise. Les dauphins ont le sourire et les orques éclaboussent malicieusement le public. Tout est fait pour que les esclaves semblent respirer la joie de vivre !

Dénonçons cette mascarade et mettons-y fin !

Est-il nécessaire de rappeler qu’orques et dauphins, ces créatures merveilleuses faites pour l’immensité de l’océan, ne sont pas des objets de divertissement ? Que leur arrachement à leur milieu naturel, la privation de leurs besoins vitaux, tant d’un point de vue psychologique que physique, sont sources de souffrances indicibles ?

One Voice appelle à une mobilisation massive et une pression constante afin que les cétacés captifs soient rendus à leur vraie vie et que cesse enfin cette exploitation de personnes nonhumaines !

Ne les laissons pas tomber ! Exigeons la fermeture des delphinariums et empêchons l’ouverture de nouveaux !

 

« La loi pour la reconquête de la biodiversité a été adoptée sans les amendements sur la fermeture des delphinariums. Le gouvernement français marque une nouvelle fois son désintérêt pour la souffrance des cétacés. Pourtant, la souffrance psychologique des cétacés en captivité les confine à la folie. L’histoire de l’orque Tilikum dans Blackfish l’illustre tragiquement. Les delphinariums séquestrent des mammifères marins et leur imposent des exhibitions forcées pour des raisons commerciales. Ils exercent de mauvais traitements sur les animaux et portent atteinte à la biodiversité. »

Plusieurs pays interdisent déjà ces structures sur leur sol dans un souci de protection des cétacés. Le Chili, la Hongrie, le Costa Rica en 2005, la Suisse en 2012 et enfin l’Inde en 2013.

Il est impensable que la France refuse de prendre en compte ces preuves scientifiques et continue à ignorer la souffrance de ces mammifères marins.

La mort de l’orque Valentin, décédé à l’âge de 19 ans alors qu’il était captif au Marineland d’Antibes, ne doit pas rester vaine.

Nous soussignés, soutenons la demande de One Voice d’interdiction des delphinariums en France et de transfert de tous les cétacés captifs dans des sanctuaires marins, selon les préconisations du Dr Ingrid Visser. L’État français doit libérer les cétacés détenus contre leur volonté, fermer définitivement ces geôles et bloquer tout nouveau projet.