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Communiqué de presse

Ralentissement de la croissance de la population de loups en France : One Voice exige l’arrêt de leur abattage !


Publié le 22 juillet 2020 à 08h00

D’après les derniers chiffres du bilan hivernal du réseau loup-lynx de l’OFB, la croissance de la population des loups en France ralentit. Et leurs territoires au niveau géographique ne se sont pas étendus. One Voice vient d’écrire lundi 20 juillet 2020 un courrier à Barbara Pompili pour demander la suspension en urgence des tirs sur les loups. Par ailleurs l’association de défense des animaux a attaqué devant le Conseil d’État les arrêtés expérimentaux du 26 juillet et du 30 décembre 2019 permettant d’augmenter le nombre des dérogations à leur abattage tout en assouplissant les modalités.  

Non seulement One Voice s’insurge contre tout tir sur les loups qui, par leur seule présence, magnifient nos forêts montagneuses, considérant depuis des années que leur retour sur notre sol est une bénédiction pour l’équilibre naturel, mais nous soutenons également avec ardeur qu’ils doivent être protégés à tout prix. Or les loups (canis lupus) sont des individus issus d’une espèce protégée. En théorie, ils devraient donc l’être.

Pourtant, depuis déjà des années, les dérogations ministérielles et préfectorales pour contrevenir à ce statut censé assurer leur sauvegarde fleurissent, et ont été appliquées crescendo, voire de manière exponentielle. Chaque année, toujours plus de loups sont abattus, bien que rien ne prouve que l’amoindrissement de la croissance de leur population soit corrélé à une baisse des attaques sur les élevages, raison invoquée par les pouvoirs publics. En 2019, notre référé n’avait pas abouti faute « d’urgence », selon le Conseil d’État. Pourtant, chaque année, celle-ci est réelle pour les loups qui perdent la vie. Le 6 février 2020 notre procédure de référé n’avait pu aboutir au regard du faible nombre de dérogations alors accordées mais au 15 juillet ce sont déjà trente loups qui sont morts !

En 2018 déjà, notre association a attaqué les décrets présidentiels qui transféraient des compétences ministérielles au Préfet coordonnateur, ce qui ajoute de la confusion à une règlementation déjà complexe qui nuit à la protection de l’espèce. 2020 n’est pas différente. Mais aujourd’hui, la croissance de la population des loups ralentit, et pourtant leur massacre augmente...

Plusieurs éléments sont à prendre en compte. Un préalable : la protection des loups, revenus en France seuls

D’une part, l’augmentation de la population lupine dans notre pays. Puisque les loups sont revenus en France d’eux-mêmes en traversant les Alpes, c’est que le territoire est adapté à leur survie. One Voice accueille donc ce retour comme une bénédiction.

Ce n’est pas l’avis des éleveurs de brebis et autres ovins, toujours prompts à privilégier leurs intérêts, le profit qu’ils tirent des animaux qu’ils envoient à l’abattoir et celui des sommes versées par l’État pour les dédommager des soi-disant dégâts commis par les loups... Hélas les pouvoirs publics ne conditionnent pas systématiquement le versement des dommages aux mesures de protection des troupeaux.  

D’autre part, protéger les loups implique que l’on n’organise pas leur massacre exponentiel

Quand le gouvernement décide d’un quota de loups à tuer chaque année sur la population globale, même s’il n’utilise pas clairement ce terme, lui préférant celui de plafond à l’abattage dont les modalités et le nombre maximum sont fixés par arrêtés, cela devrait impliquer tout d’abord un dénombrement strict des loups en France, et non une modélisation du nombre de loups via un calcul très compliqué, ainsi que le pourcentage n’augmente pas d’année en année. Cette modélisation est dangereuse. One Voice demande que soit pris en compte le seuil de viabilité génétique de l’espèce, et non son seuil de viabilité démographique.

Par définition, si un pourcentage est annoncé dès que la population s’accroît, le nombre de loups « à abattre » sera proportionnellement plus important. Augmenter cette part revient à chercher à faire diminuer la population lupine qui est, rappelons-le, protégée en théorie. Nous nous étions déjà opposés à un quelconque « quota » de loups « à abattre », qu’il soit numérique ou proportionnel, et combattons d’autant plus une telle augmentation qui va déjà au-delà du maximum qui était décidé initialement.

Enfin, tirer sur plus de loups n’a pas d’autre effet que de les massacrer!

Mais au-delà de l’augmentation du pourcentage, la nouveauté de ces arrêtés expérimentaux réside dans un assouplissement des modalités de dérogation à l’abattage. Or les « dégâts » augmentent, nonobstant l’augmentation du nombre de tirs sur les loups souvent boucs émissaires à la place des chiens (dont les attaques ne permettent pas de toucher de dédommagement). Il est nécessaire d’étudier les meutes et non de tirer dans le tas, un nombre décidé dans des bureaux, qu’ils soient présidentiel, ministériels ou préfectoraux. Les loups sont des animaux sociaux, intelligents, et qui ont besoin, comme tout un chacun, de se nourrir pour vivre et dont nous avons grand besoin dans la nature de notre pays.

Cette année, il en a déjà été tué trente, il en reste soixante « à abattre » selon nos gouvernants. Notre association a écrit lundi 20 juillet 20201 à la nouvelle ministre de la Transition écologique et solidaire, Barbara Pompili, pour lui demander de suspendre en urgence l’arrêté concerné, en plus d’attaquer devant le Conseil d’État les deux arrêtés du 26 juillet et du 30 décembre 2019.

1 - Courrier du 20 juillet à Barbara Pompili

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