Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires
Expérimentation animale
Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires
Chaque année, des milliers de primates sont utilisés dans les laboratoires français.
La situation
Chaque année, des milliers de primates sont utilisés dans les laboratoires français.

Ce sont des babouins, des vervets, des microcèbes, des ouistitis, des singes-écureuils, mais aussi et surtout des macaques. Parmi eux, les macaques à longue queue sont les plus vulnérables.

À l’attention : du ministère de la Recherche, du ministère de l’Agriculture, du FC3R, du Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale et de Silabe / Université de Strasbourg

Encore aujourd’hui, des individus sont capturés dans leur milieu naturel pour approvisionner les élevages qui vendront leurs petits à des laboratoires du monde entier. Alors que les organismes internationaux lançaient déjà l’alerte sur ces pratiques il y a vingt ans, les pratiques n’ont pas changé et cette espèce a été déclarée « en danger » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) en 2022.

La plupart des macaques à longue queue utilisés en France proviennent de ces élevages de l’île Maurice et du Vietnam (et dans une moindre mesure, du Cambodge ou d’Indonésie). Beaucoup transitent par le centre de primatologie Silabe, à l’université de Strasbourg, qui est au cœur du commerce européen de ces animaux.

Dans les laboratoires, ceux-ci endurent des souffrances variées : prélèvements divers, implants crâniens, restriction hydrique, « chaises de contention » dans lesquelles ils peuvent à peine bouger… Tout cela est inacceptable !

Je soussigné·e, demande avec One Voice :

  • que le centre de primatologie Silabe et l’université de Strasbourg s’engagent à ne plus importer de macaques à longue queue et à cesser leur commerce ;
  • que les autorités nationales prennent leurs responsabilités et mettent en place les mesures appropriées pour en finir avec l’importation, le commerce et l’utilisation de macaques à longue queue en France et dans l’Union européenne.

Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux

Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux

Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux
Rien ne leur est épargné: alimentation, expérimentation animale, courses hippiques, travaux agricoles, spectacles, manèges, combats. La situation
Rien ne leur est épargné: alimentation, expérimentation animale, courses hippiques, travaux agricoles, spectacles, manèges, combats.

Chevaux et poneys subissent toujours d’innombrables maltraitances et leur destination finale est quasi systématiquement l’abattoir après une exploitation sans fin.

Depuis toujours, les chevaux partagent avec nous un lien très fort. Durant des siècles, ils nous ont aidés dans les champs et sur les routes avant l’industrialisation, accompagnés vaillamment durant les guerres ou encore dans les mines d’où ils ne ressortaient que blessés ou morts. Aujourd’hui, nous sommes nombreux à les considérer comme de véritables compagnons.

Pourtant, chevaux et poneys subissent toujours d’innombrables maltraitances et leur destination finale est quasi systématiquement l’abattoir après une exploitation sans fin.

Pour des performances sportives, ils sont poussés jusqu’au bout de leurs forces. D’autres subissent le calvaire de l’expérimentation animale. Certains chevaux se voient imposer des pratiques qui n’ont rien de naturel, forcés de participer à des corridas ou des chasses à courre, traînés dans des cirques, obligés de tirer des calèches sous un soleil de plomb pour divertir les touristes. Pour de l’argent, ils sont maltraités dans certains centres équestres. Quand ils sont « usés » ou « plus assez performants », nombre d’entre eux sont envoyés dans des marchés ou des foires avant d’être expédiés à la boucherie.

Alimentation, expérimentation animale, courses hippiques, travaux agricoles, spectacles, manèges, combats… rien n’est épargné à nos partenaires de tout temps.

Avec One Voice, nous, soussignés, demandons que les chevaux et poneys soient sortis de la catégorie des animaux de rente et que leur soit donné le statut d’animal familier, pour qu’ils bénéficient enfin de la même protection que les chiens et les chats.

#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!

#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!

#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!
#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!

Destinataire(s) : Ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires

Chaque année en France, 600 000 à 1 000 000 de renards sont massacrés à la chasse, subissent les tirs , le piégeage, la chasse à courre, ou sous terre, etc.! Il s’agit ni plus ni moins d’une extermination insupportable, et non justifiée: pas plus pour des raisons écologiques que sanitaires.

Parce que les renards sont indispensables à l’équilibre des écosystèmes, parce qu’ils ne sont pas nuisibles, mais sensibles, Anymal, l’ASPAS et One Voice demandent que le renard roux soit en urgence retiré de la liste des « espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » et, qu’à terme, il soit protégé par la loi.

Nous soussignés, considérons que les renards sont des êtres sensibles doués d’émotions, aux capacités cognitives développées;

Leur rôle écologique au bénéfice des humains et de la nature est avéré et crucial, et les renards régulent eux-mêmes naturellement leur population ;

Leur abattage cruel est source de grandes souffrances ;

Nous soutenons la demande d’Anymal, l’ASPAS et One Voice de retirer le renard de la liste des “espèces susceptibles d’occasionner des dégâts” (ex-nuisibles).

Voir la page de l’ASPAS « Protégeons les renards »
Voir la page Facebook Anymal

POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE

POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE

POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE
POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE

Destinataire(s) : Emmanuel Macron (Président de la République) 

*Radical, radicale: adjectif Qui vise à agir sur la cause profonde de ce que l’on veut modifier.

En France, la chasse tue chaque année 45 millions d’animaux sauvages libres ou issus d’élevages (dont 30 millions nés en liberté), sans compter les victimes «collatérales» humaines et animales

La chasse n’est ni un loisir ni un art de vivre!
Et ce n’est pas en remplaçant les termes «tuer» et «abattre» par ceux de «gérer», «prélever» ou «servir» que la pratique en est moins cruelle pour les animaux et moins nuisible pour la nature.

Il est temps qu’une activité si destructrice soit interdite. 
En attendant, voici 10 points pour réformer cette pratique:

  1. Indépendance de la police de la chasse ;
  2. Interdiction de chasser les espèces en mauvais état de conservation ;
  3. Interdiction de chasser en périodes de reproduction ;
  4. Interdiction des pièges tuants ;
  5. Fin des chasses dites « traditionnelles » (glu, lecques, lacs, pantes, tendelles…) ;
  6. Abolition de la vénerie sous terre pour toutes les espèces ;
  7. Abolition de la chasse à courre pour toutes les espèces ;
  8. Abolition de la chasse dans les espaces protégés (Parcs Nationaux, Réserves naturelles, réserves biologiques) ; enclos et parcs fermés, ainsi que les élevages pour la chasse,
  9. 2 jours par semaine sans chasse ni piégeage (dont le dimanche) et l’intégralité des vacances scolaires ;
  10. Visite médicale annuelle obligatoire pour le permis de la chasse avec contrôle de la vue.

Nous soussignés demandons aux côtés de l’association One Voice une réforme radicale de la chasse!

Amour de la nature ne rime pas avec destruction, dégradation et souffrance animale mais avec respect et émerveillement.

Avec le soutien des personnalités:
Laurent Baheux – Photographe
Fabrice Nicolino – Journaliste
Laurence Parisot – Dirigeante d’Entreprise
Pierre Rigaux – Naturaliste
Franck Sorbier – Grand Couturier et Maître d’Art
Pierre Athanaze – Naturaliste et forestier
Yolaine de la Bigne – Journaliste et auteure
Vincent Munier – Photographe
Paul Watson – Activiste de la cause animale, capitaine de navire
Marc Giraud – Naturaliste et écrivain

STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !

STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !

STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !
STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !

Destinataire(s) : Ministère de l’Écologie

Après avoir été exterminés, les loups (Canis lupus) sont revenus en France mais peinent à s’y faire une place.

Malgré les aides , chasseurs et éleveurs les pourchassent avec l’aide de l’État et de la loi alors que leur espèce est juridiquement protégée.

 

Pourtant, les loups font partie intégrante de la biodiversité de notre pays. Ils participent à sa préservation ainsi qu’à celle de nos territoires et ont toute leur place à nos côtés !

Ils ont accompagné l’histoire des humains depuis la nuit des temps. Leurs ancêtres et les nôtres savaient vivre en harmonie et leur complicité a même donné naissance aux chiens.

Mais au Moyen Âge, des superstitions ont émergé : les loups sont devenus l’incarnation du diable.

Aujourd’hui, même si ces folles croyances n’ont plus cours, éleveurs et chasseurs continuent de véhiculer des mensonges à l’encontre des loups. Incapables d’accepter de cohabiter avec les canidés sauvages, ils font pression sur les autorités pour obtenir leur massacre.

Pourquoi ? Ils ne voient les loups que comme des prédateurs de leurs propres proies. Et ne perçoivent la nature et ses habitants qu’à travers le prisme du profit qu’ils peuvent en tirer à court terme, au lieu de se projeter dans une réflexion d’avenir.

Et l’État français cède ! Au lieu de protéger les loups, il ne cesse de promulguer de nouveaux arrêtés pour autoriser les tirs. Chaque année, des dizaines d’individus sont tués et des meutes décimées !

Nous soussignés, refusons que nos gouvernants se fassent dicter la loi par quelques citoyens hostiles au monde sauvage. La majorité de la population française souhaite le retour des loups sur notre sol qui est aussi le leur.

Nous réclamons le respect pour les loups, et l’interdiction définitive de nouveaux abattages.

Réapprenons la tolérance envers ces êtres extrêmement intelligents, sensibles et sages qui méritent tout notre respect. Ils ont tant à nous apprendre, notamment sur la solidarité – valeur primordiale chez eux.

 

Pour aller plus loin :

 

Situation des loups en France :

 

Textes réglementaires et arrêtés :

 

Quelques articles :

 

 

Communiqués de presse :

Baby, le confinement c’est toute sa vie. Dans un camion

Baby, le confinement c’est toute sa vie. Dans un camion

Baby, le confinement c’est toute sa vie. Dans un camion
Baby, le confinement c’est toute sa vie. Dans un camion

Depuis notre rencontre il y a plus de quinze ans alors qu’elle était exhibée aux côtés de Micha, Bony et Glasha, nous suivons Baby.

Depuis sa capture au Kenya quand elle avait à peine deux ans et le massacre certain de sa famille, elle est traînée de force de cirques en parcs animaliers, sous des chapiteaux, dans des foires, des fêtes de village, des publicités, des émissions de télévision, des reconstitutions historiques, des films…

Baby est sage, Baby est bien « éduquée », Baby est aussi souple que de la pâte à modeler… Baby est une éléphante de cirque.

Baby a été capturée en 1985, au Kenya où elle vivait libre au sein de sa famille. Elle avait deux ans. Depuis, elle doit effectuer, sous la contrainte et ad nauseam, parades et contorsions de numéros de cirque jusqu’à la nausée, porter son dresseur et geôlier sur sa trompe, marcher et tenir l’équilibre sur une patte douloureuse, poser pour des photos avec des spectateurs agités… Mais la plupart de son temps s’écoule loin des yeux du public entre les six parois d’une remorque de camion. Baby peut à peine tourner sur elle-même, ce qu’elle fait péniblement à longueur de journée, tentant de soulager ainsi son esprit et ses membres. Son quotidien, c’est ce camion. Les rares sorties auxquelles elle a droit n’ont lieu que pour servir son dresseur. Pour Baby, éléphante de cirque, je soussigné(e) demande, avec One Voice qui a mis en évidence son calvaire, son placement en urgence dans un sanctuaire.

INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL

INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL

INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL
INTERDICTION DE LA FOIRE DE MAURS ACQUISITION DU STATUT D’ANIMAL FAMILIER POUR LE CHEVAL

Destinataire(s) : Ministère de l’Agriculture

A la foire de Maurs, depuis près de 50 ans, sont vendus les chevaux devenus inutiles à l’exploitation humaine.

Issus d’élevages pour l’alimentation, pour la compagnie, de centres équestres, de clubs hippiques, de travail de traie, ou derrière une calèche, tous les chevaux, juments, pouliches ou poulains qui se retrouvent dans les enclos minuscules de Maurs sont envoyés à l’abattoir.

Effrayés par les cris et les coups de batons, portés sur les flancs, sur le cou, sur la tête près des yeux, ils ont beau tenter de se sauver, de chercher une issue, rien n’a faire ils sont pris au piège. 

L’investigation des Sans Voix d’Eden de 2019 fait écho de celle de One Voice en 2006. Rien n’a changé, les images ne montrent pas des actes de cruauté exceptionnels, mais bel et bien un système qui se répète d’année en année.
Les coups pleuvent sur les chevaux apeurés, incapables se se défendre et mener à la mort sans aucune merci.

Nous soussignés soutenons la demande des Sans Voix d’Eden et de One Voice que soit donné le statut d’animal familier aux chevaux, au même titre que les chiens et les chats.

UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX

UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX

UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX
UN SANCTUAIRE POUR SAMBA #CIRQUESSANSANIMAUX

Destinataire(s) : Barbara Pompili (Ex Ministre de la Transition écologique )

Samba est une orpheline, violemment capturée petite, comme les autres éléphantes détenues dans les cirques qui sillonnent les routes de France.

Pendant des années, jour après jour, elle a été forcée de simuler sa propre mort, sous un faux coup de fusil du dresseur et ces mots : « Samba est condamnée à la peine de mort!». En 2003, sous la pression de notre campagne, le dresseur changea le nom de Samba en la renommant Tania.

Rouée de coups si elle ne s’exécutait pas, elle décida de s’échapper, un jour de 2013 où le dresseur avait oublié de l’enchaîner. Dans sa fuite, elle bouscula un vieil homme à qui la chute fut fatale. La justice la laissera dans le cirque…

One Voice continue de réunir des preuves de ces conditions de vie, et reprend de plus belle les procédures en justice pour elle.

Je soussigné.e soutiens la demande de One Voice pour que Samba soit libérée de cette exploitation, de l’isolement et de la captivité qui la tuent à petit feu, et qu’elle soit confiée à l’association qui la transférera dans un sanctuaire partenaire, loin du dressage, des camions, du bitume, de la peur, de la solitude, et de l’ennui…

AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE

AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE

AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE
AU CŒUR D’UNE ÉCOLE DE TAUROMACHIE POUR LES ENFANTS EN FRANCE

7 ans après notre enquête, nouvelle infiltration dans l’une des écoles taurines françaises

UNE ACTIVITÉ EXTRASCOLAIRE COMME UNE AUTRE ?
​Nos enquêteurs se sont rendus une nouvelle fois dans l’une des écoles taurines de France, et ils ont pu assister à des mises à mort de taureaux si jeunes qu’il s’agit presque de veaux.

Sept ans après notre enquête à l’école de Nîmes, nous demandons l’interdiction de ces « centre de formations » pour les mineurs, l’interdiction de l’accès aux mineurs à ces « spectacles », l’interdiction de blesser les taureaux, et bien entendu de les mettre à mort…

Lire notre article