Air France est un important transporteur de primates non humains pour la recherche et les tests de toxicité (empoisonnement). Chaque année, la compagnie aérienne transporte des milliers de singes à travers le monde depuis Maurice et le Vietnam, à destination de laboratoires en Europe et aux États-Unis.
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Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours
Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours
Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours
19.05.2022
Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours
Chasse
Il faut que cesse la surenchère dans l’horreur dirigée contre les Choucas des tours dans de nombreux départements. Nous attaquons quatre arrêtés préfectoraux qui autorisent une fois de plus le massacre par milliers de ces oiseaux protégés. Nous avons fait un dépôt de référé et de recours dans le Morbihan, mais également dans les Côtes-d’Armor, le Finistère et le Maine-et-Loire. Plusieurs audiences sont prévues : trois en Bretagne le 25 mai à 10h au tribunal administratif de Rennes, et celle du Maine-et-Loire le 23 mai à 15h à Nantes.
Les préfets de l’ouest du pays prévoient ainsi le massacre de 16 000 Choucas des tours dans le Finistère, 8000 dans les Côtes-d’Armor, 3000 dans le Morbihan
et 635 dans le Maine-et-Loire. C’est insoutenable ! Nous dénonçons ces abattages de masse et le fait que des choucas blessés pourront agoniser dans des souffrances atroces alors que leurs petits orphelins mourront de faim.
Rappelons que les oiseaux concernés sont des corvidés qui bénéficient d’un statut censé les protéger, contrairement à leurs cousins les corbeaux freux et les corneilles, considérés comme nuisibles ou ESOD (espèces pouvant être classées comme « susceptibles d’occasionner des dégâts ») un peu partout en France.
La cerise sur le gâteau de la barbarie d’État : non seulement les autorisations sont publiées par dizaines par les préfectures pour tuer des oiseaux (déjà bien mal en point, vu la 6e extinction de masse qui a lieu en ce moment), mais ces oiseaux-là ne sont pas protégés par hasard ! Avec ses dérogations sur les Choucas des tours, chaque préfecture autorise donc en réalité ni plus ni moins leur extinction ! C’est toujours pareil : dès qu’il faut agir pour la planète, le climat ou les animaux, les intérêts humains privés passent systématiquement au premier plan, ruinant tout effort pour redresser la barre, tout espoir de changement.
Les abattages favorisent la reproduction
Dans de nombreux territoires, on constate trop souvent que les agresseurs méconnaissent totalement le comportement des choucas !
L’étude récente de la DREAL de Bretagne, attendue de longue date et enfin publiée au printemps 2022, expose d’ailleurs que ces abattages annuels massifs ne permettent pas de réduire les dégâts et que les quotas fixés d’oiseaux à tuer ne reposent sur aucune justification scientifique L’étude évoque également des pistes de réflexion autour de l’évolution des pratiques agricoles. Nous ajoutons que ces dégâts sont discutables et ne sont pas forcément le fait des choucas…
Nous ne céderons rien et remettrons notre ouvrage sur le métier autant de fois qu’il le faudra pour la défense des choucas, des corneilles ou des corbeaux, ces oiseaux si intelligents. Nous demandons donc l’annulation et la suspension en urgence de ces quatre arrêtés qui autorisent un abattage massif et imminent de milliers d’oiseaux issus d’une espèce protégée. Rien ne justifie ces tueries légalisées qui interviennent en pleine période de nidification et d’élevage des petits !
Pour le Maine-et-Loire, le juge des référés a fixé l’audience à Nantes à 15h le 23 mai prochain. Pour le Morbihan, les Côtes-d’Armor et le Finistère, la date d’audience est groupée et fixée finalement au 25 mai à 10h au tribunal administratif de Rennes.
L’ICE Pour une Europe Sans Fourrure : pour mettre fin à l’industrie de la fourrure en Europe
One Voice célèbre aujourd’hui le lancement de l’Initiative citoyenne européenne (ICE) Pour une Europe Sans Fourrure.
Agissez maintenant pour une Europe sans fourrure
Les animaux des fermes à fourrure subissent un confinement intense, disposés en rangées dans des petites cages. Ils souffrent d’automutilation, de blessures infectées, de membres manquants et de cannibalisme. L’élevage d’animaux à fourrure va à l’encontre du concept le plus élémentaire de bien-être animal.
Egyptair – toujours plus de vols misérables
La compagnie aérienne Egyptair est de retour au Cambodge… pour le plus grand malheur des singes.
Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !
Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !
Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !
17.05.2022
Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !
Faune sauvage
Vous êtes une ourse des forêts ancestrales de Slovénie. Vous vivez votre vie en toute liberté, vous avez une famille et vous êtes respectée par les populations. Le « syndrome du sauveur » ayant atteint des dirigeants français, il a été décidé que vous seriez capturée, arrachée à votre territoire et aux vôtres, transportée puis relâchée dans un lieu que vous allez devoir découvrir, et dans lequel la plupart des humains alentour vous sont hostiles et sont armés… Les arrêtés ministériels sont pris chaque année depuis 2019 pour permettre l’effarouchement des ours à titre expérimental, mais un arrêté en projet prévoit de pérenniser ce dispositif. Avec nous, participez à la consultation publique pour éviter cela !
La protection des animaux remise en question
En France, on protège les espèces qui ont disparu ou quasiment. Tout comme les loups, les ours font partie d’une espèce dont les membres sont censés ne pas être chassés (convention de Berne, de Washington, directive européenne « habitats » et arrêtés du 23 avril 2007 et du 9 juillet 1999). Enfin ça, c’est la théorie, la réalité est tout autre. Leur espèce n’est sanctuarisée que parce que leurs membres sont inexistants sur le sol français. Dès que l’un d’eux arrive, soit naturellement pour les loups, soit en étant « réintroduit », les éleveurs et chasseurs les attendent de pied ferme, l’arme au poing. Quelle absurdité que d’arracher des animaux de chez eux pour les relâcher dans un pays qui leur est hostile !
On peut légitimement se poser la question de la logique du gouvernement, qui ordonne des tirs d’effarouchement sur des ours qu’ils ont fait eux-mêmes déraciner… Le but était pourtant qu’ils se reproduisent et s’installent durablement, avec tous les risques que cela comporte.
Les tirs d’effarouchement autorisés
Oui, vous avez bien lu. Depuis 2019, le ministère de la Transition écologique et le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation autorisent annuellement des mesures d’effarouchement « à titre expérimental ». Ces mesures peuvent être « simples » (effarouchement sonore, olfactif, visuel) ou « renforcées » (cartouches à double détonation, cartouches à billes de plastique). Ces arrêtés sont dits « cadres ». Ils permettent ensuite aux préfets de prendre des arrêtés supplémentaires, autorisant des effarouchements lorsqu’ils estiment que les conditions fixées par les arrêtés cadres sont remplies et donc insuffisantes. Les intérêts des éleveurs, qui destinent leurs troupeaux d’animaux à l’abattoir, passent toujours avant la vie sauvage.
Un combat mené depuis des années !
L’arrêté du 27 juin 2019, qui mettait en place à titre expérimental les mesures d’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées pour prévenir les dommages aux troupeaux, ainsi que celui du 12 juin 2020 ont été attaqués par plusieurs associations de défense de l’environnement et des animaux et ont tous deux été partiellement annulés par le Conseil d’État, respectivement le 4 février 2021 et le 25 avril 2022. Cette seconde annulation partielle s’explique par le fait que lorsque l’arrêté de 2019 a été partiellement annulé, celui de 2020 avait déjà été pris. Il s’agit donc de deux arrêtés similaires, le dispositif relatif à l’effarouchement renforcé n’avait pas été revu…
Nous espérons donc que cette année, l’arrêté du 31 mai 2021 soit totalement annulé. Nous avons déposé un recours et n’avons pas encore de date d’audience. Parallèlement, une consultation publique est ouverte jusqu’au 19/05/2022, pour un projet d’arrêté qui prévoit de pérenniser ce dispositif d’effarouchement des ours. Participons-y pour refuser ce projet !
Les choucas des tours, une hécatombe à faire suspendre dans le Morbihan. Audience le 25 mai à Rennes
1800 à 3000 choucas des tours sont en danger de mort dans le Morbihan. One Voice a déposé un référé et un recours. Audience en référé le 25 mai à Rennes.
One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !
One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !
One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !
12.05.2022
One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !
Chasse
Le week-end du 15 mai aura lieu la première Journée mondiale des blaireaux. One Voice se joint à ses partenaires pour mener des actions de sensibilisation sur le terrain dans une dizaine de villes en France sur ces petits mustélidés, si mal connus et cruellement chassés dans notre pays.
(Les pétitions, lieux et dates en fin de communiqué).
Avec leur pelage noir et blanc, les blaireaux sont facilement reconnaissables. Mais rares sont ceux qui ont la chance de pouvoir observer ces mustélidés réservés. Ces animaux sensibles et sociaux sont accusés de tous les maux. Pourtant, travailleurs enthousiastes, solidaires et pacifiques, ils méritent tout notre respect plutôt que d’être massacrés jusqu’au fond de leur terrier. One Voice appelle à les défendre et à les protéger. Le week-end du 15 mai sera l’occasion pour l’association de se joindre à l’ASPAS et à d’autres partenaires pour célébrer les blaireaux et montrer au public qui ils sont vraiment.
Une enquête sans précédent chez les déterreurs
En matière de cruauté, les chasseurs n’ont jamais manqué d’inspiration. Et parmi leurs inventions, il en est une particulièrement monstrueuse : la vénerie sous terre. Cette pratique parfaitement légale consiste à harceler un animal jusqu’au fond de son terrier en lui faisant subir des heures de terreur et de douleur avant son dernier râle. Les adeptes de ce « loisir » adorent s’acharner notamment sur les blaireaux…
Quoi de mieux en effet que de persécuter des êtres sans défense pour savourer le plaisir de les voir souffrir et de se féliciter d’être le plus fort ? Le déterrage des blaireaux est un « loisir » barbare, déguisé en soi-disant chasse utile et nécessaire. Les images, terribles, issues de notre enquête en infiltration, montrent toute la violence de cette pratique, qui fait non seulement des victimes parmi les animaux, mais fait aussi des dégâts au sein des forêts.
L’exception cruelle de la France
Leur existence dans la nature n’est en rien un obstacle aux cultures. Les blaireaux sont d’ailleurs des animaux protégés en Angleterre, au Pays de Galles, ainsi qu’aux Pays-Bas, au Danemark, en Grèce et en Hongrie. La France fait donc exception en Europe, et cette exception n’est pas culturelle mais cruelle. Ces arguments fallacieux permettent aux chasseurs de les persécuter et de les massacrer jusque dans leurs terriers, qu’ils soient adultes ou juvéniles, de la mi-mai à la mi-janvier tous les ans avec l’aide bien opportune de préfets qui adoptent de nombreux arrêtés. Les chasseurs cherchent même à faire entrer les blaireaux sur la liste des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts (ESOD, ex-nuisibles).
J’aime les blaireaux !
Les mots sont fondamentaux dans la manière dont nous nous figurons le monde. En argot français, « blaireau » est péjoratif. Dans le Robert, il désigne un « personnage antipathique, borné et mesquin ». Dans le Larousse, un « individu conformiste, borné, niais ». Il est nécessaire de faire évoluer les mentalités autant que les réglementations. Aussi, à l’occasion de cette première Journée mondiale des blaireaux, revendiquons-nous ce terme. Le 15 mai, nous invitons chacun et chacune à revendiquer le fait d’être un blaireau ou une blairelle en utilisant les visuels de la campagne et le hashtag #CEstQuiLeBlaireau en plus de l’habituel #JAimeLesBlaireaux.
Les Français veulent que les chasseurs fichent la paix aux blaireaux
Plus de huit Français sur dix demandent l’interdiction de la vénerie sous terre (sondage Ipsos/One Voice septembre 2021). Ensemble, faisons interdire cette abomination !
Avec nos diverses pétitions, exigeons l’interdiction de la vénerie sous terre, la protection des blaireaux dans toute la France (et que le terme « blaireau », quand c’est une insulte, soit retiré du dictionnaire).
Nous vous invitons également à signer la pétition lancée sur le site du Sénat, permettant de garantir la probité des signataires, pour protéger les blaireaux. https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1012
One Voice sera présente dans les villes suivantes :
Attention, avant de vous déplacer, pensez à vérifier que le lieu et la date n’ont pas été modifiés.
- Annecy – 14 mai : https://www.facebook.com/events/1421962938274043
- Bordeaux – 15 mai : https://www.facebook.com/events/410381260920342
- La Rochelle – 14 mai : https://www.facebook.com/events/729446344898582
- Lyon – 14 mai : https://www.facebook.com/events/1160319354750499
- Metz – 14 mai : https://www.facebook.com/events/537265047792908
- Montpellier – 15 mai : https://www.facebook.com/events/2894745037492103
- Nice – 14 mai : https://www.facebook.com/events/1464536030627913
- Paris – 15 mai : https://www.facebook.com/events/735998740756885
- Strasbourg – 15 mai : https://www.facebook.com/events/799717801181880
- Troyes – 14 mai : https://www.facebook.com/events/748569516155659
- Vous trouverez d’autres lieux et actions sur le site de la Journée mondiale des blaireaux.
Expérimentation animale : que choisir quand on nous ment ?
Pour son « décryptage » sur l’expérimentation animale, l’UFC-Que Choisir a choisi la complaisance envers les laboratoires. Une mise au point s’impose.
Pour les corneilles et les corbeaux, One Voice intente un référé dans le Jura. Audience le 4 mai à Besançon
Pour les corneilles et les corbeaux, One Voice intente un référé dans le Jura. Audience le 4 mai à Besançon
Pour les corneilles et les corbeaux, One Voice intente un référé dans le Jura. Audience le 4 mai à Besançon
30.04.2022
Pour les corneilles et les corbeaux, One Voice intente un référé dans le Jura. Audience le 4 mai à Besançon
Animaux sauvages
Le 24 mars dernier, le préfet du Jura a décidé de prendre – comme chaque année – un arrêté permettant de piéger et tuer les corneilles noires et les corbeaux freux et ce, jusqu’au 31 juillet. L’autorisation est donnée à la FREDON 39 (Fédération départementale des groupements de défense contre les organismes nuisibles du Jura) en partenariat avec les chasseurs locaux. L’audience pour le faire suspendre en urgence aura lieu le 4 mai prochain à 15h au tribunal administratif de Besançon.
Edit du 14 mai 2022:
Le 4 mai 2022 le juge des référés a rejeté notre requête de suspension de l’arrêté. Nous attendons désormais la date d’audience pour le recours en annulation que nous avons également déposé.
Mais qu’a donc la France à vouloir tuer tous ses oiseaux, partout, tout le temps ? Par pendaison ou écrasement, par collage, par prise dans des filets, par tirs… Y compris des oiseaux protégés comme les cormorans
ou les grands tétras, les tourterelles… pendant leur migration, tels les oies cendrées, les canards ou les palombes… Ou bien à les élever pour le plaisir de leur tirer dessus, comme les faisans
et les perdrix… Et considérer une partie d’entre eux comme des nuisibles, tels les pigeons, les corneilles noires et corbeaux freux ?
Les oiseaux, premières victimes de la sixième extinction de masse actuelle
Les derniers descendants des dinosaures n’ont malheureusement pas la vie facile… L’environnement est de moins en moins accueillant. En ville, la nourriture peut être abondante, mais le bruit et la lumière permanents sont des nuisances qui freinent les reproductions. À la campagne, les pesticides ont fini de les affamer.
La sixième extinction de masse en cours n’épargne pas les oiseaux, bien au contraire. Ils subissent de plein fouet la dénaturation de la planète par les humains. Dans le Jura, la préfecture considère les corvidés comme des animaux nuisibles à exterminer… Quand bien même les animaux entraveraient certaines activités humaines, la réponse à nos problèmes ne devrait pas conduire à les tuer !
Les corneilles noires et les corbeaux freux, des êtres exceptionnels traqués dans le Jura
Les corvidés sont des individus très intelligents et ont même des cultures propres. Pourtant, depuis des années, le préfet organise leur traque dans 239 communes de son département. Ils peuvent être piégés de la date de signature de l’arrêté jusqu’au 31 juillet, et peuvent être tués par balle de la fermeture de la clôture de la saison de chasse jusqu’à la même date.
Nous contestons cet arrêté en urgence sur différents points.
Entre autres parce que ces oiseaux ne portent pas préjudice à la santé des végétaux, à la santé publique ou à la protection de l’environnement – seules justifications autorisées par le droit -, mais par la nécessité alléguée de lutter contre les dégâts aux cultures (dont la préfecture n’apporte même pas de preuve !)… Ce qui n’est donc pas autorisé.
Mais aussi parce que chaque année, et ce depuis des années, le préfet prend des arrêtés identiques, ordonnant donc que ces oiseaux noirs soient massacrés de manière illimitée en dehors de la saison de chasse. Il ne s’agit donc plus d’une mesure exceptionnelle mais d’une véritable délégation de pouvoir donnée aux chasseurs.
Enfin, l’arrêté n’a pas été soumis à la consultation du public alors que ses effets ont une incidence sur l’environnement.
Il y a urgence !
Depuis fin février, les corbeaux et les corneilles sont traqués sans merci par les chasseurs dans les montagnes jurassiennes. Le jour de l’audience, cela fera donc plus de deux mois qu’il en meurt toutes les semaines, sans compter que l’autorisation délivrée par la préfecture ne limite pas leur nombre sur la moitié du département où les chasseurs ont suivi la formation « corvidés » délivrée par la FREDON (dont nous réfutons la légitimité à plusieurs niveaux).
Cerise sur le gâteau, la période de reproduction est donc ouverte à la chasse… élément que nous demandons de réformer depuis plus de quatre ans, par le biais de notre pétition pour une réforme radicale de la chasse.
Nous ne laisserons pas la préfecture du Jura laisser les chasseurs dicter leur loi et continuer à massacrer les oiseaux ainsi sans rien faire ! L’audience pour faire suspendre en urgence l’arrêté préfectoral aura lieu le 4 mai au tribunal administratif de Besançon.