Deux renards pendus à l’entrée de la ville: One Voice lance un appel à témoin

Deux renards pendus à l’entrée de la ville: One Voice lance un appel à témoin

Deux renards pendus à l’entrée de la ville: One Voice lance un appel à témoin
29.11.2022
Saône-et-Loire
Deux renards pendus à l’entrée de la ville: One Voice lance un appel à témoin
Chasse

Deux renards ont été pendus à l’entrée de la commune de Dracy-Saint-Loup le 28 novembre dernier. One Voice s’insurge contre cet acte de cruauté. Pour l’heure, ses auteurs n’ont pas été identifiés. One Voice lance un appel à toute personne disposant d’informations pour qu’ils soient poursuivis et condamnés.

Le 28 novembre 2022, les habitants de la commune de Dracy-Saint-Loup (Saône-et-Loire) ont découvert avec horreur les corps de deux renards accrochés au panneau d’entrée de leur commune. Informé, le maire a contacté les gendarmes qui ont constaté les faits et fait retirer les renards. Parce qu’il ne dispose d’aucune information lui permettant d’identifier les responsables, le maire n’a pour l’heure pas saisi le procureur de la République.

Au-delà de la monstruosité de cette mise en scène, ces actes constituent des infractions pénales et ne doivent pas rester impunis.

La mise à mort d’animaux sauvages est, en France, soumise à la législation sur la chasse. La méconnaissance de ces règles peut être sanctionnée lourdement, les peines allant de simples contraventions à l’emprisonnement. Par ailleurs, les cadavres des renards peuvent être considérés comme des “déchets” sur le plan juridique. Leur abandon sur la voie publique constitue un délit passible d’une peine de deux ans d’emprisonnement et de 75.000€ d’amende. Les auteurs de ces faits doivent être poursuivis et condamnés.

Les animaux désignés comme “nuisibles”, comme ceux qui sont protégés, dans la ligne de mire des autorités

Si les renards sont classés ESOD (“espèce susceptible d’occasionner des dégâts”), c’est pour assouvir les pulsions… pardon, on voulait dire les passions des chasseurs.
Car même lorsque les animaux sont protégés, les autorités publient dérogations sur dérogations… Évidemment, quand l’État lui-même se complaît à considérer des animaux comme des individus “nuisibles” (ancien terme légal de désignation des ESOD), comment ces derniers pourraient-ils être respectés, protégés, voire simplement laissés en paix?

Nous appelons les témoins à se manifester!

L’association One Voice lance donc un appel, et s’engage à verser la somme de 10,000€ à la personne qui lui transmettrait des informations solides permettant d’identifier formellement, au-delà de tout doute raisonnable, les personnes responsables de ces actes, sur notre boîte mail info@one-voice.fr.

Ces informations seront alors transmises au procureur de la République dans le cadre d’une plainte de l’association.

Jugement historique : le dresseur de cirque des dix tigres saisis suite à l’enquête de One Voice, sévèrement condamné !

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28.11.2022
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Cirques

Grâce au travail sans relâche de One Voice au niveau de ses investigations et de ses procédures en justice, le tribunal de Beauvais vient de reconnaître Mario Masson coupable des délits de mauvais traitements sur des animaux commis par un professionnel et d’exploitation irrégulière d’un établissement détenant des animaux non domestiques de 2019 à 2020, d’acquisitions et cessions irrégulières d’animaux ainsi que d’infractions au droit du travail et d’escroquerie. Enfin, il a l’interdiction de se livrer à une activité en lien avec des animaux pendant deux ans, assortie de deux ans d’inéligibilité et d’une amende. En tout, il devra s’acquitter de 246 000 euros envers les diverses parties prenantes du dossier.

C’est la première fois en France qu’un dresseur de cirque est reconnu coupable de mauvais traitements sur des animaux avec cette circonstance aggravante d’être un professionnel. C’est un jugement historique. Quelle immense satisfaction de savoir que les tigres ne retourneront pas dans le camion-cage de la cour de l’usine désaffectée où ils étaient enfermés vingt-quatre heures sur vingt-quatre, comme l’ont démontré nos images ! Nous continuerons à mener des enquêtes et à les porter en justice pour mettre en lumière les horreurs que vivent les animaux des cirques. Il nous a fallu essuyer beaucoup de revers avant cette victoire, ce qui la rend d’autant plus éclatante. Un grand merci à tous ceux qui ont cru en notre détermination indéfectible pour sauver ces tigres et nous ont soutenus dans l’adversité. Muriel Arnal Présidente de One Voice

Le tribunal a estimé que les tigres et le matériel devaient être définitivement confisqués, et que Tonga Terre d’Accueil – le refuge que nous avions choisi pour accueillir les animaux – et nous devions recevoir notamment le remboursement des sommes dépensées pour les dix tigres depuis leur saisie par la justice en décembre 2020. L’État et l’URSSAF eux aussi devront recevoir des sommes liées notamment au travail dissimulé auquel Masson s’adonnait.

Nous connaissons Mario Masson depuis 2005. Il détenait alors deux éléphantes terriblement maltraitées. L’investigation pour enclencher la plainte auprès du procureur fut l’une des plus risquées, mais elle était indispensable : nos plaintes précédentes avaient été classées sans suite. La saisie s’est faite dans le secret total car Masson faisait reproduire les tigres pour vendre les bébés âgés d’à peine quelques jours, et certains savaient et fermaient les yeux. L’audience a duré plus de huit heures et fut menée pour nous par Me Caroline Lanty.

Depuis leur saisie il y a près de deux ans, nous avons ainsi offert à ces tigres une nouvelle vie loin du camion-cage dans lequel ils végétaient depuis si longtemps. Loin du dressage et de leurs geôliers, ils ont été pris en charge par une équipe aux petits soins. Ils ont pu découvrir l’herbe et profiter de la simple joie de courir, de se cacher, tout en profitant des enrichissements mis à leur portée. À présent, un enclos est en construction pour les emmener dans un sanctuaire partenaire.

Retour en images sur la saisie des tigres le 16 décembre 2020

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Les rats « mélomanes » : ce qu’ont oublié les médias

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25.11.2022
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Expérimentation animale

Mi-novembre, de nombreux journaux ont rapporté une expérience japonaise montrant que les rats synchronisent leurs mouvements de tête avec une pulsation musicale. Mais tous ont oublié de parler des souffrances endurées par les rats pour cette expérience, entre les appareils vissés à leur crâne, la privation d’eau, la chirurgie du cerveau et la mise à mort.

Edit du 1 décembre 2022 à 18h
Suite à notre courrier, la responsable éditorial web de Radio Classique nous a remercié de notre signalement et a ajouté notre perspective en conclusion de l’article. Nous la remercions vivement pour cette prise en compte des souffrances de ces rats.

De la rubrique « Insolite » de Radio Classique à l’affirmation que « cette expérience [peut] sembler mignonne et sans importance » sur un blog privé, en passant par l’insertion de l’image d’un rat jouant du saxophone chez Futura-Sciences et la Dépêche et par l’idée qu’ « en plus d’avoir le sens du rythme, les rats ont aussi du goût » dans le Huffington Post, on aurait pu croire que les rats s’étaient bien amusés à écouter Mozart ou Queen.

Un fossé entre les communiqués de presse et la réalité

Mais, comme l’a rapidement fait remarquer sur Twitter Sébastien Moro (Cervelle d’Oiseau), vulgarisateur en éthologie, lire l’étude originale fait très vite déchanter.

D’abord, aucun article ne mentionne qu’il s’agissait de 23 rats âgés de neuf à dix semaines, ni que la publication de l’équipe japonaise a oublié de préciser le sexe de ces animaux – une précision importante, ne serait-ce que pour éviter les biais méthodologiques et les problèmes de reproductibilité des expériences.

Aucune mention des souffrances

Les articles qui parlent de l’accéléromètre fixé à la tête de dix rats n’explicitent pas le fait que la boite fabriquée pour maintenir l’appareil en place a été vissée sur le crâne des rats après y avoir percé des trous, puis renforcée avec du ciment.

De plus, aucun article n’explique que les rats ont été privés d’eau afin de les motiver à se tenir sur deux pattes pour atteindre un biberon maintenu en hauteur, de manière à mieux observer leurs mouvements de tête. Cette « motivation » a été développée pendant plusieurs jours au cours de sessions répétées de trente minutes, jusqu’à ce qu’ils apprennent à se mettre immédiatement debout en entrant dans la boite de mesure.

L’expérience en trop

Pire : même dans l’article de TrustMyScience, qui parle un peu plus que les autres des hypothèses et de la méthodologie de l’étude, on ne trouve aucune mention de l’expérience d’électrophysiologie qui a suivi, au cours de laquelle les treize rats restants ont subi une chirurgie du cerveau sous anesthésie pour leur implanter des électrodes à travers le crâne et léser un de leurs deux tympans, dans le but d’analyser l’activité du cortex auditif.

Et personne n’a tenu à rappeler que tous les rats ont été tués à la suite des expériences.

Une situation inacceptable aujourd’hui

Évidemment, ayant éludé tous les aspects potentiellement controversés de la médiatisation, la discussion éthique n’est apparue nulle part dans les médias. Les spécialistes de l’éthique animale existent pourtant (on pense notamment aux signataires de la récente Déclaration de Montréal).

Quoi qu’il en soit, il ne semble pas acceptable aujourd’hui de qualifier d’ « insolite » ou de « mignonne » une étude qui implique de faire souffrir des animaux et de les tuer pour servir nos propres intérêts.

One Voice a écrit à la rédaction des médias concernés ainsi qu’à l’Agence France Presse (AFP) pour signaler cette situation, et nous attendons une réponse.

Chasses traditionnelles: les arrêtés du ministère de la Transition écologique annulés par le Conseil d’État pour la 4ème année consécutive.

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23.11.2022
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Chasse

Sans surprise, le Conseil d’État annule les arrêtés ministériels sur les chasses traditionnelles 2021 qu’il avait déjà suspendus en 2021, confirmant ainsi leur illégalité. One Voice se félicite de cette confirmation et de n’avoir rien lâché pour les petits oiseaux concernés par ces chasses cruelles, défendus année après année aux côtés de la LPO auprès des juges de la plus haute juridiction administrative française.

Les chasses traditionnelles concernées, les tenderies, les pantes et les matoles (des pièges sous forme de filets pliants et de cages tombantes) ont été jugées une fois encore non sélectives et présentant des alternatives satisfaisantes. Les arrêtés adoptés en 2022 ont, d’ailleurs, déjà été suspendus en urgence.

Pour Muriel Arnal, présidente de One Voice:

“La victoire d’aujourd’hui laisse un goût amer. Quand on pense que ces autorisations iniques sont délivrées malgré des décisions contraires et répétées (jusqu’à la Cour de justice de l’Union européenne) et année après année, par un ministre de la “transition écologique”, cela fait froid dans le dos. Quel sera l’avenir? Le ministère fera-t-il encore fi des décisions du Conseil d’État ou respectera-t-il enfin la justice?”

Espérons que 2022 sera la dernière année à voir le ministre de l’Écologie, censé défendre la biodiversité et ceux qui la composent, signer des arrêtés autorisant à piéger et tuer des alouettes -et tant d’autres petits oiseaux au passage- de cette manière.

Qu’en serait-il si les défenseurs des animaux dans leur ensemble n’étaient pas là pour défendre en permanence les animaux contre des autorités qui, de fait, enfreignent la loi? Comment se fait-il que le ministère chargé de représenter les animaux se fait de facto l’organisateur de leur mise à mort?

Muriel Arnal conclut:

“Nous n’attendons plus rien du ministère qui n’a d’écologique que le nom. Nous nous préparons à contrer par nos recours ses prochains arrêtés qui livreront la nature et les oiseaux aux chasseurs dont le seul plaisir est de détruire notre patrimoine pourtant déjà tellement vulnérable du fait du réchauffement climatique et de l’effondrement de la biodiversité.”

One Voice au cœur des corridas de la Feria des vendanges de Nîmes

One Voice au cœur des corridas de la Feria des vendanges de Nîmes

One Voice au cœur des corridas de la Feria des vendanges de Nîmes
21.11.2022
One Voice au cœur des corridas de la Feria des vendanges de Nîmes
Exploitation pour le spectacle

En septembre 2022, les enquêteurs de One Voice ont infiltré la Feria des Vendanges de Nîmes. Ils révèlent des discours sublimant la cruauté de la corrida, et des mises à mort de taureaux auxquelles assistent des enfants.

Pendant la Feria des Vendanges de Nîmes, qui s’est tenue du 15 au 18 septembre 2022, les enquêteurs de One Voice ont filmé une partie des corridas et des discours des aficionados. Sur place, glamourisation de la cruauté et torture des taureaux n’ont pas épargné les enfants, très nombreux dans le public.

Les images et les propos recueillis par les enquêteurs de One Voice à l’occasion de la Féria des Vendanges de Nîmes sont clairs. Chez les aficionados, la préservation des corridas est un véritable « combat » pour lequel les passionnés de mise à mort sont prêts à nier l’évidente maltraitance animale perpétrée dans les arènes. « Le taureau n’est pas stupidement sacrifié, n’est pas maltraité […] il est respecté dans son identité animale », clame Simon Casas, le directeur des arènes de Nîmes. Des propos violemment contredits par nos vidéos, où les taureaux, l’échine ensanglantée piquée de banderilles, affaiblis, hagards, sont provoqués sans relâche par leurs bourreaux jusqu’à leur mise à mort. Là où le directeur des arènes de Nîmes plaide qu’il y a du respect, et pas de « violence », l’ordre national des vétérinaires affirmé en 2016 que « les spectacles taurins sanglants […] ne sont aucunement compatibles avec le respect du bien-être animal ». Là où les aficionados déclarent que la culture de la corrida est « l’une des expressions de nos libertés » et apprennent à leurs jeunes enfants à acclamer la mise à mort d’animaux, le Code pénal punit de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende les sévices graves et actes de cruauté ayant entraîné la mort d’un animal. Des département comme le Gard, les Pyrénées-Atlantiques ou encore les Bouches-du-Rhône ne peuvent continuer à déroger à la loi pour torturer des animaux au nom de la tradition.

Une proposition de loi abolitionniste

En accord avec l’opposition du grand public aux corridas, puisque 87 % des Français sont favorables à la punition de tout acte de cruauté volontaire ayant entraîné la mort d’un animal selon une étude commanditée par la Fondation Brigitte Bardot et menée par l’Ifop en février 2022, nous poursuivons notre combat pour interdire a minima l’accès aux corridas aux mineurs et pour la fermeture des écoles taurines.

Nous soutenons la proposition de loi du député Aymeric Caron pour l’abolition de la corrida sur tout le territoire français. Après un week-end qui a mobilisé plusieurs milliers de personnesun rassemblement est prévu devant l’Assemblée nationale le 24 novembre, jour où la proposition de loi sera débattue en séance.

L’un de nos militants de l’antenne de Nantes, Killian Leroux, a développé un outil d’interpellation de vos députés. N’hésitez-pas à l’utiliser avant jeudi !

Ensemble, abolissons la corrida !

One Voice dépose plainte contre Genclis pour mauvais traitements envers les animaux du laboratoire

One Voice dépose plainte contre Genclis pour mauvais traitements envers les animaux du laboratoire

One Voice dépose plainte contre Genclis pour mauvais traitements envers les animaux du laboratoire
20.11.2022
One Voice dépose plainte contre Genclis pour mauvais traitements envers les animaux du laboratoire
Expérimentation animale

Le 6 avril 2022, One Voice a porté plainte au tribunal judiciaire de Nancy contre Genclis (Genomic Clinical Synergy) pour mauvais traitements envers les animaux placés sous la garde d’un établissement détenant et utilisant des animaux à des fins scientifiques (des souris, qui sont élevées et utilisées pour l’expérimentation). L’association a également demandé la suspension de l’agrément octroyé à cette entreprise pour la réalisation de ses activités.

Nous avons eu accès au rapport d’inspection de la DDPP (vétérinaires de la préfecture) de Meurthe-et-Moselle du 15 juin 2021, à la suite d’une procédure administrative de l’un de nos équipiers. Ce rapport fait mention de nombreuses non-conformités mineures et moyennes, portant notamment sur le logement et l’ambiance (non-conformité mineure suite à des problèmes de matériels, de luminosité et de température), le personnel (non-conformité moyenne, insuffisances dans les formations suivies par les agents, dans leur suivi, dans le travail réalisé par la structure du bien-être animal et dans les missions dévolues au vétérinaire), les animaux et la procédure (non-conformité moyenne, la stratégie des 3R et les points limites sont à retravailler) ainsi que les documents (non-conformité mineure, certaines mentions obligatoires sont absentes des documents).

La non-conformité majeure, elle, a trait au fait que plusieurs centaines de souris ont été réutilisées dans des expériences avant que le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et/ou le comité d’éthique ait donné son accord. Pire, l’un des projets a même été mis en œuvre avant que la demande ait été déposée ! Et ce, pour des projets dont le plus ancien date du 20 novembre 2019, soit plus d’un an et demi avant cette inspection.

Des centaines de souris ont donc été expérimentées encore et encore pendant des années sans autorisation et ont vécu dans des conditions de détention qui n’étaient pas aux normes, sous la supervision d’un personnel mal formé et donc incompétent sur le bien-être animal ! Nous considérons que ces souris, dont chacune est un individu à part entière, ont subi des mauvais traitements, et réclamons la suspension de l’agrément de la société Genclis. Notre plainte est partie chez le procureur de la République le 6 avril dernier.

Ensemble pour l’abolition! Les 19 et 20 novembre une centaine d’associations soutiendront sur le terrain l’abolition de la corrida portée par la PPL soumise au vote à l’Assemblée nationale le 24 novembre

Ensemble pour l’abolition! Les 19 et 20 novembre une centaine d’associations soutiendront sur le terrain l’abolition de la corrida portée par la PPL soumise au vote à l’Assemblée nationale le 24 novembre

Ensemble pour l’abolition! Les 19 et 20 novembre une centaine d’associations soutiendront sur le terrain l’abolition de la corrida portée par la PPL soumise au vote à l’Assemblée nationale le 24 novembre
14.11.2022
Ensemble pour l’abolition! Les 19 et 20 novembre une centaine d’associations soutiendront sur le terrain l’abolition de la corrida portée par la PPL soumise au vote à l’Assemblée nationale le 24 novembre
Exploitation pour le spectacle

Plus de 130 associations de défense des animaux dont One Voice soutiennent la PPL pour l’abolition de la corrida d’Aymeric Caron. Action coordonnée nationale dans plus de quarante villes.

Dans la continuité des campagnes associatives nombreuses et répétées demandant la fin de la corrida en France, l’interdiction d’accès aux arènes aux mineurs ou encore la fermeture des écoles taurines, le député REV Aymeric Caron, fidèle à ses valeurs et engagements, a déposé avec le groupe LFI-NUPES une proposition de loi (PPL) d’abolition de la corrida en France. Celle-ci est soutenue par plus de 130 associations de défense des animaux, regroupées sous un même collectif: Ensemble pour l’abolition, et s’inscrit dans le processus législatif dans la niche parlementaire de La France Insoumise. Les 19 et 20 novembre, ces associations de défense des animaux organisent une action coordonnée nationale dans plus de quarante villes de France pour soutenir cette proposition de loi, qui sera soumise au vote le 24 novembre.

Cette PPL a des chances d’être votée favorablement, étant donné que cette cause est transpartisane. Des députés de tous bords politiques ont d’ores et déjà annoncé qu’ils la soutiendraient. Le gouvernement, de son côté, continue à soutenir ad nauseam la « tradition », comme si une pratique devait être perpétuée, aussi cruelle soit-elle, juste parce qu’elle l’est depuis longtemps… Heureusement que notre société ne base pas tous ses raisonnements sur celui-ci. Nous rappelons que 87 % des Français sont favorables à l’abolition de la corrida (sondage IFOP/FBB de février 2022).

Mais une niche parlementaire a une subtilité : les PPL proposées par le parti concerné n’ont qu’une journée pour être votées. Si le temps manque pour arriver au bout du processus, elles sont purement et simplement abandonnées. Nos associations ont sur ce point précis le souvenir amer de celle portée par Cédric Villani en 2020, qui en seconde position n’avait pu être qu’introduite…

La corrida bénéficie d’une dérogation locale à la torture des animaux… C’est dire à quel point ce spectacle morbide est cruel et peut être choquant, d’autant plus pour des personnes sensibles telles que les enfants. C’est pourquoi nos associations soutiennent de longue date l’interdiction de l’accès aux corridas par les enfants et toute personne mineure. Nous demandons également la fermeture des écoles taurines, dans lesquelles plusieurs enquêtes de One Voice ont été menées pour dénoncer la violence perpétrée sur les jeunes taureaux par des élèves mineurs encouragés et entraînés à tuer des êtres vivants sentients, au détriment de leur équilibre psychique.

Nos actions collectives sur le terrain, la sensibilisation de l’opinion à la réalité de ce qu’est la corrida, la dénonciation des faux-semblants, ont déjà permis que moins de spectateurs se rendent dans les arènes pour voir le sang couler. Depuis des semaines, des militants de nos associations sont particulièrement mobilisés sur ce sujet, et des centaines de personnalités ont déjà affiché leur soutien pour la fin des corridas en France.

Les 19 et 20 novembre prochains, une quarantaine d’actions sur le terrain sont organisées partout en France. Une vingtaine par One Voice dans le cadre de son action nationale coordonnée et Alliance Éthique sous la bannière de leur collectif Stoppons la Corrida; ainsi que leurs partenaires d’Ensemble pour l’abolition, de la REV (Révolution Écologique pour le Vivant) et du Parti Animaliste dans une vingtaine de villes supplémentaires!
À Paris, sur la place du Châtelet, une action à fort impact visuel est organisée avec la participation de Peta.

Et le 24 novembre à Paris, jour du vote, nos associations soutiendront une fois encore la PPL devant l’Assemblée nationale à l’heure méridienne.

NB: les événements pouvant être modifiés à la dernière minute,
merci de vous référer aux événements en ligne avant de vous rendre sur place,
ils seront mis à jour en temps réel.

 

Département Villes Événement en ligne Lieu précis Horaires Organisation de l’action
05 Digne-les-Bains Voir l’événement Facebook Rond-point du 11 Novembre 10h à 14h30 One Voice
06 Nice Voir l’événement Facebook Place Masséna – le Paillon 11h à 13h One Voice
10 Troyes Voir l’événement Facebook 71, rue Émile Zola 15h30 à 17h30 One Voice
11 Carcassonne Voir l’événement Facebook annulé
13 Aix-en-Provence Voir l’événement Facebook Allée de Provence 10h30 à 12h One Voice
13 Marseille Voir l’événement Facebook Rond-point du  Prado 14h30 à 16h30
17 La Rochelle Voir l’événement Facebook Place de la Caille 14h30 à 17h One Voice
21 Dijon Voir l’événement Facebook Place François Rude 14h30 à 16h One Voice
22 Saint-Brieuc Voir l’événement Facebook 14h à 17h
24 Périgueux Voir l’événement Facebook 11h30 à 12h30 Parti Animaliste
24 Bergerac (20/11) Voir l’événement Facebook 10h30 à 12h Parti Animaliste
30 Nîmes Voir l’événement Facebook Arènes de Nîmes 12h à 15h Alliance Éthique et One Voice
31 Toulouse Voir l’événement Facebook Square Charles de Gaulle 9h30 à 11h
33 Bordeaux (20/11) Voir l’événement Facebook Place de la Comédie 13h30 à 17h One Voice
34 Montpellier Voir l’événement Facebook Place de la Comédie 10h à 13h One Voice
34 Béziers Voir l’événement Facebook Rue de la République 10h30-12h30 COLBAC
34 Lunel Voir l’événement Facebook Arènes de San Juan 8h à 11h Alliance Éthique et One Voice
35 Rennes Voir l’événement Facebook 11h30 à 14h Sentience
37 Tours Voir l’événement Facebook 11h30-13h REV et One Voice
42 Roanne Voir l’événement Facebook 12h à 15h Parti animaliste
42 Saint-Étienne Voir l’événement Facebook 13h à 17h Parti animaliste
44 Nantes Voir l’événement Facebook Place Royale 13h30 à 15h One Voice
45 Orléans Voir l’événement Facebook 14h à 17h
49 Angers Voir l’événement Facebook Rue Lenepveu 13h30 à 16h 259 Life France
56 Lorient Voir l’événement Facebook 15h à 16h30
57 Metz Voir l’événement Facebook 12, rue du petit Paris 15h à 16h30 One Voice
58 La-Charité-sur-Loire Voir l’événement Facebook
59 Lille Voir l’événement Facebook Place Richebé 14h30 à 16h One Voice
63 Clermont-Ferrand Voir l’événement Facebook 13h à 17h CRAC
64 Bayonne Voir l’événement Facebook Place Jacques Portes 13h30 à 15h One Voice
66 Perpignan Voir l’événement Facebook 9h à 12h
67 Strasbourg Voir l’événement Facebook Place d’Austerlitz 14h à 16h30 One Voice
69 Lyon Voir l’événement Facebook Place Saint-Jean 13h30 à 16h One Voice
73 Chambéry Voir l’événement Facebook AJAS
74 Annemasse Voir l’événement Facebook Place de l’Hôtel de ville 13h30 à 15h30 One Voice
75 Paris Voir l’événement Facebook Place du Châtelet 10h30 à 12h One Voice et Peta
76 Rouen (20/11) Voir l’événement Facebook Place de la Cathédrale 14h30 à 16h One Voice
76 Le Havre Voir l’événement Facebook Rue Albert André Huet 14h30 à 16h30
80 Amiens Voir l’événement Facebook Place René Goblet 14h à 16h One Voice
83 Fréjus Voir l’événement Facebook Place Camille Formigé 11h à 13h One Voice
83 Toulon Voir l’événement Facebook Quai de la Sinse 9h30 à 11h30 L214
84 Avignon Voir l’événement Facebook Place Pie 10h à 12h30 One Voice

Mise à jour  du 15 novembre: les événements ont été mis à jour (horaires, lieux, etc) ainsi que la mention de celui de Paris dans le corps de l’article.

Pour sauver les loups de Lozère et de Haute-Loire, One Voice au tribunal administratif de Nîmes le 15 novembre 2022

Pour sauver les loups de Lozère et de Haute-Loire, One Voice au tribunal administratif de Nîmes le 15 novembre 2022

Pour sauver les loups de Lozère et de Haute-Loire, One Voice au tribunal administratif de Nîmes le 15 novembre 2022
12.11.2022
Pour sauver les loups de Lozère et de Haute-Loire, One Voice au tribunal administratif de Nîmes le 15 novembre 2022
Animaux sauvages

Mardi 15 novembre 2022, One Voice sera présente à Nîmes pour faire suspendre en urgence un arrêté permettant de tuer des loups sur les communes de Chanaleilles, Saint-Alban-sur-Limagnole et Lajo où c’est actuellement interdit. Pour l’association, très engagée dans leur défense, l’enjeu est majeur et l’urgence réelle: des vies lupines sont en jeu. Les préfets de Lozère et de Haute-Loire ayant publié cet arrêté préfèrent autoriser le massacre de loups, quitte à mettre l’espèce encore plus en danger, plutôt que de placer les éleveurs face à leurs responsabilités, notamment celle de protéger correctement les troupeaux.

Pour mémoire, les loups sont une espèce protégée par la Convention de Berne ainsi que par la directive de 1992 dite « Habitats ». Cette dernière a imposé la mise en place d’une protection stricte des loups au sein des États membres. La France a donc pris des dispositions en ce sens, qui figurent dans le Code de l’environnement. Comme toujours, des dérogations à cette protection peuvent toutefois être adoptées légalement si des conditions sont réunies…

Encore faut-il qu’elles le soient ! C’est ce que nous remettons en cause dans notre requête visant l’arrêté du 26 octobre. Pour nous, ces vices de forme peuvent faire que le tribunal reconnaisse qu’un doute existe sur la légalité de l’arrêté.

Par exemple, le préfet se contente de dire sans plus de précisions que les éleveurs concernés ont mis en place des mesures de protection des troupeaux sans justifier qu’elles soient effectives, alors que c’est pourtant une condition sine qua non pour que l’autorisation des tirs soit octroyée. Les dommages attribués aux loups sont a minima discutables. Autre condition indispensable pour autoriser une dérogation: la gradation des tirs (d’effarouchement, puis de défense simple, puis renforcés, et enfin de « prélèvement »), celle-ci n’ayant même pas été mise en place au préalable.

En parallèle, il y a une réelle urgence à suspendre l’arrêté, car il est adopté depuis une quinzaine de jours et la mort des loups est par définition irréversible. Leur espèce est protégée et l’activité pastorale n’est pas en danger. De plus, d’après les scientifiques, l’efficacité des tirs pour réduire les dommages n’est pas démontrée.

Enfin, quand dommages il y a, ils sont indemnisés par l’État. De plus, on n’oublie pas que les troupeaux sont destinés par les éleveurs à l’abattoir, et que le pastoralisme n’est plus ce qu’il était au temps jadis. La pratique est différente, le nombre et le type d’animaux ont également évolué… pas pour le mieux, ni pour la nature, ni pour les animaux.

Le 7 novembre 2022 dernier, One Voice a donc déposé un référé-suspension qui porte sur les effets immédiats de l’arrêté, et un recours en annulation qui porte sur la légalité de l’arrêté. L’audience en référé aura lieu le 15 novembre prochain au tribunal administratif de Nîmes.

Encore une fois, on se retrouve dans une situation où les préfets préfèrent une forme de paix sociale, ménageant les susceptibilités des éleveurs pouvant se révéler violents quand ils n’ont pas gain de cause (on l’a vu encore récemment) plutôt que de respecter les principes de la protection d’une espèce en danger. L’arrêté inter-préfectoral que nous attaquons est une dérogation à la loi existante – qui ne nous semble déjà pas suffisamment protectrice – permettant de tuer encore et toujours plus de loups, alors que les conditions nécessaires à leur autorisation ne sont même pas réunies.

Nage forcée : d’autres approches sont possibles

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Nage forcée : d’autres approches sont possibles
07.11.2022
Nage forcée : d’autres approches sont possibles
Expérimentation animale

Le ministère de la Recherche a approuvé une procédure de chocs électriques et de nage forcée cette année en France, alors que des entreprises dans le monde entier abandonnent ce test largement décrié et que les lobbies peinent à le défendre. Les animaux ne devraient pas souffrir pour nous, d’autant que des méthodes de substitution et des solutions non expérimentales existent pour aider les personnes qui souffrent.

Les utilisations récentes du test de nage forcée ne cherchent pas à mimer la dépression humaine (ce que ce test fait très mal), mais à prédire l’efficacité de molécules sur l’état dépressif. Malgré des données récentes tout à fait mauvaises en termes de proportion de résultats positifs pour cette prédiction, on ne peut donc pas dire que le test de nage forcée ne serve strictement à rien s’il est réalisé de manière rigoureuse en contrôlant toutes les variables qui peuvent influencer le résultat. Mais le fait qu’un test utilisant des animaux puisse être utile ne veut pas dire qu’il est justifié.

De plus, comme l’a fait remarquer récemment le NC3R (centre britannique dédié notamment aux alternatives à l’expérimentation animale), des molécules efficaces et des voies novatrices ont pu être manquées à cause d’une confiance trop grande dans les résultats de ce test.

Par ailleurs, d’autres tests existent, beaucoup moins stressants pour les animaux, notamment en mesurant leurs capacités de mémoire pour évaluer l’effet de différentes molécules. Mais il s’agit encore de faire naître des animaux, de les enfermer et de les utiliser pour nos intérêts, ce qui est inacceptable.

Les méthodes de substitution

Si l’on s’en tient au « Remplacement » tel qu’il est défini par la réglementation française, dans l’idée de viser les mêmes objectifs à court terme et de trouver les mêmes résultats expérimentaux sans animaux, les solutions sont effectivement peu nombreuses, mais elles existent et peuvent être développées.

Les recherches sur cultures de cellules dans ce domaine ne permettent pas d’estimer l’effet comportemental des médicaments, mais sont intéressantes pour évaluer des effets biologiques qui peuvent être largement prédictifs concernant l’efficacité des antidépresseurs. C’est ce qu’a souligné récemment le NC3R, en remarquant la prédictivité déjà établie dans ce domaine et le développement prometteur des dosages de BDNF (« facteurs neurotrophiques dérivés du cerveau ») dans le sang humain et dans les cultures de cellules neuronales.

Du côté des ordinateurs, la « psychiatrie computationnelle » se développe depuis quelques années, qui permettra vite, à n’en pas douter, d’étudier bien des aspects des maladies psychiatriques sans faire souffrir qui que ce soit.

Mais il y aurait peut-être de meilleures voies à emprunter : favoriser la prévention et mettre en place les conditions favorables à des psychothérapies efficaces.

La prévention et les traitements non médicamenteux

En ce qui concerne la prévention, il faudrait donc privilégier le financement du travail sur les facteurs externes de dépression et de stress chronique, afin de réduire le nombre de personnes concernées par des dépressions induites par des conditions de travail indignes ou par l’exposition à un environnement social, politique et économique délétère. Les subventions ne sont pas extensibles à volonté. L’argent qui finance les tests de nage forcée et souffrances infligées à des animaux est de l’argent qui ne sera pas utilisé pour travailler à la prévention de la dépression[1].

Par ailleurs, dans un compte rendu d’un documentaire français très récent, Franck Ramus (chercheur en sciences cognitives) souligne le lien entre la consommation élevée de psychotropes en France et la domination des cursus universitaires de psychologie par des approches basées sur des croyances plutôt que sur des preuves, ce qui avait déjà été mis en évidence lors d’un colloque organisé en 2013 sur ce sujet. Le public se trouve donc exposé à une majorité de psychologues et psychiatres qui utilisent des outils inadaptés pour le soigner. Au lieu de financer l’utilisation d’animaux pour mettre au point encore plus de médicaments, on pourrait mieux employer cet argent pour engager la réforme urgente de l’enseignement des psychothérapies et mettre en place des campagnes d’information du public visant à l’orienter vers des thérapies efficaces.

Les animaux ne doivent pas souffrir pour nous

Les rats, ces créatures merveilleuses pleines d’empathie, qui rient, qui jouent, qui réfléchissent, qui ressentent des émotions aussi complexes que des regrets, n’ont pas à souffrir pour nous.

Et ce qu’on peut dire avec certitude aujourd’hui, c’est que les 600 rats dont l’utilisation a été approuvée par le ministère de la Recherche pour des chocs électriques répétés et des tests de nage forcée vont souffrir. Cela se passe en 2022, en France.

Avec nous, sollicitez le ministère de la Recherche pour refuser ces tests.

Sur la cruauté

Cliquez sur le texte pour tweeter : Stop aux chocs électriques et à la nage forcée pour les animaux ! Les pouvoirs publics ne devraient pas autoriser ces expériences cruelles @sup_recherche #StopNageForcée #EndAnimalTesting #ExpérimentationAnimale https://ctt.ec/_h2fq+ via @onevoiceanimal

Cliquez sur le texte pour tweeter : .@sup_recherche, la France doit s’engager, comme les laboratoires à l’étranger, à mettre fin aux tests cruels de la nage forcée sur les souris et les rats ! #StopNageForcée #EndAnimalTesting #ExpérimentationAnimale https://ctt.ec/UPW92+ via @onevoiceanimal

Sur les alternatives

Cliquez sur le texte pour tweeter : Rendre des rats dépressifs à coups de chocs électriques ne donnera pas des thérapies plus efficaces. Stop à l’#ExpérimentationAnimale, @sup_recherche ! #StopNageForcée #EndAnimalTesting https://ctt.ec/iV6Un+ via @onevoiceanimal

Cliquez sur le texte pour tweeter : Au lieu de torturer des rats pour produire toujours plus de médicaments, formez les psychologues et les psychiatres aux outils du 21e siècle ! @sup_recherche #StopNageForcée #EndAnimalTesting #ExpérimentationAnimale https://ctt.ec/omBL7+ via @onevoiceanimal

Cliquez sur le texte pour tweeter : Stop aux chocs électriques et à la nage forcée ! Financez plutôt le développement des méthodes in vitro ! @sup_recherche #StopNageForcée #EndAnimalTesting #ExpérimentationAnimale https://ctt.ec/c1dLo+ via @onevoiceanimal

[1] La réattribution des fonds n’est pas particulièrement simple et doit se faire sur le plan politique pour les financements publics, et par la sensibilisation des fondations et autres organismes pour les subventions privées. Mais cette redistribution paraît grandement nécessaire quand on voit les souffrances qui sont générées par la répartition actuelle des financements.

Signez pour en finir avec le test de nage forcée

Cet article est le quatrième d’une série de cinq sur la nage forcée :

  1. Chocs électriques et nage forcée en France en 2022
  2. Nage forcée : les images
  3. Nage forcée : les entreprises qui avancent et l’industrie qui résiste
  4. Nage forcée : d’autres approches sont possibles
  5. Nage forcée : un combat de longue haleine