Un jour de trop dans les cirques ! One Voice en action à Granville pour les animaux

5 heures. Il aura fallu 5 heures de body-painting à la talentueuse Ophélie Nezan, pour transformer le mannequin Juliana Marques en tigre, à l'image du logo de One Voice. Ainsi transformée, la belle Juliana a porté notre message « Libérons les animaux des cirques ! » jusque devant le chapiteau de l'un des plus grand cirques avec animaux d'Europe. En présence de médias, et sous les applaudissements des passants, elle a courageusement tenu notre pancarte. Le cirque, quant à lui, avait positionné tous ses camions pour que les journalistes ne puissent pas filmer les animaux… Et en a profité pour quelques insultes à notre encontre.

Déjà 64 villes en France et 20 pays dans le monde interdisent les animaux sauvages dans les cirques. Depuis 18 ans, One Voice se bat pour faire connaître leur sort sous les chapiteaux et dans les remorques où ils vivent enfermés. Ses enquêtes ont révélé la violence de leur dressage . Et une large majorité de Français considère désormais qu'ils sont stressés (80%) et malheureux (69%). C'est un tournant historique qui s'annonce !

Cette action symbolique marque le lancement de la nouvelle campagne de One Voice « Un jour de trop dans les cirques », un compte à rebours inversé que vous pouvez retrouver sur cirques-animaux.fr.
Pour que la France soit le 21ème pays du 21ème siècle à refuser l'exploitation des animaux sauvages dans les cirques, mobilisons-nous ! Leur liberté est à portée de clic !

Rendez-vous sur cirques-animaux.fr et partagez largement sur les réseaux !

Commentaires 62

Pseudo :*

Email :*

En déposant un commentaire j'accepte la charte de modération des commentaires.

Je souhaite être tenu au courant des campagnes de One Voice et participer à son combat et j'accepte de recevoir des appels aux dons de l'association.

J'accepte que les informations saisies dans le formulaire soient enregistrées et utilisées par l'association dans le cadre du traitement de ma demande et je certifie avoir 16 ans ou plus.*

Pour en savoir plus sur le traitement de vos données personnelles consultez le détail sur cette page.

Bien sûr que la présence et l'exhibition des animaux issus d'espèces sauvages dans les cirques doivent cesser au plus vite. Mais il faut penser aussi à ce qu'ils deviendront ensuite. Quelles structures pourront les recevoir ? L'Etat est-il prêt à payer pour cela ? Et cessons quant à nous d'insulter, de condamner les circassiens, de les traiter d'assassins, d'esclavagistes, de tortionnaires et de bourreaux. J'ai connu parmi eux des gens qui étaient très attachés à leurs animaux, et leur principal moteur n'était pas l'appât du gain. D'ailleurs si ce travail était si lucratif, cela se saurait. Il est toujours facile de condamner, beaucoup moins de réparer. Mais c'est de réparateurs dont nous avons besoin, bien plus que d'accusateurs publics.

A-t-on besoin d'une bonne femme à poil pour défendre une cause?

BRAVO, félicitations pour votre action, nous sommes au 21e siècle et savons désormais depuis longtemps le stress et la maltraitance dont souffrent tous les animaux enfermés dans les cirques. A vous les jeunes qui ne pouvez plus vous passer de votre "mobile" ou "tablette", faites-vous les défenseurs de ces animaux, rendons-leur le respect et la vie à laquelle ils ont droit au 21e s.