Les animaux y survivent dans les pires conditions qui soient. Certains ont même été capturés alors qu’ils étaient libres, arrachés à leur famille souvent exterminée sous leurs yeux.
Le dressage est violent
Il faut soumettre, par la peur, la violence, la faim. Tous les moyens sont bons ! Les fauves en viennent à craindre plus le fouet que le feu, les éléphants à redouter plus la pique que la douleur des postures qu’on les oblige à adopter… quand ils ne deviennent pas fous, comme les dauphins qui se suicident, ou les orques qui tuent leur dresseur.
Un quotidien de violence et de privations
Durant les spectacles, ils subissent aussi le bruit tonitruant de la musique et des applaudissements. Puis rejoignent leur triste univers carcéral. Des remorques brinqueballées de ville en ville, dans le froid ou la chaleur extrêmes, ou des bassins en béton où il n’y a rien à faire, nulle part où se protéger, ni du soleil, ni des congénères agressifs.
Stop aux animaux dans les spectacles !
Pour One Voice, cet esclavage moderne n’a que trop duré. Nous nous battons pour que tous les animaux détenus soient placés dans des sanctuaires où l’ensemble de leurs besoins seront satisfaits. Pour cela, nous luttons sur tous les fronts. Si la désaffection du public pour ce type de spectacle est essentielle, il est également crucial de porter plainte chaque fois qu’un cas de maltraitance avéré est mis en lumière et de convaincre les pouvoirs publics de faire évoluer la réglementation.
Ensemble, nous pouvons libérer les animaux victimes des cirques et des delphinariums !