JIDA – Journée Internationale des Droits des Animaux

JIDA – Journée Internationale des Droits des Animaux

JIDA – Journée Internationale des Droits des Animaux – décembre 2025

Parce qu’il n’y a pas des combats mais un seul combat pour les animaux, les humains et la planète, agissons ensemble !

 

One Voice vous invite à se joindre à elle à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Animaux.

Nous porterons dans la rue la voix de l’ensemble des victimes de la chasse, qu’elles soient des renards roux ou des corneilles noires condamnés à mort par l’État qui les a inscrits sur la liste des « Espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » (ESOD), des blaireaux et de leurs petits poursuivis jusque dans leurs terriers, des ours et des loups diabolisés et décimés, ou encore des oiseaux devant fuir aussi bien les balles que les matoles, les pantes et les tenderies.

Nous martèlerons notre opposition aux cirques et aux delphinariums qui exploitent encore de si nombreux individus dressés subissant des coups pour divertir quelques personnes. Pour eux, nous demandons encore et toujours un transfert dans des sanctuaires pour une vie digne.

Nous serons également aux côtés de tous les animaux capturés dans la nature et soumis à une reproduction qui ne prend fin qu’entre les murs des laboratoires, où ils subissent des expériences toujours aussi nombreuses et douloureuses. Mais aussi auprès des taureaux victimes du spectacle sanglant des corridas, des chevaux recevant des coups dans les centres équestres, des animaux exploités et tués pour leur chair, leur fourrure ou leur peau, des chats errants, négligés par l’État, et de tous ceux faisant l’objet d’une honteuse marchandisation dans les salons du chiot ou de trafics illégaux sur Internet.

Spectacles, alimentation, loisirs, mode, habitat… nous nous tiendrons debout pour les représenter !

« Comment porter la parole des animaux au milieu des guerres et des catastrophes que subissent les humains ? Nous portons cette parole avec fierté. Oui, nous sommes très fiers de défendre les animaux. Avec courage et abnégation, il en faut. Et plus encore avec amour, en sachant que l’unité des combats pour les animaux, la nature et les humains n’a jamais autant fait sens.

Ceux qui imaginent que nous finirons par lâcher n’ont pas compris la force de notre engagement, et la force de ce qui nous lie pour le poursuivre ! » Muriel Arnal

Informations utiles

Où, quand, comment?

13 décembre :

Antibes

Brive-la-Gaillarde (événement en cours de création)

Metz

Montpellier 

Nantes

Paris

 21 décembre :

Marseille (événement en cours de création)

Retrouvez nous :

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Antibes – Dauphins et orques de Marineland : un sanctuaire, rien d’autre !

Antibes – Dauphins et orques de Marineland : un sanctuaire, rien d’autre !

Dauphins et orques de Marineland : un sanctuaire, rien d’autre !

 

Mobilisation pour les animaux victimes de la captivité !

 

 

Plus de onze mois après la fermeture définitive de Marineland, l’établissement persiste à exercer des pressions sur les autorités françaises dans le but de transférer les orques et les dauphins vers des delphinariums à l’étranger – d’abord au Parc de Kōbe, au Japon, puis à Loro Parque, à Tenerife. Et ce, en dépit des refus successifs des gouvernements concernés.

Cette fermeture ne saurait être un prétexte pour abandonner ces animaux à leur sort. Marineland a une responsabilité pleine et entière envers ceux qu’il a maintenus captifs depuis tant d’années. Aujourd’hui que les gradins sont vides, les animaux seraient relégués à de simples actifs à liquider ? Cette logique est indigne. Ce désengagement, à la fois moral et politique, est inacceptable.

Nous réclamons, depuis des années, une seule chose : une retraite digne et apaisée pour tous les animaux exploités par le parc. Des solutions ont été proposées mais sont restées sans suite.

Quand on s’arroge le droit de priver des êtres vivants de liberté, quand on les fait naître en captivité pour les transformer en produits d’appel, alors on assume ses actes jusqu’au bout.

Prétendre aujourd’hui avoir étudié « les meilleures options dans l’intérêt des animaux » est une insulte à l’intelligence collective : les sanctuaires, pourtant seuls lieux pouvant leur offrir un véritable repos, ont été d’emblée écartés – car ils représenteraient, selon Marineland, une victoire des associations de protection animale.

Quelle absurdité ! Quelle mesquinerie !

L’annonce brutale de la fermeture du parc a précipité les décisions de l’État qui n’a pas anticipé la fin des détentions des cétacés en France.

À ce jour, le gouvernement valide le projet de Beauval pour les dauphins, qui n’est ni plus ni moins que la création d’un nouveau delphinarium en France, allant contre l’esprit même de la loi de 2021 luttant contre la maltraitance animale. Quelle hypocrisie !

Il est impératif que Marineland, le ministère de la Transition écologique, One Voice et toutes les parties concernées se réunissent avec un objectif commun : garantir à ces animaux une fin de vie décente, loin de l’exploitation, loin des bassins chlorés.

Transférer un problème n’a jamais permis de le résoudre.
Il est temps de cesser de considérer les orques et les dauphins comme de simples objets de spectacle ou sujets de soi-disant recherches scientifiques.
Il est hors de question qu’ils soient envoyés dans un autre delphinarium.

Mobilisons-nous !

Rejoignez-nous lors de notre action dans le cadre de la Journée Mondiale des Droits des Animaux, signez et partagez notre pétition.

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Lieu:

Place des Martyrs de la Résistance – Antibes

Date:

samedi 13 décembre 2025

Horaires:

10h30 – 12h30

Inscrivez-vous – Lien menant à la page de l’événement Facebook

Ou contactez l’antenne locale via le mail : aurore.defix@one-voice.fr

Nantes – Dauphins de Planète Sauvage : un sanctuaire et rien d’autre !

Nantes – Dauphins de Planète Sauvage : un sanctuaire et rien d’autre !

Dauphins de Planète Sauvage : un sanctuaire et rien d’autre !

 

Mobilisation pour les animaux victimes de la captivité !

Planète Sauvage, dernier delphinarium en France, persiste dans l’exploitation des animaux marins.

En janvier 2025, le Marineland d’Antibes a définitivement fermé ses portes. Depuis, Planète sauvage a persisté dans l’exploitation des animaux marins, sous couvert d’un présumé “intérêt scientifique et de protection”.

Aujourd’hui, Planète Sauvage a annoncé se séparer des dauphins.
Nous aurions pu espérer que le parc pensait offrir une retraite paisible à ces animaux, après les avoir utilisés des années durant. Mais pas du tout. Planète Sauvage prévoit d’envoyer les 11 dauphins vers le zoo de Beauval, qui ne sera ni plus ni moins qu’un nouveau delphinarium en France.

Le zoo de Beauval a annoncé vouloir créer un “centre d’étude et de recherche” en accueillant les dauphins de Planète Sauvage et ceux du Marineland. Planète Sauvage insiste même sur l’importance de perpétuer la recherche scientifique. Une recherche scientifique biaisée par l’observation d’individus loin de leur milieu naturel. Au nom d’une soi-disant préservation et mission scientifique, c’est une vie de souffrances et de privation qui est imposée à ces individus à la sensibilité et à l’intelligence si grandes.

Le projet de Beauval c’est : des bassins en béton joliment décorés, des bassins dont la taille ne dépasse pas celui de Marineland et celui de Planète Sauvage réunis, des bassins pouvant détenir 30 cétacés, de la reproduction et des transferts vers d’autres parcs, d’autres pays comme la Chine. Tout ce qui aurait dû être évincé à travers la loi de 2021.

Cessons l’hypocrisie !

Mobilisons-nous : rejoignez-nous lors de notre action dans le cadre de la Journée Mondiale des Droits des Animaux, signez et partagez notre pétition.

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Lieu:

Place du Commerce – Nantes

Date:

samedi 13 décembre 2025

Horaires:

11h – 12h

Inscrivez-vous – Lien menant à la page de l’événement Facebook

Ou contactez l’antenne locale via le mail : loireatlantique@one-voice.fr

Action nationale – Respect pour les loups

Action nationale – Respect pour les loups

Action nationale – Respect pour les loups
Respect pour les loups – novembre 2025

Pour  Milo, Mina, leurs petits, et tous les loups en France, mobilisons-nous !

Après avoir été exterminés, les loups sont revenus naturellement en France. Cette bonne nouvelle pour nos écosystèmes est pourtant extrêmement mal accueillie par certains : les chasseurs et les éleveurs ont décidé qu’ils étaient leurs concurrents et, avec l’appui de l’État, leur massacre a repris. Ils étaient jusque-là considérés comme une espèce strictement protégée, mais aujourd’hui, malgré une mobilisation nationale, ce statut a été revu à la baisse et les tirs, qui ne devaient se produire que lorsque tous les autres moyens ont été tentés pour les éviter, ne cessent de se multiplier. 

Un loup sur cinq est tué chaque année. Les louveteaux ne sont pas épargnés, mettant leur population en péril.

Engagée sur le terrain de la justice, One Voice n’a de cesse de dénoncer les arrêtés illégaux et de saisir les tribunaux chaque fois que nécessaire. L’association œuvre également à la réhabilitation des loups, à démonter les préjugés dont ils sont victimes et à faire connaître leur véritable identité.

Contre les loups, l’acharnement total de l’État

Parmi eux, Milo et Mina, couple de loups au patrimoine génétique unique en France, sur le plateau de Millevaches. Malgré la traque et les blessures subies, quatre petits ont vu le jour en mai dernier.

Cette nouvelle est une chance exceptionnelle pour la nature. Mais malgré leur statut d’espèce protégée, les menaces de braconnage rôdent et des arrêtés prévoyant des tirs sont publiés. One Voice demande d’agir en urgence, exigeant des mesures concrètes pour protéger les animaux des élevages plutôt que de tuer cette famille. L’association propose même une aide financière pour la mise en place de mesures de protection efficaces.

Le grand méchant loup n’existe que dans les contes

Nous continuerons de soutenir la seule approche qui vaille, qui reste complètement écartée par le gouvernement et les éleveurs : la cohabitation.

Alors que les loups sont traqués, menacés, massacrés et que les discours haineux gagnent du terrain, les tribunaux nous donnent raison : la protection des loups est une obligation légale. Face à l’inaction de l’État, la mobilisation s’amplifie. Prochaine étape : une journée d’action nationale le 22 novembre. Rejoignez-nous !

Vous pouvez signer et partager notre pétition.

Retrouvez plus d’informations grâce à notre rapport.

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Date :

Samedi 15 novembre 2025

Lieu :

Troyes

 

Date :

Samedi 22 novembre 2025

Lieux :

Amancy

Bar-le-Duc

Brive la Gaillarde

La Rochelle

Marseille 

Metz

Nice

Paris

 

Date :

Dimanche 23 novembre 2025

Lieux :

Bordeaux

Fréjus

 

Date :

Samedi 29 novembre 2025

Lieu :

Montpellier

Action nationale – La chasse, un problème mortel

Action nationale – La chasse, un problème mortel

Action nationale – La chasse, un problème mortel
La chasse, un problème mortel – octobre 2025

Chaque année en France, ce sont 45 millions d’animaux qui sont tués par les chasseurs.

Différentes chasses, un seul objectif

Chasse en enclos, chasse à courre, déterrage, piégeage, chasses dites « traditionnelles »… Qu’importe son appellation, la seule volonté des chasseurs est de traquer et tuer des êtres vivants et sensibles. Ils revendiquent un soi-disant rôle de « gardiens de la biodiversité », d’amoureux de la nature et de la faune sauvage. One Voice n’a de cesse de démonter cette propagande. Au nom de la « tradition » et du loisir, malgré l’effondrement de la biodiversité, les chasseurs infligent des souffrances insupportables aux animaux.

L’hypocrisie de la chasse

Pour assouvir la soif de sang des chasseurs, tous les moyens sont bons. Agrainage, matériel de chasse ne laissent aucune chance aux animaux sauvages et d’élevage. Un quart des animaux chassés, que ce soient les faisans, les perdrix, les canards, les lapins… sont élevés derrière les barreaux avant d’être relâchés dans la nature. Incapables de se débrouiller seuls, ils meurent sous les balles.

Les chasseurs s’autoproclament premiers écologistes de France. Lorsque l’on sait que leur loisir sordide implique des tonnes de plomb déversées dans la nature, des déchets, qu’elle perturbe, déséquilibre et endommage la biodiversité, ce titre est d’une hypocrisie sans nom. 

Un « loisir » qui tue aussi les humains et nos compagnons 

La chasse nuit mortellement aux animaux de la forêt. Mais pas seulement. Le sort des chiens et des chevaux utilisés durant les traques n’est guère meilleur. Les chiens sont ainsi considérés comme des outils interchangeables, exploités jusqu’à épuisement, détenus dans des conditions misérables, victimes des animaux sauvages qui se défendent ou des balles perdues. Et c’est sans compter les « accidents » qui terrorisent, blessent, voire tuent humains et animaux familiers. Il y en a chaque année. 

Les raisons du combat : faire respecter les êtres vivants

Grâce à ses actions, One Voice a remporté de nombreuses victoires. Elles ne sont que la première étape du combat pour l’abolition pure et simple de la chasse, sous toutes ses formes. Les animaux sauvages qui peuplent campagnes et forêts aspirent à vivre en paix. Partout ils disparaissent, irrémédiablement. Partout la Nature est en danger. Partout, y compris dans les zones rurales, les Français sont majoritairement opposés à la chasse. Nous sommes déterminés à protéger ces territoires et à faire respecter ces millions d’individus traqués, persécutés et tués chaque année.

Mobilisons-nous !

Face à des chasseurs qui se croient assurés de leur impunité, face à une insécurité et une opposition exprimées par 53 % des Français, demandons, comme première étape, une réforme radicale de la chasse. 

À travers cette action coordonnée, portons la voix des millions d’animaux sauvages massacrés et de toutes les victimes collatérales de la chasse. 

 

Rejoignez-nous !

 

Retrouvez nos pétitions à signer :

Pour une réforme radicale de la chasse

Pour la fermeture des élevages d’animaux sauvages

Pour protéger les chiens de chasse

Pour l’interdiction des pièges

Pour protéger les espèces d’oiseaux menacées

Pour sortir les renards de la liste des espèces dites “nuisibles”

Pour mettre fin à la vénerie sous terre

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Date :

Samedi 18 octobre 2025

Lieu :

Metz

 

Date :

Samedi 25 octobre 2025

Lieux :

Bar-le-Duc

Fréjus

Marseille

Nantes

Nice

Paris

Troyes

 

Date :

Dimanche 26 octobre 2025

Lieu :

Bordeaux

 

Date:

Dimanche 02 novembre 2025

Montpellier

Rousset – Non à l’extension du centre de primatologie

Rousset – Non à l’extension du centre de primatologie

Rousset – Non à l’extension du centre de primatologie
#ExpérimentationAnimale

Maintenons notre mobilisation pour dire non à l’extension du centre de primatologie de Rousset.

À Rousset, le CNRS investit massivement dans l’extension de sa station de primatologie, passant de 600 à 2000 primates (babouins, macaques, singes-écureuils et marmousets) destinés aux laboratoires français.

Un appel d’offres pour réaliser les travaux d’agrandissement a d’ores et déjà été publié. Ce projet de plus de 30 millions d’euros, financé par vos impôts, est un non-sens. Non-sens en matière d’innovation, non-sens en matière d’argent public, non-sens en matière environnementale.

Le 26 avril dernier, pour les primates victimes de cette industrie et pour dénoncer ce projet au sens large, nous avons été plus d’une centaine à manifester lors d’une action organisée avec le Collectif Vauclusien de Protection Animale et soutenue par 70 associations et structures. Nous avons interpellé les élus locaux pour les rallier à notre cause et à celle des singes expérimentés à l’occasion des premières discussions au Conseil métropolitain, le 26 juin. Par la suite, nous avons été sur le terrain afin d’informer et sensibiliser les habitants de Rousset lors de stands.

Mobilisons-nous à nouveau !

Trois Français sur quatre contre l’expérimentation animale

Alors que trois Français sur quatre sont contre l’expérimentation animale et que la directive européenne préconise la baisse du nombre d’animaux dans ce domaine, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) de Rousset va à l’encontre de cette volonté, en souhaitant « produire » près de la moitié des macaques destinés aux laboratoires français.

La France, le plus mauvais élève européen

Toujours plus de 2000000 animaux expérimentés. La France utilise à elle seule plus de 3000 singes sur les près de 6000 encore exploités annuellement en Europe.

Les macaques à longue queue en première ligne

Sur ces 3000 singes, 2500 sont des macaques à longue queue. Parmi les primates, ils sont les tristes favoris de l’industrie du médicament. Provenant d’élevages situés notamment au Cambodge et au Vietnam, certains individus sont capturés dans leur milieu naturel, comme l’a montré notre enquête à Maurice en 2023. Depuis 2022, ils sont classés « en danger d’extinction » sur la liste rouge des espèces de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

Arrivés dans les laboratoires, singes et guenons endurent une vie de souffrances, liée non seulement à leurs conditions de détention mais surtout aux expériences qui leur sont infligées.

Un manque cruel d’innovation et de transparence

Alors que dans de nombreux domaines, la recherche innove pour se passer de l’expérimentation animale et que les méthodes alternatives deviennent de plus en plus fiables, le CNRS poursuit son projet d’extension de la station de Rousset dans l’objectif d’en faire à terme un véritable marché lucratif.

Le domaine de l’expérimentation animale reste un milieu très opaque, tant sur la provenance des animaux, les chiffres réels, leurs conditions de détention et les expériences qu’ils subissent.

Chaque mobilisation compte

Depuis sa création, l’association lutte pour la nature et les animaux, y compris ceux victimes d’expériences. Nous avons déjà réussi à faire échec au projet d’extension d’un laboratoire à Niederhausbergen, en Alsace.

Nous pouvons faire de même concernant Rousset. Votre soutien est donc essentiel !

Retrouvez-nous au stand d’information, mercredi 5 novembre, place Borde à Rousset.

 

Pour plus d’informations, consultez notre rapport sur les primates dans l’expérimentation animale.

Pour dire non à l’extension du Centre de primatologie de Rousset, signez et partager notre pétition.

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Date :

Mercredi 5 novembre 2025

 

Lieu :

Place Borde, 13790 Rousset

 

Horaires :

de 10h15 à 12h30

 

Lien menant à l’événement Facebook

Rousset – Non à l’extension du centre de primatologie

Rousset – Non à l’extension du centre de primatologie

Rousset – Non à l’extension du centre de primatologie
#ExpérimentationAnimale

Maintenons notre mobilisation pour dire non à l’extension du centre de primatologie de Rousset.

À Rousset, le CNRS investit massivement dans l’extension de sa station de primatologie, passant de 600 à 2000 primates (babouins, macaques, singes-écureuils et marmousets) destinés aux laboratoires français.

Un appel d’offres pour réaliser les travaux d’agrandissement a d’ores et déjà été publié. Ce projet de plus de 30 millions d’euros, financé par vos impôts, est un non-sens. Non-sens en matière d’innovation, non-sens en matière d’argent public, non-sens en matière environnementale.

Le 26 avril dernier, pour les primates victimes de cette industrie et pour dénoncer ce projet au sens large, nous avons été plus d’une centaine à manifester lors d’une action organisée avec le Collectif Vauclusien de Protection Animale et soutenue par 70 associations et structures. Nous avons interpellé les élus locaux pour les rallier à notre cause et à celle des singes expérimentés à l’occasion des premières discussions au Conseil métropolitain, le 26 juin. Par la suite, nous avons été sur le terrain afin d’informer et sensibiliser les habitants de Rousset lors de stands.

Mobilisons-nous à nouveau !

Trois Français sur quatre contre l’expérimentation animale

Alors que trois Français sur quatre sont contre l’expérimentation animale et que la directive européenne préconise la baisse du nombre d’animaux dans ce domaine, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) de Rousset va à l’encontre de cette volonté, en souhaitant « produire » près de la moitié des macaques destinés aux laboratoires français.

La France, le plus mauvais élève européen

Toujours plus de 2000000 animaux expérimentés. La France utilise à elle seule plus de 3000 singes sur les près de 6000 encore exploités annuellement en Europe.

Les macaques à longue queue en première ligne

Sur ces 3000 singes, 2500 sont des macaques à longue queue. Parmi les primates, ils sont les tristes favoris de l’industrie du médicament. Provenant d’élevages situés notamment au Cambodge et au Vietnam, certains individus sont capturés dans leur milieu naturel, comme l’a montré notre enquête à Maurice en 2023. Depuis 2022, ils sont classés « en danger d’extinction » sur la liste rouge des espèces de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

Arrivés dans les laboratoires, singes et guenons endurent une vie de souffrances, liée non seulement à leurs conditions de détention mais surtout aux expériences qui leur sont infligées.

Un manque cruel d’innovation et de transparence

Alors que dans de nombreux domaines, la recherche innove pour se passer de l’expérimentation animale et que les méthodes alternatives deviennent de plus en plus fiables, le CNRS poursuit son projet d’extension de la station de Rousset dans l’objectif d’en faire à terme un véritable marché lucratif.

Le domaine de l’expérimentation animale reste un milieu très opaque, tant sur la provenance des animaux, les chiffres réels, leurs conditions de détention et les expériences qu’ils subissent.

Chaque mobilisation compte

Depuis sa création, l’association lutte pour la nature et les animaux, y compris ceux victimes d’expériences. Nous avons déjà réussi à faire échec au projet d’extension d’un laboratoire à Niederhausbergen, en Alsace.

Nous pouvons faire de même concernant Rousset. Votre soutien est donc essentiel !

Retrouvez-nous au stand d’information, mercredi 15 octobre, place Borde à Rousset.

 

Pour plus d’informations, consultez notre rapport sur les primates dans l’expérimentation animale.

Pour dire non à l’extension du Centre de primatologie de Rousset, signez et partager notre pétition.

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Date :

Mercredi 15 octobre 2025

 

Lieu :

Place Borde, 13790 Rousset

 

Horaires :

de 10h15 à 12h30

 

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Journée Mondiale des Animaux

Journée Mondiale des Animaux

Journée Mondiale des Animaux
Stand d’informations – 4 octobre 2025

Pour une éthique animale et planétaire.

Une seule voix pour défendre les animaux et la nature car défendre les animaux, c’est aussi aider les humains et protéger notre planète.

 

Dans le cadre de la Journée Mondiale des Animaux, le 4 octobre, découvrez l’association One Voice.

Venez à notre rencontre afin d’échanger et signer nos pétitions, connaître nos campagnes, nos valeurs, nos actions et notre fonctionnement grâce à notre stand d’informations.

 

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Date :

Samedi 4 octobre 2025

Lieux :

Amiens

Bar-le-Duc

Marseille

Metz

Montpellier, dans le cadre du salon Cœur Animal

Nice

Pessac

Troyes

Date :

Samedi 11 octobre 2025

Lieu :

Objat

Action nationale – Mobilisation pour la fermeture de l’élevage de chiens de Mézilles

Action nationale – Mobilisation pour la fermeture de l’élevage de chiens de Mézilles

Mobilisation pour la fermeture de l’élevage de chiens de Mézilles
Action nationale – septembre 2025

 

Chaque année, en France, plus de deux millions d’animaux sont victimes d’expériences douloureuses et stressantes, enfermés dans des conditions misérables lorsqu’ils ne sont pas entre les mains des laborantins. Un chiffre qui reste stable alors que la directive européenne ainsi que la loi française et l’opinion publique réclament une diminution du nombre d’animaux utilisés dans le cadre de l’expérimentation.

Parmi eux, des primates, des rongeurs, des poissons et même des chiens.

Le « meilleur ami » des humains

En 2023, plus de 4 000 chiens ont été utilisés dans des laboratoires en France – un chiffre en hausse. Leur origine est souvent floue : certains viennent d’élevages français comme ceux de Mézilles ou Gannat, propriétés du groupe américain Marshall BioResources ; d’autres sont importés en dehors de l’Union européenne, sans traçabilité, ce qui ouvre la porte à de possibles trafics.

Une opacité systémique

L’expérimentation animale demeure un système fermé : documents difficiles d’accès, suivi des animaux inégal, manque d’informations sur les protocoles et la souffrance infligée… Même les élevages échappent au regard public.

Chiens réduits à l’état de marchandises

Condamnés à vivre en cage, isolés ou en groupes où règne la loi du plus fort, souvent rendus malades génétiquement, privés d’interactions et de caresses, les chiens sont traités comme de simples objets. Leur détention obéit à une réglementation insensible, avant qu’ils soient utilisés dans des expériences souvent douloureuses.

De là, ils sont transférés, vendus, instrumentalisés – comme de vulgaires produits de laboratoire. Leur vie entière est définie par l’exploitation et la souffrance.

La recherche, à quel prix ?

Dans les laboratoires, les chiens sont principalement utilisés dans des tests de toxicité, autrement dit des procédures d’empoisonnement contrôlé, au service de l’industrie pharmaceutique humaine ou vétérinaire. D’autres sont intégrés à des recherches appliquées ou fondamentales, à l’enseignement ou à la production de substances à base de sang.

La France à contre-courant

Malgré un large soutien public aux alternatives, la France continue de financer massivement l’expérimentation animale, conservant son statut de mauvaise élève de l’Europe. Depuis plus de vingt ans, One Voice se bat pour fermer ces élevages de chiens du pays.

2025 : il est temps de changer de cap

Nous ne pouvons plus détourner le regard. Une recherche moderne, fiable et éthique est possible. Il est temps de changer de paradigme. Retrouvez plus d’informations dans notre rapport sur les chiens dans l’expérimentation.

La mobilisation est essentielle

À travers cette action coordonnée, nous faisons écho à la marche pour la fermeture de l’élevage de Mézilles, portant la voix des milliers de chiens qui y sont enfermés. Rejoignez-nous !

Ensemble, fermons l’élevage de chiens de Mézilles.

Signez et partagez notre pétition pour mettre fin à l’utilisation des chiens dans les laboratoires.

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Dates & lieux :

Samedi 6 septembre :

Auxerre

Bordeaux – dans le cadre de la Journée des Associations

Metz

Nice

Samedi 13 septembre :

Bar-le-Duc

Marseille

Troyes

Dimanche 14 septembre :

Brive-la-Gaillarde – dans le cadre de la Journée des Associations

Samedi 27 septembre :

La Rochelle

Samedi 11 octobre :

Limoges

Inscrivez-vous – Lien menant à la page de l’événement national Facebook 

Nîmes – #UrgenceErranceFéline

Nîmes – #UrgenceErranceFéline

Nîmes – #UrgenceErranceFéline
Journée Internationale des Chats – 30/08/2025

11 millions. C’est l’estimation du nombre de chats sans famille, en France.

Dans le cadre de la Journée Internationale des Chats le 8 août, One Voice se mobilise pour les millions de chats sans famille, souffrants, qui errent dans nos villes et campagnes.

 

À tort, beaucoup pensent que les chats sont des animaux indépendants, capables de se débrouiller seuls à l’extérieur. Loin des idées reçues, livrés à eux-mêmes, ils sont confrontés au froid, à la canicule, à la faim, à la soif, aux maladies mais aussi en proie à la violence du dehors, luttant tant bien que mal pour leur survie. 

L’ espérance de vie des chats errants dépasse difficilement cinq ans, lorsqu’elle est de quinze ans quand ils sont entourés d’une famille. One Voice saisit régulièrement la justice dans le cas d’actes de malveillance infligés à ces chats des rues.

La loi contre la maltraitance animale votée en 2021 aurait dû changer leur destin, mais les moyens n’ont pas été à la hauteur des ambitions.

Une problématique multifactorielle

Dons entre particuliers non contrôlés, achats impulsifs, chats non identifiés et/ou non stérilisés, abandons, méconnaissance des besoins de ces animaux… 

Chaque année, des milliers de chatons naissent ainsi dans la nature ou sont abandonnés et viennent alimenter les populations de chats déjà présentes, réduisant à néant les efforts de stérilisation des associations et des communes.

Tous ces éléments font partie du cercle vicieux de l’errance féline, phénomène de grande ampleur en France.

Avec des associations débordées, les fourrières sont en première ligne et, loin des regards, c’est la mort qui attend les chats sans famille. En 2023, notre enquête de longue haleine dans plusieurs fourrières françaises l’a prouvé : capturés, les chats errants sont entassés sans ménagement sur des étagères, dans leur caisse de transport, privés de soins et de tendresse avant d’être tués au bout de huit jours pour laisser la place aux suivants. En mai de cette année, de nouvelles images provenant de la SACPA de Betton font la lumière sur ces massacres financés par l’argent public. 

Inaction de la part de l’Etat

En 2022, notre rapport d’étude faisait l’état des lieux de la situation de l’errance féline en France, des problèmes qui lui sont liés et des solutions possibles.

Conséquences sanitaires, impact sur la biodiversité et question éthique sont des points connexes à ce sujet qui ne semble toujours pas pris au sérieux par le gouvernement, lequel ne tient pas ses engagements.

Dans le cadre de la Journée Internationale des Chats le 8 août, nous nous mobilisons pour les millions de chats sans famille, abandonnés, souffrants, qui errent partout sur le territoire national, sans abri ni amour.
Il y a urgence contre l’errance féline! Signez et partagez notre pétition.

Où, quand, comment ?

Informations utiles

Date :

Dimanche 14 septembre 2025

Lieu :

Refuge Au Bonheur des Quatre Pattes, 256 chemin des Lauzières 30900 Nîmes

Horaire :

De 10h à 16h

Inscrivez-vous – Lien menant à la page de l’événement Facebook