One Voice est contre le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation au Conseil d’État, pour les lapins angoras le 7 juin 2019.
News Archives :
Elyo a plus que jamais besoin de nous!
Elyo a plus que jamais besoin de nous!
Elyo a plus que jamais besoin de nous!
03.06.2019
Mayenne
Elyo a plus que jamais besoin de nous!
Cirques
Malgré nos multiples actions pour défendre la cause d’Elyo, les circassiens le séquestrent toujours. Jusqu’à présent, les autorités sont restées sourdes et aveugles face à nos plaintes répétées et la grande détresse de ce lion. Nous ne lâchons rien et saisissons le Tribunal de Grande Instance de Laval pour que les souffrances de ce fauve au seuil de la folie soient enfin reconnues.
Sept pas dans un sens, demi-tour, sept pas dans l’autre, sept pas dans un sens… Ce ballet incessant est celui d’Elyo, d’une extrémité à l’autre de sa cage ridicule. Il n’a que cette occupation pour tuer les minutes qui égrènent son existence désespérée. Le pauvre lion est toujours l’otage des circassiens. Depuis que nous avons entrepris nos démarches pour le libérer, il a vu s’écouler plus de 365 jours supplémentaires… Chaque minute, chaque seconde, sont autant de coups de pieux le meurtrissant davantage.
Avis d’expert
Nous avons sollicité l’avis du Donald Broom, professeur émérite du département de médecine vétérinaire de l’Université de Cambridge. Son regard sur la situation d’Elyo est sans appel. Il dénonce la cruauté de ceux qui lui imposent un tel calvaire. Pour ce spécialiste mondial du bien-être animal, le fauve a évidemment un comportement anormal et ses mouvements stéréotypés sont l’expression flagrante de sa détresse. Par ailleurs, il souligne qu’Elyo passe aussi beaucoup de temps assis à ne rien faire. « Il se peut qu’il soit inconscient et apathique durant ces moments, ce qui est encore un indicateur de très mauvaises conditions de vie ». Ainsi, croupissant au fond de sa camionnette exigüe, sans le moindre contact social, inconsolable depuis la mystérieuse disparition de son frère Chirkane, Elyo est au bord du gouffre. Il se frotte contre les barreaux de sa cage jusqu’au sang comme d’autres s’ouvriraient les veines pour en finir.
Immobilisme des autorités
L’évaluation de Donald Broom rejoint celle qui avait été effectuée par le vétérinaire mandaté par le Procureur de la République de Dunkerque lors de notre premier dépôt de plainte contre le cirque en avril 2018. Dans son rapport, dont nous sommes parvenus à nous procurer une copie, il atteste noir sur blanc qu’Elyo pâtit de graves défauts de soins et qu’il présente un mal-être caractérisé, causes d’une immense détresse et souffrance. Un constat aussi explicite qu’alarmant qui aurait dû faire bouger les autorités! Et pourtant, non… Pas d’un pouce! Pire encore : l’affaire a été classée! Nous sommes scandalisés par ce mépris évident de la souffrance d’un lion maltraité, tout autant que par celui de la loi supposée encadrer la détention des animaux de cirques! Cela va-t-il nous faire taire? Bien au contraire! Nous sommes plus déterminés que jamais à sauver ce grand félin de l’enfer et faire reconnaître ses droits. Cette fois, nous avons déposé plainte auprès du Tribunal de Grande Instance de Laval, l’audience aura lieu le 7 juin à 9h. Et nous rugirons aussi fort qu’il le faudra pour finir par être entendus!
Nous serons le 7 juin à 11h devant la Préfecture de Mayenne, place Jean Moulin, rejoignez-nous! Retrouvez les informations sur la page Facebook de l’événement.
Pour Elyo, ainsi que tous les félins séquestrés dans les cirques, signez notre pétition!
Chasse : les balles siffleront en forêt dès le 1er juin !
Les chasseurs ont obtenu le droit de chasser le chevreuil dès le 1er juin alors qu’il s’agit de la période de rut et que la population humaine profite des milieux naturels et ruraux.
Goiat a besoin de nous !
Goiat a besoin de nous !
Goiat a besoin de nous !
28.05.2019
Goiat a besoin de nous !
Faune sauvage
Était-il vraiment nécessaire de capturer et déraciner un ours vivant libre en Slovénie, où il avait tous ses repères, où il avait grandi, pour, en substance, l’empêcher de s’alimenter là où on l’a forcé à s’implanter? One Voice dénonce une politique inhumaine vis-à-vis de Goiat et plus généralement des ours concernés par ce type de programmes. Nous avons besoin de vous tous pour empêcher les tirs d’effarouchement sur les ours!
Au nom de la biodiversité, un programme inhumain pour les ours
Soupçonné d’avoir attaqué par sept fois des troupeaux ou animaux domestiques (porcs, moutons ou chevaux), les organisations agricoles ont réclamé des mesures contre Goiat, un ours d’origine slovène qui avait été « relâché » dans le Val d’Aran par les autorités espagnoles en 2016. Cela afin de pallier le manque de diversité génétique de la population pyrénéenne d’ours qui étaient tous les descendants d’un seul mâle, l’ours Pyros. Les ours ne connaissant pas les frontières des humains, Goiat navigue entre nos deux pays, suivi grâce au collier GPS dont il est équipé.
Goiat est resté la cible préférée des militants anti-ours français. Et ce printemps, après les attaques dont il est peut-être à l’origine, le préfet des Hautes-Pyrénées souhaite mettre en place des mesures d’effarouchement afin de l’éloigner et, disons-le clairement, de tenter de le repousser de l’autre côté de la frontière… Le « plan ours » prévoit d’ailleurs qu’en cas d’ours dit « à problème », l’État puisse diligenter des opérations d’effarouchement. Mais qu’est-ce qu’un « ours à problème »? Un ours qui se nourrit? Et quelle serait l’étape suivante aux tirs d’effarouchement? L’abattage de celui-ci?
L’objectif de l’introduction d’ours dans les Pyrénées n’est-il pas de les voir se multiplier ? Avec les risques inhérents à leur présence ?
Participons en nombre à la consultation publique!
Avant la publication de cet arrêté, la préfecture doit procéder à une consultation publique. Elle se clôturera le 14 juin. Afin d’empêcher cette opération d’effarouchement, il nous faut être nombreux à répondre défavorablement à ce projet.
En vous connectant sur le site du ministère de la Transition écologique et solidaire, indiquez dès le début de votre commentaire que vous êtes contre l’effarouchement de Goiat. Puis argumentez en quelques lignes. Attention, les commentaires copiés-collés ne sont pas pris en compte. Utilisez vos mots et vos phrases, sans insultes ni menaces (elles aussi invalideraient votre avis).
Afin de vous aider, nous vous proposons quelques arguments-clefs. Choisissez-en un ou plusieurs et développez-les à votre goût.
- L’expertise réalisée par les techniciens de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS) n’a pas démontré que l’ours Goiat est un « ours à problème ».
- Contrairement à ce qui est écrit dans le projet d’arrêté, en aucun cas Goiat n’a un comportement familier. Les attaques qui lui sont attribuées se sont déroulées de nuit, à plusieurs centaines de mètres des habitations, en l’absence de toute présence humaine. Le terme de « familier » est donc non seulement abusif, mais fallacieux. En l’absence de comportement familier, il ne peut donc être catégorisé comme « ours à problème » et ne doit, par voie de conséquence, pas être effarouché.
- Seule la mise en place de moyens de protection des troupeaux est à même de protéger durablement les animaux de ces élevages, des attaques des prédateurs sauvages, mais aussi des chiens divaguant qui sont responsables de bien plus de dégâts aux troupeaux que tous les ours, loups et lynx réunis.
- L’éleveur qui a subi deux attaques n’a pas de chien de protection pour son troupeau. Cette carence de sa part ne doit en aucun cas se retourner contre la faune sauvage.
- Les prédations qui sont reprochées à Goiat se sont toutes déroulées de nuit. Les troupeaux étaient mal protégés (absence de clôtures électrifiées, chiens de protection inefficaces ou absents, …).
- La mise en place de clôtures électriques autour d’un rucher a suffi pour protéger les ruches de Goiat qui a été filmé à proximité par une caméra-piège de l’ONCFS le 9 août 2017, démontrant, s’il en était besoin, que des moyens simples de protection sont efficaces pour se prémunir contre les dégâts occasionnés par un grand prédateur.
Nous comptons sur vous. Un grand merci à toutes et tous.
Photo : Image d’illustration
Crédit : DR
Deux tueurs sanguinaires de tortues marines interceptés à Mayotte!
Deux braconniers ont massacré des tortues marines à Mayotte. Partie civile le 27 mai 2019, One Voice dénonce la cruauté et le manque de moyens pour défendre ces animaux en grand danger.
Prada arrête la fourrure pendant qu’en France on discute…
Prada arrête la fourrure, une victoire pour One Voice ayant fait campagne. Pendant que les mentalités changent, le gouvernement français tergiverse encore sur la fermeture des élevages.
One Voice applaudit: le groupe Prada annonce une politique sans fourrure et rejoint ainsi le programme international Fur Free Retailer
Aujourd’hui, le groupe Prada annonce qu’il n’utilisera plus de fourrure animale dans ses créations ni dans ses nouveaux produits, autrement dit à partir des collections féminines SS2020 (printemps-été 2020). Les stocks seront vendus jusqu’à épuisement des pièces concernées et quantités disponibles. L’annonce du groupe Prada fait suite à une collaboration entre la marque de luxe et des membres de la Fur Free Alliance (FFA), une coalition de plus de 50 associations de protection des animaux à travers une quarantaine de pays.
Samba: la tragédie a assez duré!
Samba: la tragédie a assez duré!
Samba : la tragédie a assez duré!
20.05.2019
Bouches-du-Rhône
Samba: la tragédie a assez duré!
Cirques
Depuis 2002, One Voice se bat pour faire reconnaître le martyre de Samba. Capturée au Kenya alors qu’elle était bébé, cette éléphante endure un calvaire au sein d’un cirque français. Cela doit cesser! Nous engageons une procédure juridique contre la Préfecture des Bouches-du-Rhône pour qu’elle prenne ses responsabilités et ne tolère plus longtemps de telles cruautés dans un établissement qui lui est rattaché.
Jusqu’à quel point un animal doit-il être persécuté pour que les humains admettent sa souffrance? Jusqu’où les dresseurs peuvent-ils aller sans qu’un frein soit mis à la violence? Voici 32 années que Samba a vu le jour et presque autant qu’elle endure un véritable enfer. Depuis 17 ans que nous avons rencontré cette éléphante séquestrée par un cirque français, nous nous battons pour la sauver.
Enquêtes, expertises, rapports, pétitions, manifestations, actions juridiques, création d’un comité de soutien, sensibilisation du public et des autorités pour dénoncer sa maltraitance quotidienne et ses conditions de détention infâmes ne respectant pas ses besoins les plus élémentaires… Nous menons ce combat sans relâche, mais l’exploitation de Samba continue d’être tolérée, applaudie même lors des numéros qu’elle exécute sous la menace de l’ankus. Son drame s’éternise et va finir par la tuer.
Des supplices à répétition
Les dernières images rapportées par nos enquêteurs parlent d’elles-mêmes. Samba est à bout. Plus maigre que jamais, gisant à même l’asphalte dans un enclos minuscule et dénué de tout enrichissement, elle ne montre que son dos, seule face au malheur, immobile. On la croirait morte. Pourtant, non. Pas encore. Lorsqu’elle se redresse, elle reprend ses mouvements stéréotypés d’automate au seuil de la folie. Et l’on se demande comment elle a résisté si longtemps aux traumatismes incessants de son existence.
Les souvenirs de ses premiers mois de vie ne l’ont jamais quittée. Peut-être est-ce à eux qu’elle parvient à se raccrocher? Ces 12 mois où elle a goûté la saveur du bonheur, juste après sa venue au monde au Kenya, quand elle était encore libre et entourée des siens… Rien ni personne ne pourra lui faire oublier les gestes d’amour de sa mère, l’attachement indéfectible de sa famille, les jeux complices avec les petits de son âge, le plaisir des longues marches dans la brousse africaine, la joie des baignades en commun. Pourtant, ce bonheur-là lui a été arraché, très tôt. Radicalement. Un jour, des chasseurs sont venus massacrer son troupeau. Un jour, sa mère a été assassinée sous ses yeux. Samba n’avait alors qu’un an. Et ce jour-là, si elle fut l’une des seules à ne pas être tuées physiquement, sa capture a provoqué la plus lente et déchirante des agonies… Une plongée vers le néant, absurde et cruel, qui se prolonge encore, en ce moment même!
Ne cautionnons pas l’horreur!
Laisserons-nous à cette image d’un éléphant traumatisé et maltraité le dernier mot? Souhaitons-nous abandonner Samba à ses bourreaux jusqu’à son ultime souffle? Depuis 2002, One Voice se mobilise pour que sa cage ne devienne pas son tombeau. En 2019, nous ne désarmons pas! Nous réclamons que la souffrance de Samba soit enfin reconnue et que des mains aimantes puissent prendre soin d’elle!
Même si la préfecture des Bouches-du-Rhône, où le cirque est enregistré, fait toujours la sourde oreille à nos appels après toutes ces années, nous avons engagé une procédure juridique à son encontre. Cette administration a le devoir d’imposer à ceux qui se disent « propriétaires » de Samba son transfert immédiat dans un sanctuaire. Les charges qui pèsent contre eux, les preuves que nous détenons, sont suffisamment lourdes pour garder l’espoir d’obtenir gain de cause. À moins de vouloir se voiler la face et continuer à protéger des tortionnaires.
Maltraitance sur sept chevaux: One Voice réclame justice
Maltraitance sur sept chevaux: One Voice réclame justice
Maltraitance sur sept chevaux: One Voice réclame justice
20.05.2019
Val-de-Marne
Maltraitance sur sept chevaux: One Voice réclame justice
Animaux familiers
Les animaux méritent respect et considération! Ce n’est certainement pas ce qu’a manifesté un homme du Val-de-Marne à l’égard de sept chevaux et poneys. Pendant au moins neuf jours, ils ont été livrés à eux-mêmes dans un terrain communal. L’un d’entre eux, blessé à la jambe, n’a même pas été soigné! La Cellule Zoé de One Voice intervient et demande leur placement dans des refuges partenaires. L’audience a eu lieu ce 22 mai 2019 à Créteil.
Tout a commencé à Valenton, dans le Val-de-Marne, en novembre 2017. Amaigris, affamés, des chevaux tentaient de subsister tant bien que mal, abandonnés dans un terrain communal. Leur unique source de nourriture provenait d’une voisine. Elle seule les abreuvait et les nourrissait de foin, de fruits et de légumes lorsqu’elle le pouvait. Personne d’autre ne semblait s’en occuper. Depuis neuf jours, un animal était blessé: le pauvre s’était ouvert la jambe, accident manifestement provoqué par une gouttière. La plaie n’était pas soignée et un morceau de plastique était resté coincé à l’intérieur. On ne peut qu’imaginer la souffrance permanente que devait ressentir ce cheval!
De plus, sur un autre terrain du même village, un poney était lui aussi abandonné. Non seulement personne ne s’occupait de lui, mais en plus, il était attaché. Impossible pour lui de marcher, de courir, comme ils aiment tant le faire. Il demeurait seul, presque immobile, sans aucun accès à l’eau ni à sa nourriture.
Profondément indignée par cette situation, la voisine tire alors la sonnette d’alarme. Une plainte est déposée le 20 novembre 2017.
L’enquête permet de retrouver le responsable de cet abandon: un reproducteur de chevaux. Celui-ci s’offusque et assure qu’il ne pouvait pas soigner le cheval blessé, car ce dernier était «difficile à approcher». Argument peu convaincant, étant donné que le bout de plastique coincé dans la jambe de l’animal l’empêchait de se déplacer normalement. L’approcher était donc très facile, il n’attendait que ça ! Il paraît évident que cet homme n’avait aucune intention de s’occuper dignement de ses animaux. Les chevaux continueraient à tenter de survivre. Craignant de se faire retirer ses équidés, l’homme les a déplacés probablement dans un hangar dont nous ignorons la localisation, en tout cas hors du terrain communal, tout cela pour les rendre introuvables. À l’heure actuelle, la justice suit son cours, mais les chevaux sont encore sous le joug d’un homme irresponsable.
One Voice s’est donc portée partie civile au procès pour mauvais traitements. La Cellule Zoé sera à l’audience du 22 mai 2019. Les chevaux doivent être placés au plus vite dans nos refuges partenaires! Ainsi, ils auront enfin l’amour et les bons soins dont ils ont besoin.
Un chien-objet ne peut pas être bon pour le cœur
Un chien-objet ne peut pas être bon pour le cœur
Un chien-objet ne peut pas être bon pour le cœur
16.05.2019
Un chien-objet ne peut pas être bon pour le cœur
Animaux familiers
Une étude scientifique publiée en 2017 explique les bienfaits pour la santé de vivre avec un compagnon chien 1. La voici aujourd’hui exploitée dans une campagne de la Fédération Française de Cardiologie qui communique sur les « atouts » médicaux et sociaux de ces compagnons domestiques. Présentés comme de parfaits médicaments, les chiens permettraient aux seniors de diminuer de de 36 % leurs risques de mourir d’une maladie cardio-vasculaire.
Pour ajouter une note d’humour à ces arguments décapants, la Fédération Française de Cardiologie croit bon de souligner que ces remèdes à 4 pattes sont «peureux, sentent fort, ronflent, aboient tout le temps, bavent, perdent leurs poils, ont des gaz», et autres compliments… Hum, quel égard pour ces êtres «qui peuvent vous sauver la vie»! Comment peut-on imaginer qu’un chien-objet, méprisé à ce point, puisse apporter une quelconque aide à une personne qui le percevrait ainsi?
Au quotidien, les chiens vous rendent parfois la vie difficile mais savez-vous qu’ils peuvent aussi vous la sauver ? #OhMyDog
Pour tout savoir : https://t.co/FkHcjkeZQh pic.twitter.com/K5BlUWOtV7— Fédé de cardiologie (@fedecardio) 10 mai 2019
Les chiens sont nos compagnons millénaires! Leur sensibilité n’est plus à prouver, leur degré d’évolution non plus. Nous les avons façonnés pour embellir notre existence. Or cette campagne, pleine de morgue et de dérision, donne d’eux une représentation qui les rabaisse et les dénature. Où est alors le respect pour ces animaux et pour les millions d’humains qui les aiment et s’appuient sur eux ?
Nous défendons les chiens face aux cruautés dont ils sont victimes. Nous proposons aussi des conférences pour mieux les connaître et vivre avec eux au quotidien. Et nous savons que si leur présence au sein d’un foyer peut faire du bien au cœur, c’est justement car cette vie qu’ils partagent avec nous s’appuie sur une relation d’amour. Cet amour inconditionnel que les chiens nous enseignent et nous offrent, cette bienveillance, cette indulgence, cette fidélité absolues, et tous ces petits moments de bonheur que connaissent les humains ayant la chance de les côtoyer.
Ce n’est pas une coïncidence si les conférences que nous avons données dans de nombreuses villes s’intitulaient : Au « cœur » du chien. Ces compagnons au cœur immense ne poursuivent qu’un seul but : être là pour nous, sans réserve et pour toujours. C’est en cela qu’ils nous rendent profondément heureux, qu’ils nous donnent confiance et envie d’aller vers les autres. C’est ainsi qu’ils protègent notre cœur, dans tous les sens du terme.
Si la Fédération Française de Cardiologie a des intentions louables, sa campagne passe clairement à côté de ce qui fait l’essence même d’une relation digne de ce nom avec un compagnon chien. D’ailleurs, les personnes qui seraient tentées d’adopter un animal-objet uniquement pour leur santé, risquent fort de faire mentir les résultats de cette étude…