Le renard, cet être unique au monde : un nouveau rapport pour mieux le connaître et mieux le protéger

Le renard, cet être unique au monde : un nouveau rapport pour mieux le connaître et mieux le protéger

Le renard, cet être unique au monde : un nouveau rapport pour mieux le connaître et mieux le protéger
06.12.2017
Le renard, cet être unique au monde : un nouveau rapport pour mieux le connaître et mieux le protéger
Animaux sauvages

À l’appui de sa campagne de protection des renards, One Voice publie un nouveau rapport d’étude. Pour mettre un terme aux tueries dont sont victimes les petits canidés, cet outil permet de mieux les connaître, de démonter les idées reçues et de dénoncer leur massacre.

Qui sont les renards, et surtout que subissent-ils et pourquoi ? Pour en finir avec les fausses croyances, les préjugés coriaces ou les rumeurs mensongères sciemment entretenues par les chasseurs, One Voice publie, dans le cadre de sa nouvelle campagne, un rapport d’étude inédit. Cet outil dresse un bilan détaillé de la situation actuelle des petits canidés dans notre pays, des services notamment écologiques qu’ils nous rendent et du calvaire qu’ils endurent.

Les renards accusés de tous les maux

On leur reproche aussi bien de croquer les chats, de voler les poules ou le gibier, de véhiculer des maladies. Cela leur vaut de figurer sur la liste des « espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » et d’être ainsi traqués toute l’année. Les méthodes dites de « destruction » rivalisent de perversité : aux tirs des lieutenants de louveterie s’ajoutent les pièges cruels et les ignobles déterrages. Tous les moyens sont bons pour martyriser ceux que l’on considère encore comme des « nuisibles ». Pendant la saison de chasse, les renards deviennent également « gibier » et les persécutions s’intensifient de tous côtés. Tandis que certains chasseurs dégainent leurs fusils, d’autres, à courre, sonnent l’hallali, et la pratique du déterrage revêt le « noble » nom de « vénerie sous terre » pour s’attaquer à Goupil toujours avec le même sadisme. Finalement, pas moins de 500 000 individus sont assassinés chaque année sur le sol national. Au bas mot, car tous les morts ne sont pas recensés.

Stop à l’acharnement sur les renards

Il est urgent de mettre un terme à ce véritable acharnement et de réhabiliter un animal tenant sa mauvaise réputation de la simple méconnaissance ou, pire, de la pure médisance. Parce que les renards sont indispensables à l’équilibre des écosystèmes, parce qu’ils ne sont pas nuisibles, parce qu’ils ressentent des émotions, One Voice demande leur retrait de la liste des « espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » et l’interdiction de leur chasse !

Signez et partagez notre pétition pour les renards !

Rapport renard

Rapport sur les renards

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One Voice organise un rassemblement pour exiger des cirques sans animaux samedi 2 décembre 2017, 15h à proximité du cirque Bormann Moreno

One Voice organise un rassemblement pour exiger des cirques sans animaux samedi 2 décembre 2017, 15h à proximité du cirque Bormann Moreno

One Voice organise un rassemblement pour exiger des cirques sans animaux samedi 2 décembre 2017, 15h à proximité du cirque Bormann Moreno
30.11.2017
Paris
One Voice organise un rassemblement pour exiger des cirques sans animaux samedi 2 décembre 2017, 15h à proximité du cirque Bormann Moreno
Exploitation pour le spectacle

Suite à la mort de la tigresse Mevy vendredi 24 novembre dernier, l’association One Voice organise un rassemblement public, Place Balard à Paris le samedi 2 décembre à 15h.

 

Suite à la mort de la tigresse Mevy vendredi 24 novembre dernier, l’association One Voice organise un rassemblement public aux abords du cirque Bormann Moreno, place Balard, Paris 15e, le samedi 2 décembre à 15h.

Le public doit connaître l’ensemble des dangers inhérents à la présence d’animaux sauvages dans les cirques. Il doit aussi savoir ce que signifie pour un animal sauvage, même né en cirque, une vie de captivité et d’itinérance, sans jamais aucun endroit où se réfugier. Car une fois informés au sujet de ces animaux sauvages transformés en objets, les gens ne cautionnent plus les spectacles avec animaux.

Muriel Arnal, présidente de One Voice développe :
« Pour un tigre, ce qui est naturel, ce sont les grands espaces, et de fuir la menace. Cette peur atavique et ce besoin si légitime de liberté, ne disparaissent pas avec la vie carcérale, même après des générations. En s’enfuyant, Mevy a certainement exprimé pour la seule fois de sa vie, un comportement naturel pour un tigre. Les animaux n’ont rien à faire dans les camions-cages des cirques, au sens propre comme au figuré. Nous n’aurons pas de répit tant que cette exploitation ne sera pas interdite. »

La question fait l’unanimité parmi les experts: l’association européenne des zoos (EAZA), l’ordre national des vétérinaires s’accordent à dire que ces spectacles de cirque et l’itinérance ne peuvent remplir les conditions nécessaires au bien-être des animaux sauvages. Pourtant, les pouvoirs publics s’entêtent à ignorer les demandes, même répétées et étayées, de l’association.

Les cirques avec animaux sont des entreprises privées qui prospèrent sur la contrainte permanente qu’ils font subir aux animaux, en la maquillant avec paillettes et fanfare. Mevy s’est échappée alors qu’elle était sous la responsabilité du cirque. Cet événement a mis les passants doublement en danger: par la présence de la tigresse sur la voie publique et par celle d’un homme, armé d’un fusil à pompe, dans les rues de Paris, à l’heure de sortie des bureaux, nombreux dans cette zone où se trouvent aussi un hôpital, un tramway et une station de RER.

A l’heure où 22 pays dans le monde interdisent les cirques avec animaux, dont 10 en Europe, et 68 communes en France; où la population est largement majoritaire à ne plus cautionner ce type de loisir, les pouvoirs publics français ne peuvent rester aveugles et sourds plus longtemps.
One Voice demande au Préfet de police de Paris, Michel Delpuech, de ne plus autoriser les cirques avec animaux dans la capitale,
A Nicolas Hulot, Ministre de la Transition écologique et Solidaire, d’interdire l’exploitation des animaux dans les cirques.

Tous les documents évoqués dans ce communiqué sont disponibles sur demande.

Contacts presse:
Pour tout renseignement complémentaire et demandes d’interviews : presse@one-voice.fr ou 06 43 26 78 80.

Communiqué de presse

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Mort d’une tigresse: Mevy s’est échappée du cirque, son dresseur a tiré

Mort d’une tigresse: Mevy s’est échappée du cirque, son dresseur a tiré

Mort d’une tigresse: Mevy s’est échappée du cirque, son dresseur a tiré
28.11.2017
Paris
Mort d’une tigresse: Mevy s’est échappée du cirque, son dresseur a tiré
Exploitation pour le spectacle

A Paris, « ville lumière », une jeune tigresse est morte le vendredi 24 novembre 2017. Échappée du cirque, qui ne respectait visiblement pas les normes de sécurité, Mevy a été abattue par son dresseur. En colère, One Voice porte plainte. La place des animaux sauvages est en liberté, pas dans une remorque de cirque!

One Voice porte plainte: une sécurité défaillante

Si les circassiens émettent à demi-mot l’idée d’un sabotage par les “animalistes”, nous sommes convaincus de leur incapacité à mettre en sécurité les êtres vivants qu’ils détiennent et, de fait, de ne pas répondre aux exigences de l’arrêté de 2011.
Et que penser de la sécurité du public et de la population voisine des cirques après le sinistre accident de vendredi?
Alors oui, l’erreur est humaine, nous le concédons, mais est-il bien nécessaire de risquer de voir des animaux sauvages s’échapper des cages? Devons-nous en arriver à tuer un animal d’un tir par balles pour protéger les humains? Ne serait-il pas plus logique de laisser les animaux dans leur habitat naturel? Ecœurés par le triste sort de Mévy, la tigresse, nous portons plainte pour atteinte à l’intégrité physique de l’animal.

C’est parce que Mevy a fait preuve d’un comportement naturel en s’échappant de sa cage, peut être le seul qu’elle ait pu se permettre de toute sa vie, qu’elle a été tuée: les animaux sauvages n’ont rien à faire dans les cirques!

La vie de Mevy dans les cirques

La tigresse n’avait que 18 mois lorsqu’elle a été abattue et son existence n’aura été qu’exploitation au profit de l’univers du spectacle. Pour vous dépeindre son quotidien: elle a expérimenté l’itinérance dans des camions, la vie en cohabitation avec 8 autres congénères, alors que le tigre est un animal solitaire, et le dressage par la violence apprendre à parader et monter sur des tabourets. En liberté, les tigres ne sont plus que 3 500. Leur préservation est un impératif. Leur place n’est pas dans des cirques.

One Voice: lanceur d’alerte

Comme le dit l’adage, mieux vaut prévenir que guérir. One Voice a, à plusieurs reprises, alerté les autorités des risques encourus par les animaux au sein des cirques et par la population riveraine. Durant l’été, des éléphants ont « paradé » dans les rues sans qu’aucune sanction ne soit donnée, que cela soit du côté des préfets ou du ministère. Combien faudra-t-il de morts pour que les autorités réagissent? Doit-on vraiment rappeler le triste cas de Samba en 2013; l’éléphante a tué un homme alors qu’elle tentait de s’échapper d’un cirque. Mais qu’ont tous ces animaux à vouloir fuir des cirques, eux qui reçoivent, nous dit-on, tant d’amour de la part de leur dresseur ?

Si, comme nous, vous êtes révoltés de voir les mêmes absurdités se répéter: rejoignez-nous samedi 2 décembre 2017 à 15h, à quelques pas du cirque Bormann Moreno à Paris, devant France Télévision pour un rassemblement pour Mévy, et tous les autres.

Tigre tué par balles en plein Paris : One Voice porte plainte et demande l’interdiction des animaux dans les cirques

Tigre tué par balles en plein Paris : One Voice porte plainte et demande l’interdiction des animaux dans les cirques

Tigre tué par balles en plein Paris : One Voice porte plainte et demande l’interdiction des animaux dans les cirques
25.11.2017
Paris
Tigre tué par balles en plein Paris : One Voice porte plainte et demande l’interdiction des animaux dans les cirques
Exploitation pour le spectacle

One Voice porte plainte pour atteinte volontaire à la vie du tigre du cirque Moreno Bormann, abattu par balles en plein Paris. La place des animaux sauvages n’est pas dans les cirques mais dans la nature.

La place des animaux sauvages n’est pas dans les cirques mais dans la nature. Les cirques ne peuvent garantir ni la sécurité des personnes, ni le bien-être et la sécurité des animaux.

Ces entreprises ne sont visiblement pas capables de remplir les exigences de sécurité fixées par l’arrêté de 2011, la preuve en est rapportée par les accidents qui se produisent chaque année, d’animaux qui s’échappent, et/ou attaquent des humains , ce qui mène à des morts , humaines et animales.
Les cirques savent qu’ils risquent des sanctions s’ils signalent les accidents, on peut donc se poser la question de la fiabilité de leurs déclarations. Ils détiennent des animaux qui représentent des risques réels pour le public. Ces mêmes animaux qui, dans les zoos, font l’objet d’une réglementation très stricte en matière de sécurité.

One Voice dénonce depuis des années les problèmes de sécurité dans les cirques notamment depuis que l’éléphante Samba a tué un homme dans sa fuite en septembre 2013 à Lizy-sur-Ourq. Les éléphants actuellement dans les ménageries des cirques ne sont retenus que par des fils électriques utilisés pour les vaches.

Muriel Arnal, présidente de One Voice, déclare : « Ces derniers mois, à plusieurs reprises, des éléphants ont « paradé » librement dans les rues. Nous avons écrit aux préfets des régions concernées pour leur demander de faire appliquer la loi. Rien n’a été fait, les cirques n’ont pas été sanctionnés, le ministère n’a pas non plus réagi. Faut-il attendre qu’un éléphant s’échappe et tue à nouveau pour que les risques soient pris au sérieux et la législation appliquée ?

Le dresseur, propriétaire du tigre abattu, siège à la commission du ministère de l’Ecologie qui délivre aux cirques les autorisations de détenir des animaux sauvages, est-ce bien sérieux ? Un animal appartenant à une espèce protégée en Annexe I de la CITES car en grand danger d’extinction vient d’être tué en pleine ville parce qu’il n’avait rien à faire là. Les cirques ne doivent plus être autorisés à détenir des animaux sauvages. »

One Voice dépose plainte pour atteinte à l’intégrité physique d’un animal.

Déjà 22 pays dans le monde et 68 communes françaises refusent les cirques présentant des animaux sauvages. L’Ordre national des vétérinaires et la Fédération des Syndicats Vétérinaires de France (FSVF) ont également reconnu, à la demande de One Voice, que leur bien-être est incompatible avec l’activité des cirques. Mettre fin à l’exploitation des animaux sauvages dans les cirques est une évolution inéluctable pour toutes les sociétés modernes. Les arts du cirque doivent abandonner cette pratique qui soumet les enfants au spectacle de la violence et du non respect des animaux.

Il est temps d’en finir avec les animaux sauvages sillonnant les routes de France dans des camions. Plusieurs décennies se sont déjà écoulées ainsi pour les éléphantes, nées sauvages en Afrique ou en Asie ! Tous ont droit à une fin de vie digne, dans des structures appropriées, loin des coups et de l’ennui.

One Voice vient, dans un courrier co-signé avec Jacques-Antoine Granjon, PDG et fondateur du groupe vente-privee, d’interpeller il y a quelques jours Nicolas Hulot, afin qu’il prenne position.

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Jacques-Antoine Granjon et One Voice : ensemble pour la libération des animaux détenus par les cirques !

Jacques-Antoine Granjon et One Voice : ensemble pour la libération des animaux détenus par les cirques !

Jacques-Antoine Granjon et One Voice : ensemble pour la libération des animaux détenus par les cirques !
24.11.2017
France
Jacques-Antoine Granjon et One Voice : ensemble pour la libération des animaux détenus par les cirques !
Exploitation pour le spectacle

Jacques-Antoine Granjon, PDG et fondateur du groupe vente-privee, et Muriel Arnal, présidente de One Voice, ont adressé un courrier commun à Nicolas Hulot pour lui demander d’interdire l’exploitation des animaux sauvages dans les cirques.

Tandis qu’un nombre croissant de pays dans le monde et de villes en France interdisent les spectacles avec animaux, les routes françaises continuent à voir circuler des remorques où s’entassent lions, éléphants, hippopotames et singes au bord de la folie.

One Voice rappelle que les animaux sont reconnus devant la loi française comme « des êtres doués de sensibilité », et que l’Ordre national des Vétérinaires ainsi que la Fédération des Syndicats Vétérinaires de France (FSVF) confirment vouloir aller vers « l’interdiction de l’usage des mammifères sauvages dans le cadre de cirques itinérants », et que les « conditions dans lesquelles les animaux sont détenus ne peuvent satisfaire à leurs besoins physiologiques et sociaux ».

« Notre ministre de l’Écologie, connu pour son engagement envers la Nature, est bien placé pour comprendre ce que ces conditions de vie représentent pour des animaux sauvages qu’il a vu libres. One Voice compte sur lui pour qu’il interdise leur exploitation et nous permette de les libérer », explique Muriel Arnal, fondatrice de One Voice.

Dès le 24 novembre, et pendant 48h, sur la façade artistique du bâtiment de vente-privee, Le Vérone, face à l’autoroute A1 et au Stade de France, à Saint-Denis (93), une photo de l’éléphante Maya sera diffusée. Pas moins de 350 000 automobilistes y transitent chaque jour, qui seront ainsi touchés par le message de l’association #JusticePourMaya.

« A ma mesure, j’apporte tout mon soutien aux combats de One Voice, et en particulier celui pour des cirques sans animaux », explique Jacques-Antoine Granjon.

Lettre à Monsieur le Ministre Nicolas Hulot

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État des lieux de l’interdiction des cirques avec animaux sauvages

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Animaux dans les cirques – Pour la fin d’une exploitation aussi cruelle qu’insensée

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Pour obtenir la libération de l’éléphante Maya du cirque qui bafoue ses besoins élémentaires, One Voice organise un rassemblement devant la préfecture d’Agen, place de Verdun, le 18 novembre 2017 à 14h.

Pour obtenir la libération de l’éléphante Maya du cirque qui bafoue ses besoins élémentaires, One Voice organise un rassemblement devant la préfecture d’Agen, place de Verdun, le 18 novembre 2017 à 14h.

Pour obtenir la libération de l’éléphante Maya du cirque qui bafoue ses besoins élémentaires, One Voice organise un rassemblement devant la préfecture d’Agen, place de Verdun, le 18 novembre 2017 à 14h.
16.11.2017
Pour obtenir la libération de l’éléphante Maya du cirque qui bafoue ses besoins élémentaires, One Voice organise un rassemblement devant la préfecture d’Agen, place de Verdun, le 18 novembre 2017 à 14h.
Exploitation pour le spectacle

La préfète du Lot-et-Garonne a jusqu’au 18 novembre 2017 pour ordonner le retrait de Maya du cirque qui la détient ainsi qu’une expertise vétérinaire, ce qu’elle refuse de faire. Elle a également refusé de recevoir les représentants de l’association qui souhaitaient lui présenter un nouveau rapport sur l’éléphante.

Il est inadmissible que la représentante de l’État traite de la sorte un animal, dont la santé ne fait que se détériorer, alors qu’elle est responsable de son bien-être! Il suffit d’observer ses pieds, ses ongles, sa patte arrière gauche paralysée, sa maigreur, sa peau… Faut-il vraiment en rajouter ?

Les attestations de vétérinaires et éthologues spécialistes des éléphants d’Asie consultés – Lucy Bates, John Knight, et Joyce Pool – affirment que cette éléphante est dans un état de stress, de douleur et de mal-être criant. Ils ont même évoqué une euthanasie si elle n’était pas prise en charge en urgence, afin de la soulager de ses souffrances, tellement celles-ci leur semblent évidentes: Maya meurt sous nos yeux.

La justice reproche à One Voice que ces rapports se basent sur une vidéo: mais l’association demande expressément depuis des mois une expertise vétérinaire indépendante. Pourquoi cette mesure simple et objective est-elle refusée ? Les vétérinaires ayant rendu des attestations à la justice à la demande de la préfecture sont spécialistes des chats, des chiens, ou des reptiles ! Ces professionnels sont tout à fait respectables mais que connaissent-ils des éléphants ? Quelles sont leurs qualifications pour donner un avis sur Maya ?

Maya a passé plus de 40 ans dans les cirques. Elle est isolée des autres éléphantes, là où un éléphant a besoin de contact social; elle est contrainte de passer sa journée sur place, là où un éléphant libre marche plusieurs kilomètres par jour.

L’Ordre national des vétérinaires et la Fédération des Syndicats Vétérinaires de France (FSVF) ont confirmé suivre l’avis de la Fédération des Vétérinaires Européens (FVE), respectivement de « promouvoir l’interdiction » et vouloir la « stricte et définitive interdiction » de « l’usage des mammifères sauvages dans le cadre de cirques itinérants« , et confirment tous deux que les « conditions dans lesquelles les animaux sont détenus ne peuvent satisfaire à leurs besoins physiologiques et sociaux« . Dès lors, qu’attend l’État ? Qu’attend la Justice ?

Le juge des référés ne voulait pas froisser les services de la préfecture, la préfète ne veut pas aller contre la décision du juge. On tourne en rond et la santé de Maya est en danger.

Les circassiens cherchent à faire passer pour des extrémistes ceux dont le seul but est de sauver un animal actuellement très vulnérable, qui montre des signes manifestes de déchéance physique et mentale. De leur côté, les cirques privent les animaux de leurs libertés fondamentales.

La société civile aussi veut que Maya finisse ses jours dans un sanctuaire et non dans une remorque de camion ou enchainée sur un parking !

Muriel Arnal, présidente de One Voice, déclare :
« Maya a besoin de soins en urgence. L’hiver arrive, nous sommes terriblement inquiets qu’elle meure dans le camion, loin des regards. Si aucun geste n’est fait pour l’aider, nous déposerons un nouveau recours devant le juge dès lundi. »

Historique du combat pour Maya: Articles et communiqués de presse

Ressources complémentaires

Photos et vidéo de Maya disponibles sur demande

Pour obtenir la libération de l’éléphante Maya du cirque qui bafoue ses besoins élémentaires

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Mort de Nao, chat martyr

Mort de Nao, chat martyr

Mort de Nao, chat martyr
08.11.2017
Mort de Nao, chat martyr
Animaux familiers

Après Chevelu, Griffin et bien d’autres, Nao s’ajoute à la longue liste des chats victimes de maltraitances et d’actes de cruauté infligés par l’humain. Notre association ne peut laisser passer de tels crimes et se doit d’intervenir : la Cellule Zoé est mobilisée pour démêler cette histoire sordide avec le soutien de la police et rendre justice au pauvre félin défunt.

Nao, retrouvé mort

Le 31 octobre 2017 au soir, à Bassens-en-Savoie, Nao sort de la maison de Madame X. Il se promène de temps à autre dans les alentours et dans un pré à proximité du domicile. Chaque matin et après ses escapades nocturnes, le chat répond présent dès l’ouverture des volets. Mais ce 1er novembre 2017, Nao n’est pas là.

Inquiète, Madame X dépose un avis sur Pet Alert et part à la recherche de son petit compagnon, sans succès. Le lendemain, en se rendant au travail, elle le retrouve dans le pré. Nao gît mort, sur son flanc droit : sa queue est arrachée, sa face tuméfiée et bleuie, et ses yeux sont opaques…

Fort heureusement, Madame X n’est pas seule à la découverte du corps : un policier passe au même moment et constate avec elle les blessures de l’animal. Le chat n’a pas de sang sur le corps et aucune trace n’est retrouvée sur les lieux : assassiné dans un autre endroit, Nao a très probablement été déplacé dans le pré. Après avoir récolté les éléments nécessaires pour porter plainte au commissariat de Chambéry, Madame X a l’autorisation d’enterrer Nao pour lui donner une fin des plus dignes.

One Voice se mobilise avec la Cellule Zoé

Lors du dépôt de procès-verbal, Madame X apprend qu’elle peut recevoir le soutien d’une association « d’aide aux victimes d’infractions pénales ». C’est donc vers notre association qu’elle se tourne et plus particulièrement vers notre Cellule Zoé qui défend les animaux victimes de cruautés. Côté police, l’enquête est ouverte. Sur les lieux où a été retrouvé Nao, une caméra est repérée par Madame X : espérons que les images puissent venir en aide à l’enquête et permettre d’identifier le ou les tortionnaires du petit félin… De notre côté, nous défendrons à titre gracieux le chat, et portons d’ores et déjà plainte pour actes de cruauté. Parce que nous sommes convaincus que des actes d’une telle violence ne sont pas tolérables et ce pour aucun être vivant !

Pour une condamnation exemplaire des actes de cruauté

L’association ne peut laisser les humains se permettre de tels actes sur nos chers compagnons de vie. En septembre dernier, nous nous étions portés partie civile pour Chevelu, décédé sous les violents coups d’un humain. À la suite du procès, le tortionnaire avait écopé d’une peine de six mois ferme. Pour rappel, ce dernier avait laissé mourir son chien avant de mettre un terme à la vie du petit chat. Il s’était même vu retirer la garde de son enfant ; un constat appuyant l’idée qu’il existe bel et bien un lien entre la violence exercée sur les animaux et celle faite aux humains.

L’affaire est à suivre mais en attendant, nous vous invitons à signer la pétition pour que toutes les violences, quelle qu’en soit la victime, soient condamnées. La liste ne doit plus s’allonger et les responsables de cruautés doivent répondre de leurs actes !

One Voice en campagne : La paix pour les renards !

One Voice en campagne : La paix pour les renards !

One Voice en campagne : La paix pour les renards !
08.11.2017
France
One Voice en campagne : La paix pour les renards !
Animaux sauvages

En France, la vie des renards est un cauchemar. Considérés à tort comme des nuisibles, ils subissent le pire, traqués jusque dans leurs terriers, tués avec une indescriptible cruauté. Avec sa nouvelle campagne, One Voice demande l’interdiction de leur chasse et de leur piégeage !

Renards classés « nuisibles » : la porte ouverte à la cruauté

Depuis 2016, on ne dit plus « nuisibles », mais « espèces susceptibles d’occasionner des dégâts ». Dans les faits, cela ne change rien. Les renards peuvent être chassés et piégés toute l’année, y compris les futures mères et les renardeaux. Et comme l’horreur ne s’arrête pas là, tous les moyens, ou presque, sont bons : on peut les tirer, les piéger, les déterrer — c’est-à-dire les acculer dans leur terrier, avec ou sans chiens, avant de les en extraire et de les mettre à mort à coups de crocs, de pioche, d’armes blanches ou même à feu. Et puis bien sûr, il y a les méthodes de chasse « classiques » : au chien courant, à l’affût, à courre… Il en résulte que les renards sont les mammifères les plus « détruits » sur le territoire d’après l’ONCFS.

Rumeurs sur les renards

On reproche tant de choses aux renards, qu’on pourrait se demander ce que la nature avait en tête… Mangeurs de chat, brigands rusés des poulaillers, vecteurs de maladies, ils en feraient presque peur tant leur image est mauvaise. Pourtant, ce ne sont là que croyances à démonter. D’abord, établissons une fois pour toutes que les renards ne mangent pas les chats : ils ont même plutôt tendance à les éviter. D’autre part, ils ne pénètrent que dans les poulaillers mal conçus. S’il est facile de se procurer à manger, pourquoi s’en priver et d’autant plus quand on a des bouches à nourrir ?… Et enfin, grâce à des campagnes de vaccination, la rage a été éradiquée en France. Les tueries ont, à cette occasion, montré leur inefficacité, et même leur impact positif sur la progression du virus… Il en est de même pour l’Échinococcose, dont ils peuvent être porteurs et qu’ils peuvent transmettre aux humains. Là aussi, les experts s’accordent à dire que seule la vermifugation peut être efficace, les abattages ne faisant qu’empirer les choses !

Pourtant les renards sont plus qu’utiles !

Pourquoi vouloir alors éradiquer les renards ? Eh bien parce qu’ils font concurrence aux chasseurs qui relâchent des animaux d’élevage, des proies faciles pour eux… Et parce qu’ils permettent de continuer à pratiquer cet odieux « loisir » toute l’année ! L’aberration dans tout cela, c’est aussi que les renards sont nos alliés dans bien des domaines. En régulant les populations de rongeurs, non seulement ils permettent de réduire l’utilisation de pesticides chimiques, dommageables pour tout le monde, mais encore la maladie de Lyme, véhiculée par les tiques et dont les rongeurs sont porteurs…

Les renards, des êtres sensibles et intelligents à protéger

Par leur présence, les renards enchantent les forêts et parfois même nos villes. Rappels d’une nature sauvage, leur rencontre au détour d’un chemin devrait ne susciter que l’émerveillement. Ce sont des êtres sensibles, intelligents, capables d’émotions et qui ressemblent en de nombreux points à nos compagnons canins (voir notre fiche « Sentience » sur les renards). Pour eux, One Voice lance une nouvelle campagne et demande leur retrait de la liste des « nuisibles » et l’interdiction de leur chasse !

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Protection des renards : One Voice en campagne pour réhabiliter le statut d’un animal odieusement traqué

Protection des renards : One Voice en campagne pour réhabiliter le statut d’un animal odieusement traqué

Protection des renards : One Voice en campagne pour réhabiliter le statut d’un animal odieusement traqué
08.11.2017
Paris
Protection des renards : One Voice en campagne pour réhabiliter le statut d’un animal odieusement traqué
Animaux sauvages

Le 8 novembre, à 15 heures, boulevard St-Germain, les Parisiens pourront voir un couple de renards (un homme et une femme body-paintés) venir déposer au ministère de la Transition écologique et solidaire les éléments d’un dossier de sauvegarde, porté par One Voice en urgence.…

Le 8 novembre, à 15 heures, boulevard St-Germain, les Parisiens pourront voir un couple de renards (un homme et une femme body-paintés) venir déposer au ministère de la Transition écologique et solidaire les éléments d’un dossier de sauvegarde, porté par One Voice en urgence…

C’est une nouvelle campagne portée par l’association One Voice et qui vise à réhabiliter le renard dans nos campagnes. Parce que l’animal est indispensable à l’équilibre des écosystèmes, parce qu’il n’est pas nuisible, mais sensible, One Voice souhaite qu’il soit en urgence retiré de la liste des « espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » et, à terme, soit protégé par la loi.

Un massacre massif et continu

Selon les chiffres officiels, on estime à au moins 430 000 le nombre de renards tués chaque année en France. Aux tableaux de chasses recensés, s’ajoutent les tirs non répertoriés, quelque 70 000 individus piégés et ceux tués de diverses autres façons (chasses à courre, chasses sous terre, accidents…). One Voice dénonce un carnage qui n’a de cesse car le renard roux figure, aux termes de la législation, sur la liste 2 des « espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » dans 91 départements. Cette terminologie, adoptée en 2016 par le Code de l’environnement, désigne les animaux jusque-là étiquetés « nuisibles ». Elle revient à autoriser son extermination  toute  l’année  et par les différents moyens cités. Selon l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), le renard est le mammifère le plus détruit sur notre territoire « avec une intensité moyenne de prélèvement avoisinant 0,5 individu/Km2 ».

Muriel Arnal, présidente de One Voice, dénonce la désinformation manifeste dont sont victimes ces animaux :
« Les renards font les frais d’une mauvaise image sciemment entretenue par le lobby des chasseurs, qui souhaite pouvoir en faire une cible à l’année et éliminer par tous moyens un prédateur naturel de petits gibiers. Non, les renards ne sont pas en surnombre car ils adaptent leurs populations aux ressources disponibles ».
Muriel Arnal s’indigne par ailleurs d’un non-sens écologique : « Alors que les chasseurs abattent les renards massivement, et par plaisir, les agriculteurs doivent utiliser des produits chimiques dangereux, telle la Bromadiolone, anticoagulant très toxique, pour protéger leurs récoltes des proliférations cycliques de campagnols… quand ce devrait être le rôle des renards ! »

La campagne de One Voice sur ce thème de la protection des renards s’appuie sur un tout dernier rapport d’enquête, une fiche sentience détaillant les aspects sociaux, l’intelligence de ces mammifères, un tract grand public et une pétition en ligne sur son site Internet (www.one-voice.fr). La journée d’action du 8 novembre vise à rappeler aux autorités que le renard n’est pas une menace mais un auxiliaire écologique par la prédation qu’il exerce sur les rongeurs, les cadavres d’autres animaux, contribuant à limiter les dégâts des campagnols dans les cultures et à réduire le nombre de porteurs de la maladie de Lyme, véhiculée par les tiques.

One Voice rappelle également, outre son rôle écologique, combien ce canidé est un animal attachant, doté d’extraordinaires capacités d’adaptation, d’apprentissage et de mémoire, développant une organisation sociale  et des modes de communication élaborés, signes d’une intelligence vive, mais trop souvent ignorée.

FAITS ET CHIFFRES

Echinococcose alvéolaire : un non-sens sanitaire

Aujourd’hui, alors que la rage est officiellement éradiquée, les chasseurs brandissent aux préfets le spectre d’une autre zoonose, l’echinococcose alvéolaire. Or plusieurs études démontrent que l’impact de cette maladie, réduit chez l‘humain, est renforcé par les abattages de renards alors que d’autres méthodes sont préconisées par les autorités sanitaires.
Causée par les ténias du genre Echinococcus, cette zoonose peut être véhiculée par plusieurs animaux, dont le renard, qui ont pour proies les campagnols. Une étude menée pendant quatre ans autour de Nancy a démontré qu’un protocole d’abattage n’avait aucune efficacité pour diminuer la population de renards et que cette mesure  provoquait même « une augmentation de la prévalence de E. multilocularis de 40% à 55% tout en restant stable dans une zone témoin voisine (585 Km2) ». Conclusion : « Nous préconisons donc que les gestionnaires envisagent des méthodes alternatives telles que l’appât anthelminthique, qui s’est avérée efficace ailleurs, pour lutter contre l’échinococcose alvéolaire ». Ainsi, l’emploi d’antiparasitaire à titre préventif ou en traitement présenterait  de bien meilleurs avantages. Un point de vue appuyé par l’Organisation Mondiale de la Santé : « La vermifugation régulière des carnivores domestiques qui entrent en contact avec des rongeurs sauvages devrait aider à réduire le risque d’infection chez l’homme. (…) L’abattage des renards et des chiens errants semble très inefficace. La durabilité et l’efficacité de telles campagnes par rapport à leur coût sont controversées ».

Piégeage, des techniques cruelles et sans contrôle

Les pièges officiels autorisés pour la capture des ex « nuisibles » peuvent relever de 5 catégories différentes. Concernant les renards, les plus répandus sont les pièges par contention, les pièges létaux, les collets munis  d’un arrêtoir et les pièges à lacet. La loi indique que les pièges doivent être régulièrement visités pour éviter  que l’animal pris au piège connaisse une longue et cruelle agonie avant d’être achevé. Combien de piègeurs respectent ces consignes dont nul ne contrôle l’application ?

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Pour libérer Maya, action silencieuse organisée par One Voice devant le cirque qui la détient et l’exploite, ce samedi 4 novembre à 12h à Cannes !

Pour libérer Maya, action silencieuse organisée par One Voice devant le cirque qui la détient et l’exploite, ce samedi 4 novembre à 12h à Cannes !

Pour libérer Maya, action silencieuse organisée par One Voice devant le cirque qui la détient et l’exploite, ce samedi 4 novembre à 12h à Cannes !
04.11.2017
Cannes
Pour libérer Maya, action silencieuse organisée par One Voice devant le cirque qui la détient et l’exploite, ce samedi 4 novembre à 12h à Cannes !
Exploitation pour le spectacle

Rendez-vous parking du stade Pierre de Coubertin, 5 avenue Pierre de Coubertin, à Cannes, à 11h45.
Pour libérer Maya, pour que les dizaines de milliers de personnes ayant pris parti pour elle, en France et à l’étranger, soient enfin entendues 1,
nous serons devant le cirque samedi 4 novembre 2017, parking du stade Pierre de Coubertin, à Cannes, où Maya se trouvera donc.

Pour libérer Maya, pour que les dizaines de milliers de personnes ayant pris parti pour elle, en France et à l’étranger, soient enfin entendues1, nous serons devant le cirque samedi 4 novembre 2017, parking du stade Pierre de Coubertin, à Cannes, où Maya se trouvera donc.

En effet, contre toute logique, le juge des référés a pris le parti du préfet2. Ce dernier protège le cirque au lieu de remplir sa mission de protection des animaux de son territoire, et donc de Maya, la vieille éléphante stressée et affaiblie par plus de 40 ans d’exploitation et de captivité, encore ballottée de ville en ville3 4 !

Nous continuons aussi à mener le combat juridique pour elle: une plainte pour actes de cruauté est en cours d’instruction5.

Notre société vit un changement de paradigme vis-à-vis des animaux, les prises de consciences sur la souffrance animale et la captivité prennent de l’ampleur. L’urgence se mesure à l’aune des connaissances actuelles ! Les experts en éléphants internationalement reconnus sont unanimes sur la gravité de l’état de santé de Maya.

Nos concitoyens sont de plus en plus conscients de la souffrance infligée aux animaux captifs, et exploités par les cirques6 !

En à peine 3 jours, à l’appel de One Voice, plus de 200 personnes venues de toute la France se sont rassemblées au cœur de Paris spécifiquement pour Maya7 !

Les cirques présentant des animaux au public sont, au mieux, inconscients du mal qu’ils font. Ils doivent accompagner le changement au lieu de s’y opposer.

De nombreuses municipalités ont déjà renoncé à recevoir des cirques avec animaux en France, et plus d’une cinquantaine de pays en Europe et dans le monde ont pavé la route. Il est temps que la France bannisse une fois pour toutes la souffrance des animaux lorsqu’elle est structurelle, donc quand ils sont captifs et exploités, comme l’a rappelé à très juste titre la Fédération des Vétérinaires Européens (FVE), soutenue par la Fédération des Syndicats Vétérinaires de France (FSVF) et l’Ordre national des vétérinaires8.

RESSOURCES COMPLÉMENTAIRES
Photos et vidéo de Maya disponibles sur demande

HISTORIQUE DU COMBAT POUR MAYA
1Pétition pour la libération de Maya mise en ligne le 23/10/17
2One Voice au Tribunal Administratif de Bordeaux: Audience le 17 octobre 2017 pour statuer sur la libération de l’éléphante Maya du cirque qui la détient – 16/10/17
3Maya l’éléphante est à bout ! – 10/10/17
4Le supplice de Maya – 10/07/17
5One Voice en justice pour la libération de l’éléphante Maya – 06/10/17
6Pétition pour des cirques sans animaux sauvages
7Rassemblement pour l’éléphante Maya faisons entendre sa souffrance – 27/10/17
8Annonce historique : dans une réponse à One Voice, l’Ordre national des Vétérinaires condamne les spectacles d’animaux sauvages dans les cirques itinérants, et légitime ainsi le combat de One Voice pour leur libération – 11/10/17

Pour libérer Maya, action silencieuse organisée par One Voice devant le cirque qui la détient et l’exploite, ce samedi 4 novembre à 12H à Cannes !

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