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Césariennes et avortements provoqués pour décrire le pancréas des fœtus

Césariennes et avortements provoqués pour décrire le pancréas des fœtus

Mis à jour le 11 juin 2018

Dans cette expérience de 2017, cinq chiennes beagles gestantes se sont vues arracher leurs petits de leurs entrailles avant terme, pour sacrifier les fœtus dans le seul but de disséquer leur pancréas et voir leur niveau de développement in utero.

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Pour le Dr André Ménache, ces analyses auraient tout aussi bien pu être réalisées sur des fœtus issus d'avortements spontanés. Au lieu de cela, les chiennes beagles, si sensibles et douces par nature, mais encore d'avantage vu leur état, ont eu le ventre découpé! On leur a fait subir des césariennes sans aucune nécessité pour la santé de leurs petits ni la leur. Qui plus est, toute incision si importante de l'abdomen peut mener à des malaises et douleurs, sans compter la dépression possible suite au prélèvement de leurs fœtus ! Leurs petits, eux, ont été tués alors qu'ils auraient pu devenir de parfaits compagnons de vie, joyeux et aimants, en bonne santé.

Les scientifiques de leur côté ne comptent pas s'arrêter là, estimant qu'il faudrait à présent déterminer quand ce pancréas se met en activité...

Source : Anat Rec (Hoboken). 2017 Aug;300(8):1429-1438. doi: 10.1002/ar.23595. Epub 2017 Mar 27. Development of the Endocrine Pancreas in the Beagle Dog: From Fetal to Adult Life. Bricout-Neveu E, Pechberty S, Reynaud K, Maenhoudt C, José Lecomte M, Ravassard P, Czernichow P.

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Commentaires 13

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PIMPRENELLE | vendredi 16 mars 2018

Encore une horreur de plus.Comme le dit le Docteur Ménache les "pseudo-scientifiques" auraient pu attendre un avortement spontané. NON il a fallu qu'ils interviennent. Quand ces actes de barbarie cesseront ils ? Nous ne pouvons rester insensibles devant la détresse de ces cobayes. C'est pourquoi il faut partager cet article afin que l'opinion publique en soit avertie.Nous ne pouvons rester les bras "ballants" en disant C'EST HORRIBLE....Il faut que des lois soient votées et que les scientifiques qui utilisent la recherche substitutive soient auditionnés en commission à l'Assemblée Nationale.