Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français

Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français

Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français
Expérimentation animale Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français
Chaque année, des milliers de primates sont expérimentés dans les laboratoires français.
La situation

Bien que les macaques soient les premières victimes des expériences sur les primates, aucune espèce n’est épargnée… Des babouins, des vervets, des microcèbes, des ouistitis et des singes-écureuils continuent eux aussi d’être expérimentés en France.

À l’attention : du ministère de la Recherche, du ministère de l’Agriculture, du FC3R, du Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale, du CNRS et des universités françaises

Chaque année, des milliers de primates sont encore soumis à des expérimentations cruelles en France, malgré l’existence de méthodes alternatives, fiables et éthiques. Notre pays est même devenu le plus grand utilisateur de primates non humains pour ses tests en Europe.
À lui seul, l’Hexagone inflige des expériences à plus de la moitié des macaques employés dans toute l’Union européenne. Alors que les babouins ne sont quasiment plus utilisés ailleurs en Europe, la France continue d’exploiter plus de 80 % des derniers individus encore soumis à ces pratiques dépassées. Dans les laboratoires, ils endurent prélèvements invasifs, implants crâniens, restriction hydrique, contention forcée…

Ces pratiques sont en décalage avec les avancées scientifiques et les attentes de la société, qui réclame une recherche respectueuse des animaux et de leur bien-être. 

En tant que citoyen·ne, je soussigné·e, demande aux côtés de One Voice :

  • que les autorités nationales prennent leurs responsabilités. Elles doivent mettre en place des mesures pour en finir avec l’importation, le commerce et l’utilisation de primates en France et dans l’Union européenne ;
  • que les autorités s’engagent à financer plus de méthodes alternatives à l’expérimentation.

Ensemble, mettons fin aux souffrances des animaux dans les labos. Soutenons une recherche éthique et innovante.

Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation

Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation

Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation
Expérimentation animale
Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation
La Ferme Guy élève des cochons de manière industrielle afin d’en envoyer une partie à l’abattoir et l’autre… au Centre International de Chirurgie Endoscopique de Clermont-Ferrand (CICE) rattaché au Centre hospitalier, où des porcelets de quelques semaines à peine sont expérimentés puis tués lors de formations à destination d’étudiants et de médecins. La situtation

La Ferme Guy élève des cochons de manière industrielle afin d’en envoyer une partie à l’abattoir et l’autre… au Centre International de Chirurgie Endoscopique de Clermont-Ferrand (CICE) rattaché au Centre hospitalier, où des porcelets de quelques semaines à peine sont expérimentés puis tués lors de formations à destination d’étudiants et de médecins.

Notre enquête, menée pendant plus d’un an et publiée en août 2024, a révélé le sort atroce des cochons exploités dans cette ferme. Élevées en batterie, les truies sont entravées dans des cages métalliques, forcées à mettre au monde portée sur portée de porcelets qui seront abattus ou envoyés au scalpel.

Les truies sont régulièrement frappées à coups de bâton. Lorsqu’elles sont blessées, l’éleveur pratique des actes de chirurgie illégaux car réservés aux vétérinaires, mettant en danger leur santé et leur imposant de grandes souffrances.

Le taux de survie des nouveau-nés y est catastrophique. Nombre d’entre eux naissent déjà morts, d’autres agonisent des heures durant jusqu’au matin et sont achevés par l’éleveur qui leur fracasse le crâne. Quand ils ne meurent pas sur le coup, ils convulsent jusqu’à ce que mort s’ensuive. Des seaux remplis de cadavres, fœtus, placentas et autres matières sont laissés pendant des jours au sein de la « maternité » faite de cages posées sur du béton.

Quand vient l’heure de les envoyer au CICE, les survivants sont manipulés avec brutalité, attrapés par les pattes arrière ou les oreilles, suspendus la tête en bas, jetés dans une benne comme de vulgaires déchets.

Pour mettre fin à cette avalanche d’actes de cruauté, avec One Voice, je demande la fermeture immédiate de cet élevage.

Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations

Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations

Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations
Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations
À Clermont-Ferrand, le Centre International de Chirurgie Endoscopique (CICE) rattaché au Centre hospitalier est connu mondialement pour les formations qu’il dispense en la matière. Pionnier dans le domaine de la cœlioscopie, il cache pourtant une réalité funeste.
La situation

À Clermont-Ferrand, le Centre International de Chirurgie Endoscopique (CICE) rattaché au Centre hospitalier est connu mondialement pour les formations qu’il dispense en la matière. Pionnier dans le domaine de la cœlioscopie, il cache pourtant une réalité funeste.

Avant le début de chaque formation, le CICE reçoit une « livraison » d’un élevage industriel environnant : une centaine de porcelets âgés de quelques semaines qui vont servir de « cobayes » vivants à des étudiants ou professionnels de la médecine.

Les tout jeunes cochons sont soumis à diverses chirurgies sous couvert d’enseignement : sutures, hystérectomies, néphrectomies… Le soir même, ils finissent dans un chariot à déchets de l’hôpital.

De nos jours, les expériences sur des animaux vivants pour l’enseignement ne devraient plus avoir lieu. Comment trouver tolérable d’en faire naître et d’en tuer pour des entraînements, alors même que des méthodes alternatives existent : pelvi-trainer, observation et apprentissage au bloc opératoire auprès de médecins diplômés, formation dans des laboratoires d’anatomie, cultures cellulaires, cultures tissulaires, organoïdes sur puce, cultures de cellules souches…

Si elles sont insuffisantes, l’État et les institutions scientifiques doivent poursuivre la recherche et le développement de méthodes alternatives.

Avec One Voice, je demande au CICE de mettre un terme à l’utilisation et la mise à mort de cochons et tous autres animaux lors de ses formations. Je l’exhorte également à employer les méthodes alternatives existantes et financer le développement des nouvelles techniques encore nécessaires.

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées La Paix pour les ours! Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées Les ours, qui ne demandent qu’à vivre tranquillement dans les Pyrénées, sont, depuis plusieurs années, la cible de tirs d’effarouchement. Signez !
La Paix pour les ours

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées

A l’attention du Ministre de la Transition écologique et Solidaire, de l’Office Français de la Biodiversité et des préfectures des départements pyrénéens. 

Bien qu’ils jouent un rôle central dans l’équilibre écologique de la région et soient censés être protégés, plusieurs ours capturés dans leur habitat d’origine pour être importés en France sont constamment menacés par le braconnage… et les pratiques actuelles de tirs d’effarouchement les menacent. Chaque année, une dizaine d’arrêtés sont publiés pour les autoriser. Ces tirs, considérés comme non létaux mais utilisant des munitions en caoutchouc, ou l’utilisation de grenades de désencerclement sont terrifiants et extrêmement stressants pour ces animaux. Ils peuvent provoquer chez eux des fausses couches et des blessures, déclencher des comportements imprévisibles, des changements d’habitudes, de déplacement et d’alimentation, et porter atteinte au cycle de reproduction de cette espèce très menacée.

Pourtant, les méthodes de protection des pâturages et des élevages (utilisation de clôtures électriques, présence de chiens, etc.) ont prouvé leur efficacité dans d’autres régions du monde…

Mais les préfets continuent d’autoriser ces pratiques cruelles et nuisibles, sans aucune considération pour les alternatives existantes et empêchent les défenseurs des ours d’aller en justice pour les protéger. Persécutés, les ours n’ont plus aucun endroit où se réfugier pour vivre et élever leurs petits en paix ! 

Ainsi, je, soussigné·e, demande avec One Voice :

  • L’arrêt immédiat du harcèlement des ours dans les Pyrénées.
  • La mise en place de solutions alternatives non-violentes.
  • Une campagne de sensibilisation du public pour une réelle cohabitation avec les ours et un réel respect de la nature aujourd’hui si fragile dans nos montagnes.
  • L’interdiction d’introduire en France des ours arrachés à leur terre natale 

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires

Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires
Expérimentation animale
Stop à l’utilisation des macaques dans les laboratoires
Chaque année, des milliers de primates sont utilisés dans les laboratoires français.
La situation
Chaque année, des milliers de primates sont utilisés dans les laboratoires français.

Ce sont des babouins, des vervets, des microcèbes, des ouistitis, des singes-écureuils, mais aussi et surtout des macaques. Parmi eux, les macaques à longue queue sont les plus vulnérables.

À l’attention : du ministère de la Recherche, du ministère de l’Agriculture, du FC3R, du Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale et de Silabe / Université de Strasbourg

Encore aujourd’hui, des individus sont capturés dans leur milieu naturel pour approvisionner les élevages qui vendront leurs petits à des laboratoires du monde entier. Alors que les organismes internationaux lançaient déjà l’alerte sur ces pratiques il y a vingt ans, les pratiques n’ont pas changé et cette espèce a été déclarée « en danger » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) en 2022.

La plupart des macaques à longue queue utilisés en France proviennent de ces élevages de l’île Maurice et du Vietnam (et dans une moindre mesure, du Cambodge ou d’Indonésie). Beaucoup transitent par le centre de primatologie Silabe, à l’université de Strasbourg, qui est au cœur du commerce européen de ces animaux.

Dans les laboratoires, ceux-ci endurent des souffrances variées : prélèvements divers, implants crâniens, restriction hydrique, « chaises de contention » dans lesquelles ils peuvent à peine bouger… Tout cela est inacceptable !

Je soussigné·e, demande avec One Voice :

  • que le centre de primatologie Silabe et l’université de Strasbourg s’engagent à ne plus importer de macaques à longue queue et à cesser leur commerce ;
  • que les autorités nationales prennent leurs responsabilités et mettent en place les mesures appropriées pour en finir avec l’importation, le commerce et l’utilisation de macaques à longue queue en France et dans l’Union européenne.

Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux

Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux

Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux Un statut d’animal familier pour poneys et chevaux
Rien ne leur est épargné: alimentation, expérimentation animale, courses hippiques, travaux agricoles, spectacles, manèges, combats. La situation
Rien ne leur est épargné: alimentation, expérimentation animale, courses hippiques, travaux agricoles, spectacles, manèges, combats.

Chevaux et poneys subissent toujours d’innombrables maltraitances et leur destination finale est quasi systématiquement l’abattoir après une exploitation sans fin.

Depuis toujours, les chevaux partagent avec nous un lien très fort. Durant des siècles, ils nous ont aidés dans les champs et sur les routes avant l’industrialisation, accompagnés vaillamment durant les guerres ou encore dans les mines d’où ils ne ressortaient que blessés ou morts. Aujourd’hui, nous sommes nombreux à les considérer comme de véritables compagnons.

Pourtant, chevaux et poneys subissent toujours d’innombrables maltraitances et leur destination finale est quasi systématiquement l’abattoir après une exploitation sans fin.

Pour des performances sportives, ils sont poussés jusqu’au bout de leurs forces. D’autres subissent le calvaire de l’expérimentation animale. Certains chevaux se voient imposer des pratiques qui n’ont rien de naturel, forcés de participer à des corridas ou des chasses à courre, traînés dans des cirques, obligés de tirer des calèches sous un soleil de plomb pour divertir les touristes. Pour de l’argent, ils sont maltraités dans certains centres équestres. Quand ils sont « usés » ou « plus assez performants », nombre d’entre eux sont envoyés dans des marchés ou des foires avant d’être expédiés à la boucherie.

Alimentation, expérimentation animale, courses hippiques, travaux agricoles, spectacles, manèges, combats… rien n’est épargné à nos partenaires de tout temps.

Avec One Voice, nous, soussignés, demandons que les chevaux et poneys soient sortis de la catégorie des animaux de rente et que leur soit donné le statut d’animal familier, pour qu’ils bénéficient enfin de la même protection que les chiens et les chats.

#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!

#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!

#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!
#RENARDS. NUISIBLES, VRAIMENT ?!

Destinataire(s) : Ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires

Chaque année en France, 600 000 à 1 000 000 de renards sont massacrés à la chasse, subissent les tirs , le piégeage, la chasse à courre, ou sous terre, etc.! Il s’agit ni plus ni moins d’une extermination insupportable, et non justifiée: pas plus pour des raisons écologiques que sanitaires.

Parce que les renards sont indispensables à l’équilibre des écosystèmes, parce qu’ils ne sont pas nuisibles, mais sensibles, Anymal, l’ASPAS et One Voice demandent que le renard roux soit en urgence retiré de la liste des « espèces susceptibles d’occasionner des dégâts » et, qu’à terme, il soit protégé par la loi.

Nous soussignés, considérons que les renards sont des êtres sensibles doués d’émotions, aux capacités cognitives développées;

Leur rôle écologique au bénéfice des humains et de la nature est avéré et crucial, et les renards régulent eux-mêmes naturellement leur population ;

Leur abattage cruel est source de grandes souffrances ;

Nous soutenons la demande d’Anymal, l’ASPAS et One Voice de retirer le renard de la liste des “espèces susceptibles d’occasionner des dégâts” (ex-nuisibles).

Voir la page de l’ASPAS « Protégeons les renards »
Voir la page Facebook Anymal

POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE

POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE

POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE
POUR UNE RÉFORME RADICALE DE LA CHASSE

Destinataire(s) : Emmanuel Macron (Président de la République) 

*Radical, radicale: adjectif Qui vise à agir sur la cause profonde de ce que l’on veut modifier.

En France, la chasse tue chaque année 45 millions d’animaux sauvages libres ou issus d’élevages (dont 30 millions nés en liberté), sans compter les victimes «collatérales» humaines et animales

La chasse n’est ni un loisir ni un art de vivre!
Et ce n’est pas en remplaçant les termes «tuer» et «abattre» par ceux de «gérer», «prélever» ou «servir» que la pratique en est moins cruelle pour les animaux et moins nuisible pour la nature.

Il est temps qu’une activité si destructrice soit interdite. 
En attendant, voici 10 points pour réformer cette pratique:

  1. Indépendance de la police de la chasse ;
  2. Interdiction de chasser les espèces en mauvais état de conservation ;
  3. Interdiction de chasser en périodes de reproduction ;
  4. Interdiction des pièges tuants ;
  5. Fin des chasses dites « traditionnelles » (glu, lecques, lacs, pantes, tendelles…) ;
  6. Abolition de la vénerie sous terre pour toutes les espèces ;
  7. Abolition de la chasse à courre pour toutes les espèces ;
  8. Abolition de la chasse dans les espaces protégés (Parcs Nationaux, Réserves naturelles, réserves biologiques) ; enclos et parcs fermés, ainsi que les élevages pour la chasse,
  9. 2 jours par semaine sans chasse ni piégeage (dont le dimanche) et l’intégralité des vacances scolaires ;
  10. Visite médicale annuelle obligatoire pour le permis de la chasse avec contrôle de la vue.

Nous soussignés demandons aux côtés de l’association One Voice une réforme radicale de la chasse!

Amour de la nature ne rime pas avec destruction, dégradation et souffrance animale mais avec respect et émerveillement.

Avec le soutien des personnalités:
Laurent Baheux – Photographe
Fabrice Nicolino – Journaliste
Laurence Parisot – Dirigeante d’Entreprise
Pierre Rigaux – Naturaliste
Franck Sorbier – Grand Couturier et Maître d’Art
Pierre Athanaze – Naturaliste et forestier
Yolaine de la Bigne – Journaliste et auteure
Vincent Munier – Photographe
Paul Watson – Activiste de la cause animale, capitaine de navire
Marc Giraud – Naturaliste et écrivain

STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !

STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !

STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !
STOP À LA PERSÉCUTION DES LOUPS !

Destinataire(s) : Ministère de l’Écologie

Après avoir été exterminés, les loups (Canis lupus) sont revenus en France mais peinent à s’y faire une place.

Malgré les aides , chasseurs et éleveurs les pourchassent avec l’aide de l’État et de la loi alors que leur espèce est juridiquement protégée.

 

Pourtant, les loups font partie intégrante de la biodiversité de notre pays. Ils participent à sa préservation ainsi qu’à celle de nos territoires et ont toute leur place à nos côtés !

Ils ont accompagné l’histoire des humains depuis la nuit des temps. Leurs ancêtres et les nôtres savaient vivre en harmonie et leur complicité a même donné naissance aux chiens.

Mais au Moyen Âge, des superstitions ont émergé : les loups sont devenus l’incarnation du diable.

Aujourd’hui, même si ces folles croyances n’ont plus cours, éleveurs et chasseurs continuent de véhiculer des mensonges à l’encontre des loups. Incapables d’accepter de cohabiter avec les canidés sauvages, ils font pression sur les autorités pour obtenir leur massacre.

Pourquoi ? Ils ne voient les loups que comme des prédateurs de leurs propres proies. Et ne perçoivent la nature et ses habitants qu’à travers le prisme du profit qu’ils peuvent en tirer à court terme, au lieu de se projeter dans une réflexion d’avenir.

Et l’État français cède ! Au lieu de protéger les loups, il ne cesse de promulguer de nouveaux arrêtés pour autoriser les tirs. Chaque année, des dizaines d’individus sont tués et des meutes décimées !

Nous soussignés, refusons que nos gouvernants se fassent dicter la loi par quelques citoyens hostiles au monde sauvage. La majorité de la population française souhaite le retour des loups sur notre sol qui est aussi le leur.

Nous réclamons le respect pour les loups, et l’interdiction définitive de nouveaux abattages.

Réapprenons la tolérance envers ces êtres extrêmement intelligents, sensibles et sages qui méritent tout notre respect. Ils ont tant à nous apprendre, notamment sur la solidarité – valeur primordiale chez eux.

 

Pour aller plus loin :

 

Situation des loups en France :

 

Textes réglementaires et arrêtés :

 

Quelques articles :

 

 

Communiqués de presse :