Stop à la chasse aux espèces d’oiseaux menacées

Stop à la chasse aux espèces d’oiseaux menacées

Stop à la chasse aux espèces d’oiseaux menacées
Stop à la chasse aux espèces d’oiseaux menacées
Avec l’inquiétant effondrement de la biodiversité, la chasse des oiseaux protégés doit cesser. Ensemble, exigeons la fin des massacres ! Stop à la chasse aux espèces d’oiseaux menacées

Madame la Ministre,

L’effondrement de la biodiversité est une réalité alarmante et préoccupante. En Europe, 20 millions d’oiseaux disparaissent chaque année. Soit plus de 900 millions depuis 1980. Le dérèglement climatique et les activités humaines en sont les premiers responsables : agriculture intensive et usage généralisé des pesticides, urbanisation massive, destruction des habitats naturels…

À toutes ces menaces vient s’ajouter la chasse, loisir mortifère d’un groupe d’individus ultra-minoritaires, qui vise chaque année 65 espèces d’oiseaux en France, un triste record en Europe.

À la suite des recommandations de la Task Force For Recovery of Birds (TRFB) et de la Commission européenne, un projet d’arrêté ministériel prévoyait de restreindre la chasse de plusieurs espèces d’oiseaux en mauvais état de conservation. 

Face à la pression des chasseurs, vous avez cédé sur toute la ligne, vous contentant d’une prétendue « gestion adaptative ». Une (fausse) réponse technocratique à une crise écologique majeure. Pire, le moratoire en vigueur depuis 2021 pour les tourterelles des bois, grâce notamment au recours de One Voice devant le Conseil d’État, serait abandonné. 

L’heure n’est plus aux tergiversations. La solution est connue, soutenue par la majorité des Français, et n’attend que d’être mise en œuvre. Il n’est pas acceptable que des animaux soient massacrés par centaines de milliers pour le plaisir d’une petite minorité. 

Alors que les chants d’oiseaux se taisent et que le silence gagne progressivement nos campagnes, nous demandons : 

  • Dans l’immédiat, la mise en place d’un moratoire de 5 ans sur la chasse de 20 espèces d’oiseaux menacées* ; 
  • À moyen terme, leur retrait définitif de la liste des espèces chassables. 

* barges à queue noire ; bécassines des marais ; canards pilets ; canards siffleurs ; canards souchets ; courlis corlieux ; courlis cendrés ; eiders à duvet ; fuligules milouins ; fuligules morillons ; gélinottes des bois ; lagopèdes alpins ; perdrix grises des Pyrénées ; perdrix bartavelles ; sarcelles d’été ; sarcelles d’hiver ; tétras lyres ; tourterelles des bois ; vanneaux huppés ; alouettes des champs.

On ne se divertit pas avec la souffrance : interdisons les combats de coqs !

On ne se divertit pas avec la souffrance : interdisons les combats de coqs !

On ne se divertit pas avec la souffrance : interdisons les combats de coqs !
On ne se divertit pas avec la souffrance : interdisons les combats de coqs !
Refusons que la souffrance soit un divertissement : exigeons l’interdiction des combats de coqs !

A l’attention du Président de la République et du Premier ministre.

Les combats de coqs sont une pratique d’une brutalité insoutenable qui ne peut plus être tolérée. Ces affrontements organisés entre deux coqs, dressés pour se blesser et s’entre-tuer sous les cris de la foule, ne sont rien d’autre que barbarie érigée en spectacle.

Pendant les premiers mois de leur vie, les oiseaux sont mutilés : leurs ergots sont sectionnés et, avant les combats, des aiguilles de plusieurs centimètres sont fixées à leurs pattes pour maximiser les dégâts. 

L’unique objectif : pousser les animaux à se battre jusqu’à épuisement. Après de longues minutes, quand le sang a suffisamment coulé au goût du public, les « arbitres » arrêtent le combat. Les oiseaux trop gravement blessés sont tués discrètement à l’abri des regards. En juillet 2025, nous avons publié une nouvelle enquête illustrant l’horreur de ce « spectacle » macabre.

En France, ces combats sont interdits par le code pénal (article 521-1), qui punit les actes de cruauté envers les animaux. Pourtant, une dérogation inique persiste : comme la corrida, ils sont encore autorisés dans certaines localités sous prétexte de « tradition ». 

Cet argument ne justifiera jamais de maintenir et encourager des pratiques dépassées causant des souffrances inacceptables à des êtres sentients. Nos territoires regorgent de traditions respectueuses des êtres vivants, qui permettent de créer du lien social sans sacrifier d’animaux ni notre empathie. Encourageons-les, et envoyons définitivement aux oubliettes toutes les autres !

En signant cette pétition, je demande l’interdiction totale et définitive des combats de coqs sur l’ensemble du territoire français, sans exception. Refusons que la souffrance soit un divertissement !

Pour l’interdiction des pièges

Pour l’interdiction des pièges

Pour l’interdiction des pièges
Pour l’interdiction des pièges
Blessures, souffrances, non sélectivité. Le piégeage des animaux doit cesser. Ensemble, demandons leur interdiction !

A l’attention de la ministre de la Transition écologique et solidaire.

Ubellule. Snooky. Collier Rouge. Mani. Cooper. Tigrou. Comme eux, chaque année, des milliers d’animaux, familiers ou sauvages, sont mutilés et tués par les pièges qui jonchent les sols de nos campagnes. 

Cages-pièges, pièges tuants, collets, pièges à lacets : ces instruments de tortures sont conçus pour massacrer les espèces dites par le MTE « susceptibles d’occasionner des dégâts ». Pour les seules ESOD du groupe 2, ils font plus de 500 000 victimes par an. Ceux qui ne meurent pas sur le coup ou après plusieurs heures d’agonie sont ramassés et achevés, à la main, à l’arme blanche ou au fusil. 

Par définition les pièges ne distinguent pas leurs cibles : qu’ils soient familiers, libres, à l’image de ce faon pris dans un collet, ou protégés, comme cette louve morte étouffée après une longue agonie, aucun n’y échappe. 

Les quelques règles qui encadrent leur utilisation n’y changent rien. Censés être interdits depuis 1995, certains pièges à mâchoires sont disponibles en vente libre, avec l’assentiment des autorités qui continuent de les homologuer. Quant à la prétendue obligation de sélectivité, l’hypocrisie est totale au regard du nombre d’individus non ciblés qui se font prendre.

Ces dispositifs moyenâgeux génèrent des souffrances atroces pour tous ces animaux qui n’aspirent qu’à vivre en paix dans leur environnement, et représentent un danger pour toutes les personnes, humaines et non humaines, qui souhaitent profiter de la nature. 

Pour la protection des animaux, de la nature et de la biodiversité, avec One Voice, je demande leur interdiction !

Stop aux installations piscicoles !

Stop aux installations piscicoles !

Stop aux installations piscicoles !
Stop aux installations piscicoles !
Pollutions multiples et millions de poissons entassés : mobilisons-nous contre l’enfer des élevages piscicoles

45 000 tonnes de poissons sont déjà produites en France, et ce n’est pas suffisant ? Des entreprises souhaitent produire toujours plus de poissons. Des projets de fermes-usines, à l’image des exploitations intensives agricoles, visent à étendre sur notre territoire les modèles que l’on peut apercevoir en Norvège. D’autres existent depuis des années et souhaitent parfois agrandir leurs bassins, pour générer davantage de profits… Ce sont de véritables bombes à retardement pour la planète, qu’il est impératif de désamorcer immédiatement!

Création, extension ou simple existence : sous l’eau, une véritable asphyxie

Depuis des décennies, des entreprises commercialisent des poissons et certaines d’entre elles comptent étendre leurs capacités. Ailleurs, des fermes-usines envisagent une production de masse afin de « répondre aux besoins des consommateurs français » tout en prônant le bien-être des animaux : voilà les mensonges sur lesquels elles prospèrent.

De leur naissance à l’âge adulte, les individus sont enfermés dans des bassins ou des cages à filet, entassés les uns sur les autres. Des conditions de vie déplorables pour des espèces dont la douleur est largement sous-estimée. Blessés aux nageoires, atteints d’infections oculaires, victimes de lésions sur la peau et la queue, leur souffrance, pour inaudible qu’elle soit, est pourtant bien réelle…

Fin de la (sur)pêche ? Sûrement pas !

Les établissements aquacoles dépendent d’un approvisionnement continu de farines animales pour nourrir les captifs… Ces aliments proviennent des poissons libres : pêchés dans des filets destructeurs souvent à l’autre bout du monde, puis broyés, cuits, séchés et mangés. Loin des regards, la Mauritanie subit par exemple les effets de cette production de masse, qui empire ainsi d’autant plus les canicules et la désertification du pays. Pour produire un kilo de ces farines, il faut environ 4 à 5 poissons sauvages… C’est ainsi près de 450 à 1 000 milliards d’individus qui sont capturés chaque année dans le monde pour être transformés. Une véritable catastrophe !

Des installations qui nuisent à l’environnement

Loin des prétendus bienfaits environnementaux martelés par les industriels, les élevages aquacoles sont en réalité destructeurs de la nature à plusieurs niveaux.

  • Les modifications génétiques liées au croisement des poissons menacent la survie des poissons locaux. À force d’être sélectionnés artificiellement, les saumons n’ont plus les mêmes capacités que leurs congénères indigènes à s’adapter au milieu et à résister aux maladies.
  • Propagation de maladies et résistance aux antibiotiques. Qui dit médicaments à profusion dit nécessairement virus de plus en plus résistants aux molécules. Un risque pour la survie des espèces aquatiques libres, fatalement touchées car les filets ne retiennent pas l’eau. Et bien sûr, une catastrophe pour la santé humaine en bout de chaîne.
  • Les installations pompent de l’eau de mer pour fonctionner et déversent ensuite les rejets des bassins dans les océans, chargés de médicaments, de déjections et résidus alimentaires non consommés, mais aussi de maladies transmissibles aux espèces sauvages. Autre risque, la diminution de la quantité d’oxygène, venant perturber la faune aquatique et les écosystèmes.
  • Situées en pleine mer ou même sur terre, les exploitations détruisent les écosystèmes environnants. Les animaux vivant à proximité de ces méga-fermes se voient ainsi privés de leur habitat, purement et simplement détruit par le bétonnage et les nuisances qu’elles occasionnent. Avec la disparition des poissons sauvages, c’est toute la biodiversité qui est touchée

Contre ce calvaire, il est nécessaire d’agir pour la fin des élevages piscicoles. C’est pourquoi, avec One Voice, je demande leur interdiction !

NON à la venue des éléphantes des dresseurs Gartner à Valence d’Agen !

NON à la venue des éléphantes des dresseurs Gartner à Valence d’Agen !

NON à la venue des éléphantes des dresseurs Gartner à Valence d’Agen !
NON à la venue des éléphantes des dresseurs Gartner à Valence d’Agen !
Refusons la venue de la famille Gartner et de trois éléphantes depuis l’étranger pour le spectacle de fin d’année du Cirque en 2 Rives.

À l’attention de Monsieur le Préfet du Tarn-et-Garonne,

J’apprends que le Cirque en 2 Rives prévoit de faire venir à Valence d’Agen trois éléphantes appartenant aux Gartner, pour un spectacle se tenant du 29 novembre au 14 décembre 2025.

La famille Gartner, connue pour son activité de dressage d’éléphants depuis plusieurs générations, a fait l’objet de condamnations pour maltraitance animale à l’étranger dans les années 2000. En 2006, l’association One Voice, avec les autorités, avait notamment permis le sauvetage de l’éléphante Vicky, après des mois de disparition et dissimulation de la part de ces dresseurs, alors que des ordres de saisie avaient été prononcés.

Nous sommes nombreux et nombreuses à penser que les animaux n’ont rien à faire dans les spectacles. Ce genre de numéros ne fait plus rêver : ils choquent, ils dérangent et ils ne correspondent plus aux valeurs de notre époque.

La loi du 30 novembre 2021 prévoit l’interdiction de l’exploitation d’animaux sauvages dans les cirques itinérants à partir de 2028. Autoriser en 2025 un tel spectacle avec des éléphants venus de l’étranger va à l’encontre de l’esprit de cette loi et envoie un signal catastrophique : celui d’un contournement assumé de cette future interdiction.

Monsieur le Préfet, je vous demande solennellement de ne pas autoriser la venue de ces éléphantes sur le territoire.

Les cirques doivent évoluer avec leur temps. Le spectacle vivant n’a plus besoin de souffrance animale pour émerveiller petits et grands.

Non au centre national de primatologie de Rousset

Non au centre national de primatologie de Rousset

Non au centre national de primatologie de Rousset
Non à l’agrandissement du laboratoire de Rousset Actuellement 600 primates sont déjà enfermés pour des expérimentations au sein du laboratoire de Rousset, et pourtant, le CNRS veut tripler sa capacité.
Non au centre national de primatologie de Rousset

L’Etat finance avec l’argent public un Centre national de Primatologie pour expérimenter sur des milliers de singes supplémentaires.

A l’attention du CNRS, de l’actuelle Station de Primatologie (SdP) de Rousset et du futur Centre national de Primatologie :

A l’heure actuelle 600 primates sont enfermés au sein de la Station de Primatologie de Rousset pour y subir des expériences. Le CNRS veut augmenter la capacité à 1 740, soit tripler le nombre de singes qui y sont expérimentés. 

Alors que la France est déjà le premier pays européen utilisateur d’animaux pour l’expérimentation*, notre pays utilise plus de la moitié des macaques expérimentés à travers toute l’Union européenne et plus de 80% des babouins. 

L’Etat finance avec l’argent public, l’agrandissement de la Station de Primatologie de Rousset pour plus de tests sur plus de singes alors que trois quart des français sont opposés à l’expérimentation animale**.

C’est pourquoi, aux côtés de One Voice, je soussigné(e), demande au CNRS :

  • de renoncer à l’agrandissement de la Station de Primatologie de Rousset ;
  • de transférer le financement du projet d’agrandissement à la recherche de méthodes alternatives à l’expérimentation animale ;
  • de ne pas augmenter la population de singes expérimentés en France.

* En 1ère utilisation jusqu’en 2022 (dans la limite des données disponibles ALURES Statistics)
** Selon le sondage IPSOS commandé par One Voice

Photo d’illustration issue de notre enquête dans les élevages de macaques à Maurice en 2023, ici celui des Campêches dans lequel se fournit le CNRS.

Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français

Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français

Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français
Expérimentation animale Stop à l’utilisation des primates dans les laboratoires français
Chaque année, des milliers de primates sont expérimentés dans les laboratoires français.
La situation

Bien que les macaques soient les premières victimes des expériences sur les primates, aucune espèce n’est épargnée… Des babouins, des vervets, des microcèbes, des ouistitis et des singes-écureuils continuent eux aussi d’être expérimentés en France.

À l’attention : du ministère de la Recherche, du ministère de l’Agriculture, du FC3R, du Comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale, du CNRS et des universités françaises

Chaque année, des milliers de primates sont encore soumis à des expérimentations cruelles en France, malgré l’existence de méthodes alternatives, fiables et éthiques. Notre pays est même devenu le plus grand utilisateur de primates non humains pour ses tests en Europe.
À lui seul, l’Hexagone inflige des expériences à plus de la moitié des macaques employés dans toute l’Union européenne. Alors que les babouins ne sont quasiment plus utilisés ailleurs en Europe, la France continue d’exploiter plus de 80 % des derniers individus encore soumis à ces pratiques dépassées. Dans les laboratoires, ils endurent prélèvements invasifs, implants crâniens, restriction hydrique, contention forcée…

Ces pratiques sont en décalage avec les avancées scientifiques et les attentes de la société, qui réclame une recherche respectueuse des animaux et de leur bien-être. 

En tant que citoyen·ne, je soussigné·e, demande aux côtés de One Voice :

  • que les autorités nationales prennent leurs responsabilités. Elles doivent mettre en place des mesures pour en finir avec l’importation, le commerce et l’utilisation de primates en France et dans l’Union européenne ;
  • que les autorités s’engagent à financer plus de méthodes alternatives à l’expérimentation.

Ensemble, mettons fin aux souffrances des animaux dans les labos. Soutenons une recherche éthique et innovante.

Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation

Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation

Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation
Expérimentation animale
Pour la fermeture de l’élevage qui fournit le CICE en cochons pour l’expérimentation
La Ferme Guy élève des cochons de manière industrielle afin d’en envoyer une partie à l’abattoir et l’autre… au Centre International de Chirurgie Endoscopique de Clermont-Ferrand (CICE) rattaché au Centre hospitalier, où des porcelets de quelques semaines à peine sont expérimentés puis tués lors de formations à destination d’étudiants et de médecins. La situtation

La Ferme Guy élève des cochons de manière industrielle afin d’en envoyer une partie à l’abattoir et l’autre… au Centre International de Chirurgie Endoscopique de Clermont-Ferrand (CICE) rattaché au Centre hospitalier, où des porcelets de quelques semaines à peine sont expérimentés puis tués lors de formations à destination d’étudiants et de médecins.

Notre enquête, menée pendant plus d’un an et publiée en août 2024, a révélé le sort atroce des cochons exploités dans cette ferme. Élevées en batterie, les truies sont entravées dans des cages métalliques, forcées à mettre au monde portée sur portée de porcelets qui seront abattus ou envoyés au scalpel.

Les truies sont régulièrement frappées à coups de bâton. Lorsqu’elles sont blessées, l’éleveur pratique des actes de chirurgie illégaux car réservés aux vétérinaires, mettant en danger leur santé et leur imposant de grandes souffrances.

Le taux de survie des nouveau-nés y est catastrophique. Nombre d’entre eux naissent déjà morts, d’autres agonisent des heures durant jusqu’au matin et sont achevés par l’éleveur qui leur fracasse le crâne. Quand ils ne meurent pas sur le coup, ils convulsent jusqu’à ce que mort s’ensuive. Des seaux remplis de cadavres, fœtus, placentas et autres matières sont laissés pendant des jours au sein de la « maternité » faite de cages posées sur du béton.

Quand vient l’heure de les envoyer au CICE, les survivants sont manipulés avec brutalité, attrapés par les pattes arrière ou les oreilles, suspendus la tête en bas, jetés dans une benne comme de vulgaires déchets.

Pour mettre fin à cette avalanche d’actes de cruauté, avec One Voice, je demande la fermeture immédiate de cet élevage.

Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations

Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations

Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations
Pour que le CICE de Clermont-Ferrand mette fin à l’expérimentation et la mise à mort d’animaux lors de ses formations
À Clermont-Ferrand, le Centre International de Chirurgie Endoscopique (CICE) rattaché au Centre hospitalier est connu mondialement pour les formations qu’il dispense en la matière. Pionnier dans le domaine de la cœlioscopie, il cache pourtant une réalité funeste.
La situation

À Clermont-Ferrand, le Centre International de Chirurgie Endoscopique (CICE) rattaché au Centre hospitalier est connu mondialement pour les formations qu’il dispense en la matière. Pionnier dans le domaine de la cœlioscopie, il cache pourtant une réalité funeste.

Avant le début de chaque formation, le CICE reçoit une « livraison » d’un élevage industriel environnant : une centaine de porcelets âgés de quelques semaines qui vont servir de « cobayes » vivants à des étudiants ou professionnels de la médecine.

Les tout jeunes cochons sont soumis à diverses chirurgies sous couvert d’enseignement : sutures, hystérectomies, néphrectomies… Le soir même, ils finissent dans un chariot à déchets de l’hôpital.

De nos jours, les expériences sur des animaux vivants pour l’enseignement ne devraient plus avoir lieu. Comment trouver tolérable d’en faire naître et d’en tuer pour des entraînements, alors même que des méthodes alternatives existent : pelvi-trainer, observation et apprentissage au bloc opératoire auprès de médecins diplômés, formation dans des laboratoires d’anatomie, cultures cellulaires, cultures tissulaires, organoïdes sur puce, cultures de cellules souches…

Si elles sont insuffisantes, l’État et les institutions scientifiques doivent poursuivre la recherche et le développement de méthodes alternatives.

Avec One Voice, je demande au CICE de mettre un terme à l’utilisation et la mise à mort de cochons et tous autres animaux lors de ses formations. Je l’exhorte également à employer les méthodes alternatives existantes et financer le développement des nouvelles techniques encore nécessaires.

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées La Paix pour les ours! Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées Les ours, qui ne demandent qu’à vivre tranquillement dans les Pyrénées, sont, depuis plusieurs années, la cible de tirs d’effarouchement. Signez !
La Paix pour les ours

Stop à l’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées

A l’attention du Ministre de la Transition écologique et Solidaire, de l’Office Français de la Biodiversité et des préfectures des départements pyrénéens. 

Bien qu’ils jouent un rôle central dans l’équilibre écologique de la région et soient censés être protégés, plusieurs ours capturés dans leur habitat d’origine pour être importés en France sont constamment menacés par le braconnage… et les pratiques actuelles de tirs d’effarouchement les menacent. Chaque année, une dizaine d’arrêtés sont publiés pour les autoriser. Ces tirs, considérés comme non létaux mais utilisant des munitions en caoutchouc, ou l’utilisation de grenades de désencerclement sont terrifiants et extrêmement stressants pour ces animaux. Ils peuvent provoquer chez eux des fausses couches et des blessures, déclencher des comportements imprévisibles, des changements d’habitudes, de déplacement et d’alimentation, et porter atteinte au cycle de reproduction de cette espèce très menacée.

Pourtant, les méthodes de protection des pâturages et des élevages (utilisation de clôtures électriques, présence de chiens, etc.) ont prouvé leur efficacité dans d’autres régions du monde…

Mais les préfets continuent d’autoriser ces pratiques cruelles et nuisibles, sans aucune considération pour les alternatives existantes et empêchent les défenseurs des ours d’aller en justice pour les protéger. Persécutés, les ours n’ont plus aucun endroit où se réfugier pour vivre et élever leurs petits en paix ! 

Ainsi, je, soussigné·e, demande avec One Voice :

  • L’arrêt immédiat du harcèlement des ours dans les Pyrénées.
  • La mise en place de solutions alternatives non-violentes.
  • Une campagne de sensibilisation du public pour une réelle cohabitation avec les ours et un réel respect de la nature aujourd’hui si fragile dans nos montagnes.
  • L’interdiction d’introduire en France des ours arrachés à leur terre natale