Trois établissements français font délibérément naître des chiens atteints de myopathie pour l’expérimentation animale. Écrivons massivement à la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation !
News Archives :
En France, on ne peut plus coller les oiseaux, mais les pendre et les écraser, oui
Les chasses traditionnelles sont maintenues cette année par le Conseil d’État. Nous déposons plainte au niveau européen.
Fourrure en France : la Fur Free Alliance hausse le ton !
Depuis nos premières enquêtes, les élevages de visons ferment les uns après les autres. Il n’en reste plus que quatre… La FFA réclame avec nous leur fermeture !
Flogas Sunset Cruise, mort en plein galop
Flogas Sunset Cruise, mort en plein galop
Flogas Sunset Cruise, mort en plein galop
19.09.2020
Flogas Sunset Cruise, mort en plein galop
Exploitation pour le spectacle
Cravaché et talonné, ce cheval “de” compétition a été victime de la frénésie de son cavalier. Alors qu’il montrait tous les signes d’épuisement, il a dû obéir à celui qui le chevauchait et galoper… jusqu’à la mort. Rendez-vous au tribunal de grande instance de Grasse, le 23 septembre 2020 à 8h30.
Image : capture d’écran YouTube
Il s’appelait Flogas Sunset Cruise… Un cheval flamboyant, comme un coucher de soleil. Hélas, son prénom ne lui a pas porté chance. Il s’est couché, définitivement, après avoir tout donné. C’était le 10 octobre 2016, lors d’une séance de travail à l’hippodrome de Cagnes-sur-Mer. Il n’avait que dix ans.
Poussé à bout
À l’époque, ce drame avait défrayé la chronique. Bien sûr, en plein effort, le jeune étalon n’était pas mort de sa belle mort. Il s’est effondré d’épuisement. Flogas Sunset Cruise n’était pas un cheval entraîné pour la course mais pour le saut d’obstacles. Or, de nombreux témoins ont attesté qu’ils avaient vu son cavalier irlandais, Kevin Thornton, le pousser au grand galop bien trop longtemps et au-delà de ses limites. Pire, plusieurs ont déclaré que l’homme lui avait assené de multiples coups de talon et de cravache alors qu’il montrait des signes évidents de harassement. L’un des principaux observateurs a souligné qu’à l’évidence, Flogas Sunset Cruise était à bout lorsqu’il s’est affaissé sur ses pattes postérieures. D’après ses dires, Kevin Thornton aurait continué à le frapper sur la croupe pour le forcer à se redresser. Mais le cheval hennissait à mort, puis s’est écroulé… Après quelques râles d’agonie, Flogas Sunset Cruise a succombé. Il était 17 h.
Maltraitance avérée
Le tribunal de la Fédération équestre internationale (FEI) s’est aussitôt saisi de l’affaire. Après plusieurs longs mois d’enquête, il a rendu son verdict en juin 2017, jugeant que Kevin Thornton « avait été au-delà de ce qui est considéré comme une conduite acceptable envers un cheval » et que « même si le cheval avait survécu, une accusation pour maltraitance du cheval aurait quand même été ouverte par la FEI ». Le cavalier s’est alors vu condamner à une amende de 10 000 CHF et quatre mois de suspension. Une sanction jugée trop légère par la secrétaire générale de FEI qui avait requis, quant à elle, deux ans de mise à pied.
Renvoi devant le tribunal correctionnel
Depuis, de l’eau est passée sous les ponts. Mais de notre côté, nous n’avons jamais oublié cette horrible tragédie. L’information judiciaire a largement démontré que les faits reprochés à Kevin Thornton étaient établis et que la preuve de sévices graves dans le but de provoquer la souffrance avait été apportée. C’est pourquoi nous nous sommes constitués partie civile pour que le renvoi du cavalier irlandais devant le tribunal correctionnel soit ordonné. C’est chose faite. L’audience aura lieu devant le tribunal de grande instance de Grasse, ce 23 septembre. Et nous comptons bien obtenir une condamnation exemplaire… En mémoire de Flogas Sunset Cruise, dont la flamme s’est éteinte bien trop tôt…
Arrêté delphinarium au Conseil d’État : un rapporteur hors sujet
Un rapporteur public a fait un hors sujet complet pendant l’audience sur l’arrêté « delphinarium » du 17 septembre 2020… Nous faisons une note en délibéré.
Nouvelle enquête : hurlements en musique pour les lapins angoras de France
Nouvelle enquête : hurlements en musique pour les lapins angoras de France
Nouvelle enquête : hurlements en musique pour les lapins angoras de France
14.09.2020
Nouvelle enquête : hurlements en musique pour les lapins angoras de France
Mode
Des lapins angoras épilés à vif… Nous dévoilons leurs hurlements et déposons plainte auprès de la Cour européenne de justice.
Une fois de plus, nous sommes obligés de publier des images révoltantes pour dénoncer la violence de l’élevage et de l’exploitation des lapins angoras. En 2020, la méthode usuelle pour récolter leur « laine » est toujours de les attacher par les pattes à une planche, les étirer pour qu’ils ne puissent plus bouger, et leur arracher la quasi-intégralité des poils par poignées. Nous avons déposé plainte auprès de la Cour européenne de justice, à la suite de la décision du Conseil d’État de maintenir cette méthode.
Après avoir entendu les cris stridents des lapins se faire épiler à vif lors de notre première enquête sous infiltration en 2016, après les images révélées en 2018 et celles de cette année, on ne peut que s’indigner une fois de plus de l’aveuglement et du silence assourdissant de nos autorités. Lors de notre recours devant le Conseil d’État, les services du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation avaient assuré que le processus de la « dépilation » était non invasif. Ils avaient maintenu la légalité de celui-ci, se basant sur les conclusions d’un rapport de l’INRA qui s’est avéré n’avoir jamais existé !
Une plainte auprès de l’Europe
Parallèlement à de multiples actions menées auprès du public avec notre partenaire PETA France, nous avons décidé de porter plainte auprès de l’Europe, car cela ne peut plus durer. Les cris glaçants de ces lapins à qui l’on arrache les poils sans anesthésie plusieurs fois par an, parfois en leur arrachant des lambeaux de peau, ça suffit !
Action de @PETA_France et @onevoiceanimal devant American Vintage pour dénoncer l’utilisation des lapins angora ? dans l’industrie textile. pic.twitter.com/8dkj9sa4Eq
— D Anthony (@AnthonyDepe) October 2, 2019
Notre nouvelle enquête renforce notre détermination à sauver ces lapins
Les lapins se débattent à qui mieux mieux, tentant de toutes leurs forces de s’arracher aux liens qui les enserrent. Et quand l’éleveur reprend l’arrachage, ils hurlent tant la terreur et la douleur de l’épilation sont une torture. Dans la nature, les lapins sont des êtres qui n’utilisent leur voix que très exceptionnellement : dans des circonstances de grand danger.
Dans ces lieux de supplice, la plupart des animaux exploités sont des lapines. Les mâles, eux, sont tués peu après leur naissance, car moins étoffés en poils. Seuls sont gardés les plus rentables financièrement parlant, en fonction de la masse de leurs poils, pour la reproduction. Environ 170 lapines sont enfermées à vie dans les clapiers de cet éleveur bien connu, épilées ainsi plusieurs fois par an et tout au long de leur existence, souvent devant le chien de l’éleveur et parfois leurs congénères… Lors de notre infiltration, nous avions même découvert, comble de l’horreur, qu’il vendait les malades à des laboratoires d’expérimentation animale.
Soutenez notre action auprès de la Cour européenne de justice en signant notre pétition !
Épilation des lapins angoras : le combat continue devant les institutions européennes
Épilation des lapins angoras : le combat continue devant les institutions européennes
Épilation des lapins angoras : le combat continue devant les institutions européennes
14.09.2020
Épilation des lapins angoras : le combat continue devant les institutions européennes
Mode
Nous nous battons depuis 2016 pour que cesse l’épilation des lapins angoras. Malgré nos images, la France reste sourde; nous nous adressons à l’Europe!
Nous nous battons depuis 2016 pour que cesse l’épilation des lapins angoras. L’an dernier, le Conseil d’État a rejeté notre recours malgré la révélation de nouvelles images. La France étant sourde, nous nous adressons maintenant à l’Europe.
Une épilation barbare
À la suite de notre enquête en infiltration de 2016, nous vous dévoilions l’épilation des lapins angoras. Attachés à une table par les quatre pattes, c’est souvent sous les yeux de leurs congénères, que leurs poils, et parfois même leur peau, sont arrachés à la main à toute allure. Avant cette torture leur serait administré du lagodendron une plante (qui ne fait l’objet d’aucune autorisation de mise sur le marché) favorisant la récolte des poils, mais sans empêcher la douleur. Passons sur leurs conditions de vie misérables. Le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation de l’époque s’était caché derrière un rapport de l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) arguant qu’il ne s’agissait pas de maltraitance. Nous avions souhaité accéder à ce rapport qui s’avère n’avoir jamais existé ! En 2018, les images que nous avons révélées montraient que rien n’avait changé depuis notre première enquête. Cet été, les images que nous divulguons ne font pas exception, au grand dam des lapins.
Nous ne lâchons rien
En juin 2019, le Conseil d’État a rejeté notre recours car cette pratique n’était apparemment pas source de souffrances. De qui se moque-t-on ? Cette institution n’aurait-elle pas mis le son de nos vidéos où les cris de douleur et de terreur glacent le sang ?
Nous vous avions annoncé porter plainte contre la France auprès de l’Europe. C’est chose faite ! Nous nous battrons pour faire respecter le bien-être animal dans cette filière qui semble échapper à la législation. Quand en finira-t-on avec cette pratique barbare d’un autre siècle ? Quand l’industrie textile cessera-t-elle d’utiliser des matières issues de la souffrance animale ? Quand prendra-t-on enfin en compte la sensibilité de ces êtres vivants ? Les Français ne se sont-ils pas prononcés en faveur du respect des animaux ? En attendant que justice se fasse, continuez à signer notre pétition et à la partager. Outre l’interdiction de cette horrible pratique, c’est la fermeture de ces élevages que nous visons. Nous continuons le combat !
Cellule psychologique pour les salariés de Planète Sauvage, qui nous réclame 100 000 euros!
Cellule psychologique pour les salariés de Planète Sauvage, qui nous réclame 100 000 euros!
Cellule psychologique pour les salariés de Planète Sauvage, qui nous réclame 100 000 euros!
14.09.2020
Loire-Atlantique Cellule psychologique pour les salariés de Planète Sauvage, qui nous réclame 100 000 euros!
Exploitation pour le spectacle
À la suite du passage de nos enquêteurs fin mai lors du déconfinement, quand la limite des cent kilomètres autour du domicile était encore en application, le parc nous avait menacés de porter plainte si l’on publiait des images. On l’a fait, car c’est précisément notre rôle de défendre les dauphins captifs des bassins. C’est à leurs yeux la goutte qui a fait déborder le vase, et le delphinarium nantais, qui dit perdre de l’argent par notre faute, a déposé une main courante qui a enrichi leur réplique dans le cadre de notre plainte sur la mort d’Aïcko. Ils veulent nous réduire au silence en exigeant dorénavant de la justice que nous leur versions 100 000 euros!
Des salariés qui voient trouble face à la vérité?
Première attaque: ils demandent que notre plainte pour Aïcko soit déboutée, prétendent que nous n’aurions “pas d’intérêt à agir” en justice. C’est pourtant l’objet précis de notre association. Puis ils prétextent une baisse d’activité due à nos campagnes. La direction du parc aurait même mis en place une cellule psychologique pour les salariés par notre faute… Enfin, ils réclament 100 000 euros de dommages et intérêts, et a minima 15 000 euros!
Tant mieux si le public se désintéresse grâce à nous de la souffrance en spectacle!
Avant que les associations et scientifiques défenseurs des dauphins, bélugas, orques et autres grands êtres marins sensibilisent le grand public sur leur sentience, les delphinariums pouvaient s’en donner à cœur joie pour endoctriner les jeunes dresseurs sans formation, phénomène très bien décrit dans le film documentaire dédié à Tilikum: Blackfish.
Le mensonge et la falsification de la réalité y ont été dénoncés par d’anciens dresseurs et démontrés on ne peut plus clairement, y compris après la perte de vies humaines… Pas étonnant dans ces conditions que les membres du personnel ne soient pas heureux au travail. Pas surprenant qu’ils aient besoin de soutien psychologique, quand leur travail consiste à voir souffrir heure après heure et ce pendant des années, voire mourir ces animaux si étonnants et assoiffés de liberté!
Mort d’Aïcko: la vérité éclatera-t-elle un jour?
Nous n’avons jamais nié que notre but était la fin de la captivité des dauphins et des orques. Simplement le décès du jeune Aïcko va plus loin encore qu’on l’imaginait dans la cruauté. Depuis sa mort dans ces bassins, nous n’avons eu de cesse de démontrer ce qui s’est réellement passé. Le delphineau a vécu un enfer, attaqué 78 fois par les autres dauphins devenus fous de stress. Il n’a pas été protégé, a été mal soigné, s’est noyé et a eu la mâchoire disloquée.
En tant qu’association de défense des animaux, nous n’allions pas nous contenter de croire les dires des soigneurs et de la direction de Planète Sauvage. Le parc n’aurait rien eu à gagner à la mise en lumière de dysfonctionnements dans sa manière de s’occuper des dauphins… En particulier durant les derniers mois de vie d’Aïcko.
La tristesse en bocal
Quand nos enquêteurs sont retournés au delphinarium pour voir comment allaient les animaux, ils ont retrouvé Galéo, le frère d’Aïcko, toujours couvert de morsures, Lucille esseulée, et les autres, aussi à huis clos, qui tournaient en rond, dont Amtan, en fin de grossesse à l’époque et qui depuis a perdu son nouveau-né à peine une semaine après sa naissance. Le dresseur en chef avait fait une démonstration de surf en piscine devant les rares visiteurs, tracté par les dauphins. Ce n’est pas une vie décente pour eux. Et il n’y a aucun mal à le dire haut et fort.
Une somme exorbitante réclamée par le delphinarium à une ONG!
Donc, au lieu de répondre à notre plainte pour Aïcko en présentant des documents exhaustifs et en faisant profil bas — après tout, un delphineau est décédé en se jetant contre le mur d’un de leurs bassins —, ils préfèrent nous attaquer et réclamer une somme astronomique dans le but de nous faire taire. Ils espèrent qu’en nous privant de ces ressources, nous n’aurons plus les moyens de mener nos combats.
Ils ont tenté de nous bâillonner avec des menaces. Et comme nous ne nous taisons pas, à présent, ils mettent leurs menaces à exécution devant les tribunaux. En demandant une telle somme, le groupe puissant qui possède de nombreux parcs dont Planète Sauvage sait ce qu’il fait. Mais il n’a pas l’air de nous connaître. Inlassablement, nous continuerons de dénoncer ce que subissent les dauphins! Rien ne nous arrêtera!
Les tourterelles des bois graciées !
Les tourterelles des bois graciées !
Les tourterelles des bois graciées !
11.09.2020
Les tourterelles des bois graciées !
Chasse
Pour les tourterelles des bois, faire suspendre cet arrêté était bel et bien une urgence. Surtout quand on sait que leur espèce est en grand danger d’extinction (perte d’habitat, disparition des insectes, bruit, braconnage, et… chasse) ! Quel est le sens des priorités de ce ministère censé protéger la nature et qui se fait déjà taper sur les doigts par l’Union européenne car la France ne respecte pas la directive « oiseaux » ? Suite à notre recours et à celui de la LPO, le Conseil d’État a rendu sa décision, et elle va dans le sens des tourterelles, sauvées du massacre!
Un lobby si puissant qu’il s’insinue jusque dans les décisions préfectorales et ministérielles
Le jour de l’audience, nous apprenions que 68% des vertébrés avaient disparu de la surface terrestre en moins de 50 ans… Pourtant, nous interpellions justement le Conseil d’État une fois de plus sur une question concernant le droit ou non de tuer des dizaines de milliers de ces oiseaux, peuplant pacifiquement notre pays.
Des milliers de tourterelles déjà mortes, et des données toujours pas fiables!
En ce 10 septembre au matin et depuis sa publication, déjà 6287 tourterelles des bois avaient péri dans le cadre de cet arrêté. Au sortir de l’audience, ce chiffre mis à jour quotidiennement était passé à 6368 ! Mais ce qu’on ignore souvent, c’est que ces données déjà astronomiques sont bien en deçà de la réalité, de l’aveu même des intéressés, car elles sont déclaratives : les chasseurs doivent entrer eux-mêmes leurs prises dans l’application « ChassAdapt ». Autant dire, une révolution informatique… pas gagnée d’avance.
L’arrêté du ministère n’avait ni queue ni tête, les tourterelles vont vivre!
Muriel Arnal, présidente fondatrice de One Voice, déclare :
«Comment l’Etat pouvait-il exposer les tourterelles des bois, au bord de l’extinction, aux chasseurs qui, rappelons-le, les tuent pour leur récréation ? Les données fournies ne sont pas fiables, nous l’avons démontré. La chasse – ce passe-temps – ne fait qu’aggraver une situation très préoccupante pour ces oiseaux qui appartiennent au patrimoine commun de l’humanité. Au-delà des mentalités, il est grand temps de faire évoluer les actes ! Aujourd’hui le Conseil d’État nous a donné raison, c’est un immense soulagement.»
Notre équipe sur place a souligné les moments forts du procès et les incohérences du ministère et les a retranscrits sur notre fil Twitter. Après avoir analysé les éléments et les deux avis contradictoires, le Conseil d’Etat a tranché en défaveur du ministère public, donc en faveur des tourterelles!
Le combat pour les oiseaux continue. Que les préfets et ministres se le disent avant de publier de nouveaux arrêtés concernant la chasse quelle qu’elle soit, au tir, à la glu ou la vénerie : nous serons là. À tel point que nous serons d’ailleurs de retour au Conseil d’Etat pour l’audience contre les chasses traditionnelles (six arrêtés sur le piégeage des oiseaux) le 16 septembre 2020 à 10h.
One Voice face à l’État pour un nouvel arrêté delphinarium, c’est le 17 septembre 2020 !
Depuis notre requête pour faute, adjointe de 500 000 euros de dommages, déposée en novembre 2018 au Conseil d’État après mise en demeure de l’État, nous étions en attente d’une date d’audience. Celle-ci est enfin prévue ! Notre demande de publication d’un nouvel arrêté identique sur le fond à celui de 2017, annulé pour vice de procédure, qui interdisait la reproduction en captivité ainsi que les échanges et importations de nouveaux cétacés, va enfin être jugée. Depuis le début de l’année, trois dauphins sont morts dans les bassins, dont deux juste après leur naissance !
L’audience aura lieu à Paris, métro Palais Royal au Conseil d’État, le 9 juillet prochain à 9h.