Pour Moana et Inouk, One Voice assigne le Marineland d’Antibes en justice. Audience le 25 mai à Grasse

Pour Moana et Inouk, One Voice assigne le Marineland d’Antibes en justice. Audience le 25 mai à Grasse

Pour Moana et Inouk, One Voice assigne le Marineland d’Antibes en justice. Audience le 25 mai à Grasse
20.05.2022
Antibes
Pour Moana et Inouk, One Voice assigne le Marineland d’Antibes en justice. Audience le 25 mai à Grasse
Delphinariums

Pour offrir une autre vie à Moana et Inouk, deux des quatre orques détenues au Marineland d’Antibes et dont l’état de santé est très préoccupant, nous avons tout fait. Et nous continuons ! Après nos campagnes pour éviter leur transfert en Chine, nos enquêtes et rassemblements, et, dernièrement, la publication de rapports d’expertise suivis de plaintes toujours en cours, pour toutes les orques françaises, One Voice assigne à présent le parc en justice. L’audience aura lieu au tribunal judiciaire de Grasse le 25 mai 2022 à 8h30.

Le but de notre procédure : obtenir un avis d’expert indépendant

L’objectif de cette procédure de référé est d’obtenir la désignation d’un expert qui aura pour mission d’établir un bilan clinique de l’état de Moana et d’Inouk, de leurs conditions de détention et de récupérer à cet effet un certain nombre de pièces officielles.

Dans ce cas, l’expert devra notamment déterminer si l’état de santé de Moana et d’Inouk leur permet de participer au spectacle, si la qualité de l’eau et les installations sont à même de garantir le bien-être de ces orques et procéder à toutes les analyses nécessaires.

Des rapports accablants

Cette demande d’expertise se base sur les rapports accablants établis par la biologiste marine néo-zélandaise spécialiste des cétacés, la Dre Ingrid Visser, sur Moana, qui présente des taches sur la peau pouvant être le signe d’une maladie grave, et sur Inouk dont l’état de la dentition est l’un des pires de toutes les orques captives au monde.

L’importance de respecter les orques et de fuir les delphinariums

Les animaux appartiennent au patrimoine de l’humanité, comme aime à le rappeler notre conseil aux tribunaux. En effet, sans animaux dans la nature, nous dépossédons nos enfants de ces êtres fantastiques qui peuplent notre planète à leurs côtés.

Et pour ce qui est des orques, dauphins et baleines en particulier, des experts se sont déclarés sur leur sentience. L’ONU a fait écho à cette déclaration sur la nécessité de protéger leurs cultures. En Inde, les delphinariums sont d’ailleurs interdits depuis 2013.

Des plaintes toujours en cours

Dans le prolongement de ces rapports, nous avons déposé deux plaintes auprès du procureur de Grasse à l’encontre du delphinarium qui les détient. Le 8 avril 2019 pour Inouk et le 12 novembre 2021 pour Moana, pour des faits de mauvais traitements envers les animaux placés sous la garde du Marineland, de placement ou maintien d’un animal sauvage captif dans un habitat, environnement ou installation pouvant être cause de souffrance, et d’exploitation irrégulière d’un établissement détenant les animaux d’espèces non domestiques.

Ces plaintes sont toujours en cours. Cependant, l’urgence de la situation requiert que des mesures conservatoires soient prises afin de limiter la détresse de ces animaux.

Par ailleurs, les cas d’Inouk et Moana ne sont pas des cas isolés, et interrogent sur la qualité des soins apportés, mais également des infrastructures et de l’eau. Nous sommes également inquiets pour Wikie et Keijo. C’est la raison pour laquelle une demande de mesure d’expertise a été engagée.

Inouk, orque mâle de 20 ans en captivité, souffrant de lésions dentaires chroniques et étendues

Rapport d’expertise, mars 2019

TéléchargerInouk, rapport d’expert, mise à jour août 2020

Moana, orque mâle de 10 ans, né en captivité, avec des lésions tissulaires sous-dermiques

Rapport rédigé pour One Voice par Ingrid N. Visser (Dr)

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Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours

Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours

Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours
19.05.2022
Quatre référés en Bretagne et Pays de la Loire pour sauver les Choucas des tours
Chasse

Il faut que cesse la surenchère dans l’horreur dirigée contre les Choucas des tours dans de nombreux départements. Nous attaquons quatre arrêtés préfectoraux qui autorisent une fois de plus le massacre par milliers de ces oiseaux protégés. Nous avons fait un dépôt de référé et de recours dans le Morbihan, mais également dans les Côtes-d’Armor, le Finistère et le Maine-et-Loire. Plusieurs audiences sont prévues : trois en Bretagne le 25 mai à 10h au tribunal administratif de Rennes, et celle du Maine-et-Loire le 23 mai à 15h à Nantes.

Les préfets de l’ouest du pays prévoient ainsi le massacre de 16 000 Choucas des tours dans le Finistère, 8000 dans les Côtes-d’Armor, 3000 dans le Morbihan
et 635 dans le Maine-et-Loire. C’est insoutenable ! Nous dénonçons ces abattages de masse et le fait que des choucas blessés pourront agoniser dans des souffrances atroces alors que leurs petits orphelins mourront de faim.

Rappelons que les oiseaux concernés sont des corvidés qui bénéficient d’un statut censé les protéger, contrairement à leurs cousins les corbeaux freux et les corneilles, considérés comme nuisibles ou ESOD (espèces pouvant être classées comme « susceptibles d’occasionner des dégâts ») un peu partout en France.

La cerise sur le gâteau de la barbarie d’État : non seulement les autorisations sont publiées par dizaines par les préfectures pour tuer des oiseaux (déjà bien mal en point, vu la 6e extinction de masse qui a lieu en ce moment), mais ces oiseaux-là ne sont pas protégés par hasard ! Avec ses dérogations sur les Choucas des tours, chaque préfecture autorise donc en réalité ni plus ni moins leur extinction ! C’est toujours pareil : dès qu’il faut agir pour la planète, le climat ou les animaux, les intérêts humains privés passent systématiquement au premier plan, ruinant tout effort pour redresser la barre, tout espoir de changement.

Les abattages favorisent la reproduction

Dans de nombreux territoires, on constate trop souvent que les agresseurs méconnaissent totalement le comportement des choucas !

L’étude récente de la DREAL de Bretagne, attendue de longue date et enfin publiée au printemps 2022, expose d’ailleurs que ces abattages annuels massifs ne permettent pas de réduire les dégâts et que les quotas fixés d’oiseaux à tuer ne reposent sur aucune justification scientifique L’étude évoque également des pistes de réflexion autour de l’évolution des pratiques agricoles. Nous ajoutons que ces dégâts sont discutables et ne sont pas forcément le fait des choucas…

Nous ne céderons rien et remettrons notre ouvrage sur le métier autant de fois qu’il le faudra pour la défense des choucas, des corneilles ou des corbeaux, ces oiseaux si intelligents. Nous demandons donc l’annulation et la suspension en urgence de ces quatre arrêtés qui autorisent un abattage massif et imminent de milliers d’oiseaux issus d’une espèce protégée. Rien ne justifie ces tueries légalisées qui interviennent en pleine période de nidification et d’élevage des petits !

Pour le Maine-et-Loire, le juge des référés a fixé l’audience à Nantes à 15h le 23 mai prochain. Pour le Morbihan, les Côtes-d’Armor et le Finistère, la date d’audience est groupée et fixée finalement au 25 mai à 10h au tribunal administratif de Rennes.

Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !

Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !

Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !
17.05.2022
Empêchons l’effarouchement des ours réintroduits dans les Pyrénées !
Faune sauvage

Vous êtes une ourse des forêts ancestrales de Slovénie. Vous vivez votre vie en toute liberté, vous avez une famille et vous êtes respectée par les populations. Le « syndrome du sauveur » ayant atteint des dirigeants français, il a été décidé que vous seriez capturée, arrachée à votre territoire et aux vôtres, transportée puis relâchée dans un lieu que vous allez devoir découvrir, et dans lequel la plupart des humains alentour vous sont hostiles et sont armés… Les arrêtés ministériels sont pris chaque année depuis 2019 pour permettre l’effarouchement des ours à titre expérimental, mais un arrêté en projet prévoit de pérenniser ce dispositif. Avec nous, participez à la consultation publique pour éviter cela !

La protection des animaux remise en question

En France, on protège les espèces qui ont disparu ou quasiment. Tout comme les loups, les ours font partie d’une espèce dont les membres sont censés ne pas être chassés (convention de Berne, de Washington, directive européenne « habitats » et arrêtés du 23 avril 2007 et du 9 juillet 1999). Enfin ça, c’est la théorie, la réalité est tout autre. Leur espèce n’est sanctuarisée que parce que leurs membres sont inexistants sur le sol français. Dès que l’un d’eux arrive, soit naturellement pour les loups, soit en étant « réintroduit », les éleveurs et chasseurs les attendent de pied ferme, l’arme au poing. Quelle absurdité que d’arracher des animaux de chez eux pour les relâcher dans un pays qui leur est hostile !

On peut légitimement se poser la question de la logique du gouvernement, qui ordonne des tirs d’effarouchement sur des ours qu’ils ont fait eux-mêmes déraciner… Le but était pourtant qu’ils se reproduisent et s’installent durablement, avec tous les risques que cela comporte.

Les tirs d’effarouchement autorisés

Oui, vous avez bien lu. Depuis 2019, le ministère de la Transition écologique et le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation autorisent annuellement des mesures d’effarouchement « à titre expérimental ». Ces mesures peuvent être « simples » (effarouchement sonore, olfactif, visuel) ou « renforcées » (cartouches à double détonation, cartouches à billes de plastique). Ces arrêtés sont dits « cadres ». Ils permettent ensuite aux préfets de prendre des arrêtés supplémentaires, autorisant des effarouchements lorsqu’ils estiment que les conditions fixées par les arrêtés cadres sont remplies et donc insuffisantes. Les intérêts des éleveurs, qui destinent leurs troupeaux d’animaux à l’abattoir, passent toujours avant la vie sauvage.

Un combat mené depuis des années !

L’arrêté du 27 juin 2019, qui mettait en place à titre expérimental les mesures d’effarouchement des ours bruns dans les Pyrénées pour prévenir les dommages aux troupeaux, ainsi que celui du 12 juin 2020 ont été attaqués par plusieurs associations de défense de l’environnement et des animaux et ont tous deux été partiellement annulés par le Conseil d’État, respectivement le 4 février 2021 et le 25 avril 2022. Cette seconde annulation partielle s’explique par le fait que lorsque l’arrêté de 2019 a été partiellement annulé, celui de 2020 avait déjà été pris. Il s’agit donc de deux arrêtés similaires, le dispositif relatif à l’effarouchement renforcé n’avait pas été revu…

Nous espérons donc que cette année, l’arrêté du 31 mai 2021 soit totalement annulé. Nous avons déposé un recours et n’avons pas encore de date d’audience. Parallèlement, une consultation publique est ouverte jusqu’au 19/05/2022, pour un projet d’arrêté qui prévoit de pérenniser ce dispositif d’effarouchement des ours. Participons-y pour refuser ce projet !

Les choucas des tours, une hécatombe à faire suspendre dans le Morbihan. Audience le 25 mai à Rennes

Les choucas des tours, une hécatombe à faire suspendre dans le Morbihan. Audience le 25 mai à Rennes

Les choucas des tours, une hécatombe à faire suspendre dans le Morbihan. Audience le 25 mai à Rennes
13.05.2022
Les choucas des tours, une hécatombe à faire suspendre dans le Morbihan. Audience le 25 mai à Rennes
Animaux sauvages

On se demandait encore il y a peu ce que la France pouvait bien avoir contre ses oiseaux, et contre les corvidés en particulier. Le feuilleton continue… Cette fois, ce sont les choucas des tours qui sont la cible de la préfecture du Morbihan. Le préfet vient d’autoriser le massacre de 1800 de ces oiseaux pourtant issus d’une espèce protégée, du 26 avril à la mi-décembre 2022. Et il se ménage la possibilité de porter ce plafond à 3000 individus ! One Voice demande l’annulation et la suspension en urgence de cet arrêté. L’audience en référé est prévue le 25 mai à 10h au tribunal administratif de Rennes.

Edit au 17 mai 2022:

Le tribunal a décidé de déplacer la date d’audience au 25 mai prochain.
Le titre de l’article et les mentions de la date précédemment annoncée ont été modifiés.

Comme d’habitude – on croirait les arrêtés préfectoraux copiés-collés les uns sur les autres quels que soient les départements -, les motifs invoqués sont des « dégâts importants aux cultures ». Pourtant, ces dégâts sont en forte baisse par rapport à l’année dernière, et rien n’indique que les choucas des tours en sont les responsables. Pour appuyer ces arguments, nous avons une étude à opposer à la préfecture

Changer les pratiques agricoles, mieux connaître les espèces et trouver des alternatives aux tueries

Dans cette étude, deux éléments sont également soulignés.
D’une part, la nécessité de trouver des solutions alternatives à l’abattage d’animaux. La pertinence de cette « solution » devant être remise en cause (plusieurs études ont en effet mis en évidence le caractère inefficace voire contreproductif de ces hécatombes générées par les humains). D’autre part, qu’il est indispensable de mieux connaître l’espèce pour apporter des réponses de lutte contre les dégâts éventuels, avant qu’ils aient lieu.
Elle mentionne également plusieurs possibilités d’évolution des pratiques agricoles.

Un allié de taille

Ces éléments sont repris par le Conseil scientifique régional du patrimoine naturel (CSRPN) qui a rendu un avis défavorable à propos de cet arrêté. Nous ne sommes donc pas seuls à soutenir ce point de vue.

Détourner l’étude dans son intérêt : la fin pour justifier les moyens ?

La préfecture invoque uniquement l’estimation des populations dans le département figurant dans cette étude de mars 2022 pour justifier le plafond de 1800 oiseaux alors que l’étude indique clairement que cette estimation ne peut pas servir de base pour définir un quota de « prélèvement » !

Les oisillons risquent l’agonie !

Par ailleurs, ces destructions vont intervenir en pleine période de nidification et d’élevage des petits. On rappelle que selon la Cour de justice de l’Union européenne, le bien-être animal doit être pris en compte par l’autorité qui accorde la dérogation… donc par la préfecture. En effet, dans le cadre de ces « destructions » à tir, les choucas qui ne seront pas tués sur le coup pourront agoniser, de même que les petits dont les parents seront tués qui seront condamnés à mourir de faim.

Toutes ces raisons nous ont amenés à demander la suspension en urgence de cet arrêté qui autorise un abattage massif et imminent de milliers d’oiseaux issus – qui plus est ! – d’une espèce protégée et porte une atteinte grave à leur bien-être ! Nous demandons également l’annulation de cet arrêté via un recours au fond qui sera jugé ultérieurement. Le juge des référés a fixé la date de l’audience au 25 mai au tribunal administratif de Rennes.

Photo : hedera.baltica – CC BY-SA 2.0

One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !

One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !

One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !
12.05.2022
One Voice prend part à la première Journée mondiale des blaireaux le 15 mai prochain dans toute la France !
Animaux sauvages

Le week-end du 15 mai aura lieu la première Journée mondiale des blaireaux. One Voice se joint à ses partenaires pour mener des actions de sensibilisation sur le terrain dans une dizaine de villes en France sur ces petits mustélidés, si mal connus et cruellement chassés dans notre pays.

(Les pétitions, lieux et dates en fin de communiqué).

Avec leur pelage noir et blanc, les blaireaux sont facilement reconnaissables. Mais rares sont ceux qui ont la chance de pouvoir observer ces mustélidés réservés. Ces animaux sensibles et sociaux sont accusés de tous les maux. Pourtant, travailleurs enthousiastes, solidaires et pacifiques, ils méritent tout notre respect plutôt que d’être massacrés jusqu’au fond de leur terrier. One Voice appelle à les défendre et à les protéger. Le week-end du 15 mai sera l’occasion pour l’association de se joindre à l’ASPAS et à d’autres partenaires pour célébrer les blaireaux et montrer au public qui ils sont vraiment.

Une enquête sans précédent chez les déterreurs

En matière de cruauté, les chasseurs n’ont jamais manqué d’inspiration. Et parmi leurs inventions, il en est une particulièrement monstrueuse : la vénerie sous terre. Cette pratique parfaitement légale consiste à harceler un animal jusqu’au fond de son terrier en lui faisant subir des heures de terreur et de douleur avant son dernier râle. Les adeptes de ce « loisir » adorent s’acharner notamment sur les blaireaux…

Quoi de mieux en effet que de persécuter des êtres sans défense pour savourer le plaisir de les voir souffrir et de se féliciter d’être le plus fort ? Le déterrage des blaireaux est un « loisir » barbare, déguisé en soi-disant chasse utile et nécessaire. Les images, terribles, issues de notre enquête en infiltration, montrent toute la violence de cette pratique, qui fait non seulement des victimes parmi les animaux, mais fait aussi des dégâts au sein des forêts.

L’exception cruelle de la France

Leur existence dans la nature n’est en rien un obstacle aux cultures. Les blaireaux sont d’ailleurs des animaux protégés en Angleterre, au Pays de Galles, ainsi qu’aux Pays-Bas, au Danemark, en Grèce et en Hongrie. La France fait donc exception en Europe, et cette exception n’est pas culturelle mais cruelle. Ces arguments fallacieux permettent aux chasseurs de les persécuter et de les massacrer jusque dans leurs terriers, qu’ils soient adultes ou juvéniles, de la mi-mai à la mi-janvier tous les ans avec l’aide bien opportune de préfets qui adoptent de nombreux arrêtés. Les chasseurs cherchent même à faire entrer les blaireaux sur la liste des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts (ESOD, ex-nuisibles).

J’aime les blaireaux !

Les mots sont fondamentaux dans la manière dont nous nous figurons le monde. En argot français, « blaireau » est péjoratif. Dans le Robert, il désigne un « personnage antipathique, borné et mesquin ». Dans le Larousse, un « individu conformiste, borné, niais ». Il est nécessaire de faire évoluer les mentalités autant que les réglementations. Aussi, à l’occasion de cette première Journée mondiale des blaireaux, revendiquons-nous ce terme. Le 15 mai, nous invitons chacun et chacune à revendiquer le fait d’être un blaireau ou une blairelle en utilisant les visuels de la campagne et le hashtag #CEstQuiLeBlaireau en plus de l’habituel #JAimeLesBlaireaux.

Les Français veulent que les chasseurs fichent la paix aux blaireaux

Plus de huit Français sur dix demandent l’interdiction de la vénerie sous terre (sondage Ipsos/One Voice septembre 2021). Ensemble, faisons interdire cette abomination !

Avec nos diverses pétitions, exigeons l’interdiction de la vénerie sous terre, la protection des blaireaux dans toute la France (et que le terme « blaireau », quand c’est une insulte, soit retiré du dictionnaire).

Nous vous invitons également à signer la pétition lancée sur le site du Sénat, permettant de garantir la probité des signataires, pour protéger les blaireaux. https://petitions.senat.fr/initiatives/i-1012

One Voice sera présente dans les villes suivantes :

Attention, avant de vous déplacer, pensez à vérifier que le lieu et la date n’ont pas été modifiés.