Encore une fois, le protocole scientifique montre des failles, qui sont à la limite de la fraude scientifique, selon le Dr Ménache : les chats n'ont pas le même métabolisme que celui des humains, et c'est pourtant ce qui est mis en avant pour justifier leur utilisation comme point de comparaison avec les humains. Autre aberration, alors que les humains sont exposés à ce perturbateur endocrinien dans leur environnement et leur nourriture, les scientifiques ont injecté le bisphénol A aux chats en intraveineuses. Ils ont ainsi dû endurer des piqures nombreuses et très stressantes, mais aussi des prises de sang à répétition.
Rien dans ces expériences ne mentionne la moindre prise en compte de la souffrance des chats, même leur mode d'hébergement a été passé sous silence pendant les mois qu'ont duré les tests. Il est fort à parier que rien n'ait été mis en œuvre pour les aider, sinon, ça aurait probablement été mis en avant.
Commentaires 43
Fany | jeudi 19 avril 2018
Blandine | dimanche 29 avril 2018
boycotter | mardi 17 avril 2018
Cricrie 57 | lundi 16 avril 2018
Isa | lundi 16 avril 2018