Éleveuses indignes, non à la récidive (2e acte)!
Une éleveuse professionnelle… de la maltraitance, récidiviste patentée, épinglée au tribunal le 24 novembre 2020 à Agen par One Voice !
Encore un éleveur professionnel… de la maltraitance, récidiviste patenté, que One Voice épingle au tribunal ! Il faut en finir avec ces spécialistes de la souffrance des chiens et des chats. Il est temps que l’État sanctionne sévèrement ces individus malfaisants. Audience le 24 novembre 2020 à Agen.
Le profil de Madame Guerra, exploitante récidiviste, éleveuse de chats et de chiens, est le même que celui de cette autre professionnelle de la maltraitance lucrative qu’est Madame Auchier, voisine et acoquinée, dont nous vous reparlerons car elle aussi a son actualité.
Ce 24 novembre 2020 à Agen, nous assignons Madame Guerra au tribunal de grande instance, car exercer l’activité professionnelle d’élevage et de vente d’animaux, malgré une interdiction judiciaire, ne va pas sans démontrer une certaine persistance dans l’erreur. Et nous pouvons dire persistance dans l’horreur. Parce que, pour les animaux de cette prétendue éleveuse, que nous suivons depuis des années, le cauchemar reste identique. Il faut que cela cesse…
Cette fois, cela suffit
En 2015, ne constatant aucun respect des réglementations des installations classées, nous avions fait saisir chez elle 59 chiens et chats dans un état déplorable (en plus de la centaine chez Mme A.). Elle avait été condamnée en première instance. Qu’importe l’interdiction d’exercer alors prononcée, elle a recommencé, et même fait appel du jugement. Bien que l’appel ait aggravé sa sanction, Madame Guerra a persévéré…
La revoici donc au tribunal, et il suffit d’énoncer les maux dont souffrent les derniers animaux saisis, pour juger de sa qualité d’éleveuse : pertes de poids massives, parasitismes interne et externe, œdèmes des parois du tube digestif, diarrhées, ventres de batracien…
Bonne nouvelle : les bergers blancs suisses ont été soignés et remis sur pied. Tous sont désormais en famille d’accueil, aux frais de One Voice… Mais pour l’association, la coupe est pleine : la prochaine fois, nous réclamerons de la prison ferme pour cette prétendue éleveuse qui n’est rien d’autre qu’une maquignonne de la souffrance ! Tous ces prétendus « pros » qui font leur métier de l’exploitation des animaux resteront sous nos radars.