Pour Maya, la préfète a répondu (en grande partie) à nos demandes.

Pour Maya, la préfète a répondu (en grande partie) à nos demandes.

Cirques
02.01.2018
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Sauver Maya : fin novembre, nous tentons une autre voie pour sortir l’éléphante du cirque. Notre proposition : l’acheter.

Fin novembre, nous avons invité le cirque et leur avocat vers une autre voie de sortie en proposant de leur acheter Maya, pour la sauver d’une autre manière que par le juridique.

Aucune réponse en retour à part peut-être des menaces de procès. Le cirque ne cherche pas à l’évidence le bien-être de l’éléphante ! On aurait loué sa générosité, mais non, ils semblent être prêts à tout bonnement la laisser mourir à petit feu…

Nous avons reçu dans la foulée, « l’assignation en référé d’urgence » exigeant le retrait de toute communication prenant la défense de Maya sur nos médias en ligne, papier, etc., et des excuses ! 

Dans le même temps, la préfète du Lot-et-Garonne recevait les avis des multiples experts internationaux que nous avions récemment tout fait pour réunir, ainsi que les deux lettres des institutions qui font autorité pour les vétérinaires français ; et elle a entendu l’opinion publique s’exprimer à travers notre mobilisation de chaque instant (les rassemblements, les signatures de la pétition #JusticePourMaya, et plus généralement par votre présence sur les réseaux sociaux à nos côtés). L’action parallèle de ces deux composantes a probablement joué un rôle majeur dans la prise de décision de la préfète d’ordonner une nouvelle inspection vétérinaire.

Nous lui avions écrit pour lui demander de prendre en compte certains aspects pour cette inspection, et par la réponse qu’elle nous a faite, il semblerait que nous ayons été entendus!

Compte tenu de la situation juridique, il nous est, hélas, impossible d’en dire plus.
Même si notre frustration et notre impatience à tous sont fortes, et que Maya n’est pas encore libre, nous obtenons là une belle avancée !

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