Lynchage et crucifixion, une nuit d'horreur pour Janeiro

Lynchage et crucifixion, une nuit d'horreur pour Janeiro

Animaux familiers
07.02.2018
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Cellule Zoé : One Voice porte plainte pour rendre justice à Janeiro, un chat de Chartres victime de violences. Aujourd’hui il est vivant mais a perdu sa patte.

Dans la nuit du 31 janvier au 1er février, Janeiro, adorable chat roux a subi des violences impensables. Il en est sorti vivant, mais a perdu une patte. One Voice porte plainte contre personne non dénommée pour actes de cruauté envers un animal domestique auprès du procureur de Chartres.

Jeudi matin, son humain, surpris de ne pas le voir apparaître à l’appel de son nom à l’heure de lui donner à manger, partit à sa recherche pour s’assurer que tout allait bien pour son petit compagnon. Soudain, les cris de détresse de Janeiro retentirent en reconnaissant une voix familière. Etait-il enfermé quelque-part? Non, c’était bien pire!

Sur le chantier d’une maison en construction des parages, il vit son chat, accroché à un grillage, les pattes écartelées, qui hurlait à la mort. Il ne s’était pas coincé dans le grillage par accident : sa patte avant droite écrasée horriblement fixée par du fil de fer la transperçant.

Choqué par la violence inouïe que venait de subir Janeiro, il l’emmena immédiatement chez le vétérinaire. Celui-ci, pour permettre au pauvre chat de survivre a dû procéder à l’amputation de sa patte avant droite. Selon toute vraisemblance, il a subi des coups de pieds dans le ventre ou dans les côtes en plus. Après quelques jours en observation chez ce vétérinaire, il se remet de ses émotions courageusement.

Des cas similaires ont été répertoriés dans le secteur de Dreux. Ce genre de violences sur des chats est beaucoup trop fréquent. Il est indispensable qu’elles ne restent pas impunies, pour ne pas être considérées comme banales ou sans conséquences! S’en prendre à un animal domestique est un délit, pouvant être puni de prison ferme! Notre Cellule Zoé ira donc au procès pour obtenir justice pour lui.

Les photographies de cet article appartiennent au compagnon de Janeiro

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