Parmi les griefs que nous avions envers cet arrêté, il y avait le fait que le préfet n’avait pas fait précéder a publication d’une consultation publique.
Pour nous, l’arrêté était également «entaché d’une erreur manifeste d’appréciation», il «méconnai[ssai]t le principe de précaution» et était «entaché d’un détournement de pouvoir».
Pour Muriel Arnal, présidente fondatrice de One Voice :
Le tribunal administratif de Bordeaux vient de décider de suivre les conclusions du rapporteur public. C’est une grande nouvelle pour les blaireaux du Lot-et-Garonne. En effet, les déterreurs de blaireaux, qui sont autorisés à exécuter leur sinistre besogne de l’automne au printemps, ne pourront plus le faire cet été. Alors, certes, de mi-mai à aujourd’hui, il leur a été possible de tuer des blaireaux en creusant dans le sol meuble des terriers, mais là s’arrête leur jeu macabre. Nous sommes extrêmement heureux de cette conclusion positive.
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amie des animaux | mardi 27 juillet 2021
trochu | lundi 19 juillet 2021