Exploitation pour la mode Exploitation pour la mode

Exploitation pour la mode

Notre vision

Pourquoi nous nous battons contre l’exploitation des animaux pour la mode ?

Faire souffrir au nom de la mode ne devrait plus être toléré.

One Voice dénonce les pratiques en vigueur, notamment grâce à ses images d’enquêtes, et assure la promotion d’une mode sans cruauté !

Partout dans le monde, les animaux destinés au secteur de la mode, sous grande influence française, subissent une véritable torture. Sacrifiés pour leur fourrure, leur peau ou leurs poils, leur vie n’est que souffrance. Les enquêteurs de One Voice ont infiltré des élevages français de visons et de lapins angoras, et de chinchillas en Europe de l’Est. Leurs images ne permettent pas de douter de ce qu’ils subissent. Représentant la France au sein de la Fur Free Alliance, One Voice développe dans notre pays les programmes pour une mode éthique.

Fourrure : cruauté et pollution de bout en bout

Des centaines de millions d’animaux sont sacrifiés chaque année pour leur fourrure, piégés ou élevés dans des fermes avant d’y être écorchés. Si la Chine en est le plus gros producteur, le rôle de la France est loin d’être négligeable. Jusqu’en 2021, la France jouait un rôle majeur dans cette industrie. D’une part à travers sa production : les élevages de visons d’Amérique ont tous fini par mettre la clé sous la porte après une intense campagne de One Voice et de ses partenaires, et la même année, tout élevage d’animaux sauvages pour leur fourrure a été interdit (ce qui a évité des reconversions dans l’élevage de renards par exemple) ; et d’autre part, à travers son influence en tant que fer de lance du secteur du luxe mondial.

L’action de One Voice s’inscrit aussi bien à l’international, où ses partenariats notamment en Chine mais aussi sur le continent Américain visent à faire évoluer la réglementation et les pratiques, qu’en France et en Europe, où ses enquêtes ont mis en lumière la face cachée des élevages. Dans les fermes où sont élevés les animaux, ses images révèlent la pollution et l’horreur de l’existence d’animaux qui ne connaissent aucun répit, depuis leurs conditions de détention jusqu’à leur mise à mort. Depuis la loi contre la maltraitance de 2021 cependant, de la fourrure continue d’être produite en France, issue de lapins notamment, dont l’élevage ne relève pas de cette loi puisqu’ils ne sont pas des animaux sauvages..

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Angora : la patte française

Si les lapins angoras ne sont pas mis à mort pour la collecte de leurs poils, ce qu’ils endurent dans les élevages français n’en est pas moins terrible. Les enquêteurs de One Voice ont infiltré la filière française, censément réputée pour ses bonnes pratiques au regard des producteurs chinois qui fournissent 90% des poils commercialisés, et dont la souffrance infligée aux lapins fait déjà polémique. Mais les cris des lapins français ne sont pas moins perçants. Avec leurs poils, la peau est arrachée. Ils souffrent à chaque épilation et n’ont qu’un semblant de vie entre deux séances, isolés dans des cages, en proie au froid et à l’ennui. Le Ministère de l’Ecologie s’est opposé à des avancées en la matière; nous n’avons pas baissé les bras.

Cuir : souffrance, pollution et contre vérités

La production de cuir est étroitement liée à l’élevage industriel des animaux pour la viande, mais aussi à des filières spécifiques : reptiles, autruches, kangourous… Les animaux sacrifiés pour leur peau souffrent à toutes les étapes de leur existence, depuis leur élevage, leur transport et jusqu’à leur mise à mort. Mais le cuir, c’est aussi le traitement des peaux qui non seulement est fortement polluant mais aussi toxique pour la santé humaine, au point de mettre en danger la vie de ceux qui l’assurent.
La fourrure comme le cuir nécessitent une succession d’étapes de tannage et de teinture des peaux, souvent effectuées à l’étranger, où les conditions de travail ainsi que les rémunérations sont d’un niveau très inférieur à celles en application en France et en Europe. Cela ne fait que renforcer notre détermination à encourager d’autres moyens de se vêtir qu’au détriment des animaux et des humains, ainsi que de la nature.

chiffres clé

Un constat alarmant

100M
d’animaux, sont sacrifiés chaque année
9 000
tonnes de poils de lapins angoras sont encore commercialisées dans le monde
300
substances sont déversées dans la nature sans retraitement

Stop !
à l'exploitation des animaux pour la mode

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Engagez-vous
à nos côtés

Ne soyez pas complice
du supplice des visons, renards, lapins ou veaux piégés ou élevés et tués pour leur peau ou leurs poils!

N'achetez pas de vêtements ni d'accessoires contenant des produits venant d'animaux, refusons de participer à l'épilation des lapins angora!