Pour l'avenir des animaux, mobilisons nous!
Mobilisation pour les animaux victimes de l'industrie du divertissement!
L’hypocrisie du parc exposée au grand jour ne fait plus aucun doute!
Quel avenir?!
Mercredi 04 Décembre, la veille de la décision de la cour d’appel d’Aix-en-Provence et alors que l’expertise vétérinaire a été étendue à Wikie et Keijo, Marineland annonçait tranquillement sa fermeture définitive le 5 janvier. Les animaux ? Dispersés dans d’autres prisons.
Cette décision de fermeture définitive n’autorise pas Marineland à délaisser les orques, les dauphins ni aucun autre animal : le parc a un devoir de responsabilité et d’obligation morale à leur égard. Ils ont tous fait les beaux jours du parc, remplis les poches des actionnaires. Ce lieu est aujourd’hui en désaffection alors les animaux font donc partie du tout à liquider…que d’irresponsabilité et de mépris. On ne peut donc se satisfaire d’une telle décision !
Durant toutes ces années nous n’avons eu de cesse de demander qu’une seule chose : une retraite bien méritée pour les animaux, tous les animaux…
Jeudi 05 Décembre, la cour d’appel d’Aix-en-Provence rendait sa décision : Wikie et Keijo doivent rester sur place jusqu’à la fin de l’expertise, fermeture de Marineland ou pas !
L’annonce faite par le delphinarium à la veille de la décision attendue de la cour d’appel d’Aix-en-Provence – pitoyable tentative d’influer sur l’avis du juge – n’y changera rien. L’expertise judiciaire pour Wikie et Keijo, que le parc marin a toujours tenté d’entraver, aura bien lieu jusqu’à son terme, ainsi l’a confirmé la cour d’appel d’Aix-en-Provence . Un troisième revers d’affilée pour le delphinarium, qui n’a jamais voulu saisir la main tendue par One Voice pour discuter d’une solution bénéfique pour les mammifères marins et les autres animaux de son exploitation.
Wikie et Keijo ne vont pas bien, il faut que Marineland, le ministère de la transition écologique, One Voice et d’autres se mettent autour de la table dans un seul et même objectif : offrir le meilleur possible à ses animaux qu’on a salement enfermés et exhibés toute leur vie durant et qui ont vu leurs congénères, des membres de leur famille, décéder les uns après les autres.