Université de Nantes : silence sur le sort des babouins détenus dans ses labos Université de Nantes : silence sur le sort des babouins détenus dans ses labos

Université de Nantes : silence sur le sort des babouins détenus dans ses labos

Expérimentation animale
28.11.2024
Nantes
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La bataille contre le Laboratoire des Grands Animaux (LGA) de l’Université de Nantes est loin d’être terminée. Il a fallu une année de procédure pour recevoir une partie seulement des documents qu’il est légalement tenu de nous fournir. Malgré des discours réguliers prônant la transparence en matière de tests sur les animaux, l’université nantaise reste opaque quant au sort des primates au cœur de ses labos…

Néanmoins, les dossiers obtenus nous permettent de révéler le parcours effroyable de sept jeunes babouins… One Voice reste mobilisée pour collecter des réponses et mettre fin à ce silence !

Crédit photo d’illustration : Cruelty Free International

Satiric, Sheila, Simio et les autres sont arrivés entre septembre 2022 et avril 2023 au Laboratoire des Grands Animaux (LGA) de l’Université de Nantes. Pourtant, l’établissement se cache bien de révéler ce qui leur arrive en son sein. Tout ce que nous savons c’est que le LGA est réputé pour être spécialisé dans la chirurgie expérimentale, en particulier dans les domaines de la transplantation d’organes… On ne peut qu’imaginer ce qu’ils subissent chaque jour…


Jeunes et déjà brisés par les expérimentations

Soumis à des expérimentations éprouvantes dès leur plus jeune âge, les babouins endurent gavages forcés, arrêts respiratoires et autres tests provoquant des niveaux de détresse extrêmes. La jeune « Stabilotte » en vient à vomir pendant les expériences, tandis que d’autres, paniqués, tentent de fuir les machines de tests dans lesquelles leur corps est bloqué. Ils cherchent si désespérément à s’enfuir que Shade, âgée de quatre mois, a déjà tenté de s’échapper par les conduites d’évacuation. Ce n’est qu’en rentrant de week-end que cette tentative avait été découverte par les employés. Preuve, s’il en fallait une, que les animaux sont livrés à leur sort des jours durant.

À seulement 2 ans, celui que les expérimentateurs ont jugé drôle de prénommer Satiric, montre déjà des signes inquiétants de dégradation physique. Tous, physiquement affaiblis par les expérimentations à répétition, souffrent de rachitisme, boitent ou perdent leur pelage à en devenir chauves.

 

Aidez-nous à découvrir ce que l’Université de Nantes leur fait subir !

Malgré tous ces signes alarmants, et comme si le calvaire qu’ils ont déjà enduré ne suffisait pas, les sept jeunes babouins ont été achetés par l’Université de Nantes pour être soumis à de nouvelles expériences…

Dans l’attente de la réception des documents complémentaires que nous avons demandés afin d’en apprendre davantage sur leur sort au sein du Laboratoire des Grands Animaux nantais, nous restons mobilisés pour eux.

Si, comme un Français sur cinq, vous êtes choqué par l’expérimentation sur les primates, rejoignez-nous : signez notre pétition pour une science plus éthique et transparente. Ensemble, demandons un financement accru des méthodes alternatives pour, in fine, faire cesser les tests sur les primates.

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