Parrainer un dromadaire
Les dromadaires et les humains
Si leur ancêtre sauvage demeure méconnu, les dromadaires pourraient avoir été domestiqués dans le sud de la péninsule arabique, il y a environ 4000 ans. Véritables alliés des humains dans des régions arides, ils les ont aidés à transporter la soie, l’or, les épices et le sel à travers les déserts. De nos jours, ils sont toujours utilisés par certaines tribus nomades pour se déplacer et porter le matériel des campements. Les femelles sont également très appréciées pour leur lait. Non récompensés pour leur dur labeur, de nombreux dromadaires sont abattus quand ils vieillissent. Tandis que des peuplades consomment leur chair, d’autres confectionnent des objets ou des textiles avec un peu de leur cuir ou de leur laine, notamment pour les touristes.
Les animaux à parrainer
Palerme
Parrainer Palerme, c’est l’aider à se remettre de ses traumatismes passés en l’entourant des meilleurs soins.
Un circassien avait laissé Palerme dans un champ sans s’en préoccuper durant plus de onze semaines. Il serait mort de faim et de soif si l’agriculteur et la maire du village ne lui avaient pas apporté du foin et de l’eau pour subsister. Lors de la saisie, il s’est montré très effrayé et a eu beaucoup de mal à monter à bord de la remorque. En lui laissant du temps et en l’entourant de bienveillance, il a fini par regagner confiance.
Prise en charge
Nous avons transféré Palerme vers un sanctuaire partenaire où nous assurons sa prise en charge. Ce lieu en pleine campagne offre une seconde vie aux animaux issus de sauvetages. Sur place, ils sont entourés des meilleurs spécialistes qui veillent à leurs soins physiques et psychologiques après les traumatismes qu’ils ont subis.
Parrainer Palerme, c’est l’aider à se remettre de ses traumatismes passés en l’entourant des meilleurs soins.
Saba
Parrainer Saba, c’est veiller à la reconstitution de ses forces et lui assurer un avenir paisible.
C’est sur un terrain privé ouvert à tous les vents que nous avons rencontré Saba. Le circassien auquel il appartenait l’avait laissé à un agriculteur théoriquement pour dix jours mais n’était toujours pas revenu le chercher au bout de onze semaines ! Pendant cette période de disette, il a dû aussi affronter la neige et n’avait rien pour se mettre à l’abri, hormis un camion dont le sol était couvert de déjections. La maire du village nous a appelés au secours et nous avons pu organiser sa saisie en moins de cinq jours.
Prise en charge
Nous avons transféré Saba vers notre sanctuaire partenaire où nous assurons sa prise en charge. Ce lieu en pleine campagne offre une seconde vie aux animaux issus de sauvetages. Sur place, ils sont entourés des meilleurs spécialistes qui veillent à leurs soins physiques et psychologiques après les traumatismes qu’ils ont subis.
Parrainer Saba, c’est veiller à la reconstitution de ses forces et lui assurer un avenir paisible.