Pour Aïcko, Galéo, Inouk, Femke, et tous les cétacés captifs : fermons les delphinariums !


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Pour Aïcko, Galéo, Inouk, Femke, et tous les cétacés captifs : fermons les delphinariums !


Jusqu'à quand la France tolérera-t-elle l'esclavage sur son territoire ?

Comment, en effet, appeler autrement la détention et l'exploitation de dizaines de cétacés dans des établissements carcéraux pompeusement nommés delphinariums ?

Bien sûr, les chaînes sont absentes, l'ambiance est festive, l'eau turquoise. Les dauphins ont le sourire et les orques éclaboussent malicieusement le public. Tout est fait pour que les esclaves semblent respirer la joie de vivre !

Dénonçons cette mascarade et mettons-y fin !

Est-il nécessaire de rappeler qu'orques et dauphins, ces créatures merveilleuses faites pour l'immensité de l'océan, ne sont pas des objets de divertissement ? Que leur arrachement à leur milieu naturel, la privation de leurs besoins vitaux, tant d'un point de vue psychologique que physique, sont sources de souffrances indicibles ?

One Voice appelle à une mobilisation massive et une pression constante afin que les cétacés captifs soient rendus à leur vraie vie et que cesse enfin cette exploitation de personnes nonhumaines !

Ne les laissons pas tomber ! Exigeons la fermeture des delphinariums et empêchons l'ouverture de nouveaux !

« La loi pour la reconquête de la biodiversité a été adoptée sans les amendements sur la fermeture des delphinariums. Le gouvernement français marque une nouvelle fois son désintérêt pour la souffrance des cétacés. Pourtant, la souffrance psychologique des cétacés en captivité les confine à la folie. L'histoire de l'orque Tilikum dans Blackfish l'illustre tragiquement. Les delphinariums séquestrent des mammifères marins et leur imposent des exhibitions forcées pour des raisons commerciales. Ils exercent de mauvais traitements sur les animaux et portent atteinte à la biodiversité. »

Plusieurs pays interdisent déjà ces structures sur leur sol dans un souci de protection des cétacés. Le Chili, la Hongrie, le Costa Rica en 2005, la Suisse en 2012 et enfin l'Inde en 2013.

Il est impensable que la France refuse de prendre en compte ces preuves scientifiques et continue à ignorer la souffrance de ces mammifères marins.

La mort de l'orque Valentin, décédé à l'âge de 19 ans alors qu'il était captif au Marineland d'Antibes, ne doit pas rester vaine.

Nous soussignés, soutenons la demande de One Voice d'interdiction des delphinariums en France et de transfert de tous les cétacés captifs dans des sanctuaires marins, selon les préconisations du Dr Ingrid Visser. L'État français doit libérer les cétacés détenus contre leur volonté, fermer définitivement ces geôles et bloquer tout nouveau projet.