Parce que la bile ne suffit, on prélève aussi aux ours leur patte

Les ours sauvages des espèces Ursus Thibetanus et Ursus Malayanus ne se reproduisant pas en captivité, les éleveurs achetaient donc les oursons à des braconniers qui tuaient souvent les mères pour capturer les petits. Mais la demande est telle sur l’ensemble du continent asiatique, qu’elle concerne, notamment en Chine, de nombreuses autres races d’ours, plus faciles à élever, et dont la bile est vendue moins cher. Ce sont ceux-là qui restent enfermés des années.
Parfois, quand l’ours est endormi, on lui coupe une patte pour faire de la soupe, sans le tuer, comme nous l’avons documenté. Dans tous les cas, les animaux finissent à la boucherie, leur chair étant également très convoitée.
https://one-voice.fr/fr/blog/la-bile-dours-la-fin-dune-torture-seculaire-au-vietnam.html