Wednesday 08 February 2017 | 379

Fight the dolphinarium decree!

Fight the dolphinarium decree!

Mis à jour le 06 March 2018

The statute which One Voice has been opposing since last September is in the process of being accepted. But there is still time to influence: a public consultation is open until the 1st of March. Get involved to stop it being passed!

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When the consultation was closed, there were no less than 4,500 pages of comments opposed to the draft statute on the Minister of the Environment's website!
This is a great response which must be heard.

No - A 35 year old statute cannot be adapted. No - The cetaceans must accept a life in captivity where they keep dying, one after the other. A prison, whatever its size, remains a prison.

One Voice, supported by the European coalition Dolphinaria-Free Europe, is firmly opposed to the statute which is being prepared for voting. Since September, the association has intensified its activity directed at the minister, to stop France from becoming a dolphin breeding farm.

The few modifications that have been integrated into the statute are just a means of allowing for their activity to continue whilst everything proves that it is time to put an end to this!

The famous Doctor Naomi Rose, a cetacean specialist known in particular for her appearance in Blackfish, confirms this: "It is of course useful that campaigners communicate with the authorities regarding the legal framework on captivity to make it respected, if not to strengthen it, to improve cetacean well-being. But any new legislation should have abolition as its only objective, either immediately or in phases. These small legal steps forward are too time-consuming, deferring the day when these deeply cruel practices are finally banned. As for an exchange with marine circuses, this is recommended. This industry prevails every time with a kind of "greenwashing"."

For his part, the French veterinarian, Pierre Gallego, cetacean specialist and President of Odyssea, reminds us that "it is well known, in the cetacean veterinary world as well as in specialised scientific literature, that bottlenose dolphins in captivity can be exposed to high levels of stress (…) aggressive behaviour between fellow dolphins is not rare. This is exacerbated by the fact that the dolphins live in a confined space and they cannot avoid aggressive behaviour by simply fleeing, which would be the case in their natural environment."

This statute is nonsense. It does not take into account the well-being of animals, as well as the French people's inclination, of which 54% are in favour of banning dolphin and orca shows (survey conducted by IPSOS/One Voice in December 2016). The international context is also not considered; several countries have already banned these shows, or taken measures in this direction, complying with the Helsinki Declaration. In addition, there is the situation in France today, where several cetaceans have died since 2015, including Aicko, a death which was questionable enough that the Tribunal of Nantes accepted our application and have asked for the mandate of an expert to determine the cause of death!

One Voice is not ruling out taking on a Council of State lawyer to cancel the statute if it is adopted, but right now is the time for citizen mobilisation. Support our action by addressing your comments for the public consultation which is open up until the 1st of March.

Here are some arguments which you can use by copying and pasting them in the comments section:

  • Cetaceans are sentient beings with particularly developed cognitive capacities. India has already given them animal person status, as is advocated in the Helsinki declaration, as adopted by 50 international scientists since 2010, and which stipulates that "all cetaceans as persons have the right to life, liberty and wellbeing."
  • In their wild state, cetaceans can swim up to 160 kilometres per day and dive to depths of 60 metres. As a comparison, the space which they have in captivity represents less than 1% of what they can experience in nature (Perrin et al., 2009)
  • The facilities which contain them are not able to recreate the richness of their natural environment. Most pools are small, with smooth sides and exempt from any stimulus (Couquiaud, 2005). It is regularly observed that large carnivorous wild fauna which do not have sufficient space develop behavioural problems such as repeated stereotypical behaviours (Clubb & Mason, 2003).
  • To mix unrelated cetaceans that sometimes come from different regions and different species can interfere with the group dynamic and can lead to dominance related attacks, injuries and illness, sometimes leading to individual death (Waples & Gales, 2002). In captivity, cetaceans cannot flee to avoid aggressive behaviour.
  • The transfer of individuals between the dolphinariums modifies the social links and the fragile balance between groups, and beyond that creates risks for the well-being of all group members, ingoing and outgoing.



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In the subject

The court prohibit Marineland from relocating the orcas before the end of the independent assessment Moana has just died in the chlorinated Marineland prison, the only place he has seen in his twelve years of life. One Voice is going to court again

Comments 379

I accept that publication of my comments is subject to the code of conduct.

Flocrea | Monday 27 February 2017

Non aux delphinarium !
Les cétacés ont besoin d'espace et de liberté et ne peuvent plus être maintenus en captivité connaissant désormais la souffrance et le mal être engendrés par cette détention. Les animaux se doivent d'avoir une existence propre, sans asservissement à l'homme : ce dernier n'est pas plus important que ce qui l'entourent et fait également parti de l'espèce animale. L'équilibre doit se faire dans le respect et la préservation des espèces certes mais non dans l'enfermement et l'abolition de leurs droits.

Sirena | Thursday 23 February 2017

NON aux delphinariums et à toute cette souffrance dont ils sont la cause:

les cétacés sont des êtres sentients aux capacités cognitives particulièrement développées. L'Inde leur a déjà reconnu le statut de personne animale, ainsi que le préconise la déclaration d'Helsinky, portée par 50 scientifiques internationaux depuis 2010, et qui stipule que "tous les cétacés comme les personnes ont le droit à la vie, la liberté et le bien-être".

Les établissements qui les détiennent ne peuvent restituer la richesse de l'environnement naturel. La plupart des bassins sont petits, lisses et exempts de tout stimuli (Couquiaud, 2005). Il est observé de façon récurrente que les gros carnivores de la faune sauvage qui ne disposent pas de suffisamment d'espace développent des problèmes comme des comportements répétitifs anormaux (stéréotypies) (Clubb & Mason, 2003).

Lylùhuasca | Sunday 26 February 2017

Commentaire déposé sur le site des Consultations Publiques le 22 février 2017 :

Oui à la vie en liberté des cétacés!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je suis absolument contre toute forme de captivité et d'esclavage des cétacés (comme de toute autre espèce animale par ailleurs).

Je rejoins entièrement la vision exprimée par Gandhi à ce sujet :
« On reconnaît le degré de civilisation d'un peuple à la manière dont il traite ses animaux ».
Sachant que ces animaux ne sont de toute façon pas les siens, car la Terre et toutes les créatures qui la peuplent n'appartiennent pas à l'Homme, c'est l'Homme qui appartient à la Terre au même titre que tous les autres êtres sensibles, de quelque règne qu'ils soient (minéral, animal, végétal).

GREAT MOTHER EARTH

J'espère alors pouvoir être bientôt fière du positionnement des représentants Français qui doivent, comme le préconise le Dre Naomi Rose acter "qu'une nouvelle législation ait pour objectif l'abolition, immédiate ou par étapes, de ces pratiques foncièrement cruelles".

Comme le précise "One Voice", que je soutiens corps et âme dans ce combat au service de l'intelligence du Coeur au sein du Vivant, visant l'harmonie sur notre belle planète Bleue, "Cet arrêté est un non-sens. Il fait fi du bien-être des animaux, comme de la volonté des Français qui sont 54% à être favorables à l'interdiction des spectacles de dauphins et d'orques (sondage IPSOS/One Voice décembre 2016). Il ne tient pas non plus compte du contexte international, où plusieurs pays les ont déjà interdits ou pris des mesures en ce sens, conformément à la déclaration d'Helsinki. Ni même du contexte français, qui a vu le décès de plusieurs cétacés depuis 2015, dont celui de Aïcko suffisamment douteux pour que le tribunal de Nantes accepte notre requête et mandate un expert pour déterminer les causes de sa mort!"

Les cétacés sont des êtres sentients aux capacités cognitives particulièrement développées. L'Inde leur a déjà reconnu le statut de personne animale, ainsi que le préconise la déclaration d'Helsinky, portée par 50 scientifiques internationaux depuis 2010, et qui stipule que "tous les cétacés comme les personnes ont le droit à la vie, la liberté et le bien-être".

À l'état sauvage, les cétacés peuvent nager jusqu'à 160 kilomètres par jour et plonger jusqu'à 60 mètres de profondeur. À titre de comparaison, l'espace dont ils disposent en captivité représente moins de 1% de ce qu'ils peuvent expérimenter dans la nature (Perrin et al., 2009).

Les établissements qui les détiennent ne peuvent restituer la richesse de l'environnement naturel. La plupart des bassins sont petits, lisses et exempts de tout stimuli (Couquiaud, 2005). Il est observé de façon récurrente que les gros carnivores de la faune sauvage qui ne disposent pas de suffisamment d'espace développent des problèmes comme des comportements répétitifs anormaux (stéréotypies) (Clubb & Mason, 2003).

Le fait de mettre en contact des cétacés qui n'ont rien en commun et qui parfois proviennent de différentes régions ou n'appartiennent pas à la même espèce, peut interférer sur la dynamique de groupe et conduire à des attaques de dominance, des blessures, des maladies, entraînant parfois la mort des individus (Waples & Gales, 2002). En captivité, les cétacés ne peuvent pas s'enfuir pour échapper à une éventuelle agression.

Les transferts d'individus entre les delphinariums modifient les rapports sociaux et l'équilibre précaire des groupes, et au-delà remettent en cause le bien-être de tous les membres du groupe, entrant et sortant.

Les animaux, dont les cétacés, n'ont pas été créés pour divertir les humains mais bien plutôt pour les accompagner dans leur évolution. Ils ont tellement à nous apprendre en termes d'amour, de respect, de sagesse, de fraternité, de bienveillance et de jeu. Et la liste est loin d'être exhaustive.

La synthèse essentielle du conte Indien intitulé "Le 5ème rêve" nous rappelle que "L'homme n'est pas le plus bel animal,..il est le rêve de l'animal ; alors je vous le dis, faites-bien attention ici et maintenant, car que se passerait-il si nous éliminions les dernières des baleines qui sont en train de nous rêver?"

La réponse est simple, nous disparaitrions avec elles, les abeilles et tout le reste...

Est-ce là le devenir du monde que vous souhaitez? En vos coeurs d'enfants, cachés derrière les casquettes institutionnelles que vous portez, et pourtant palpitants, pour vos/nos enfants, pour la Vie dans toute sa splendeur, soyez/soyons ensemble les adultes responsables que la Création attend!

Lors d'une communication animale collective, le porte-parole d'un groupe d'orques sauvages, le plus ancien de ses membres, avait exprimé : "Notre peuple a décidé de rester sur Terre jusqu'au retour des HumainEs Rois & Reines".

Pour ma part, en toute humilité, j'honore du mieux que je peux ce message fort de sens, révélant/réveillant l'essence de notre rôle d'HumUN...et je rends grâce infiniment à mes frères et soeurs animas-liées pour leur compassion à notre égard.!.

Puissent vos casquettes être le vif reflet des couronnes dont chaque être humain est porteur, afin que le laurier reverdisse enfin!

Il est vraiment grand temps de faire preuve de re-con-naissance.!.

En conscience,
Con-cordialement,

Lydiane AUCLAIR

stereden | Monday 27 February 2017

Je suis contre les delphinariums où des animaux intelligents et sensibles sont exploités pour le profit d'affairistes sans scrupules.

anne | Wednesday 22 February 2017

Toute espèce est censée vivre libre dans son milieu naturel.
C'est un droit inné qu'offre la nature pour tout être vivant.
Déplacer les cétacés dans ces espaces confinés relève de la cruauté et de la bêtise.

À l'état sauvage, les cétacés peuvent nager jusqu'à 160 kilomètres par jour et plonger jusqu'à 60 mètres de profondeur. À titre de comparaison, l'espace dont ils disposent en captivité représente moins de 1% de ce qu'ils peuvent expérimenter dans la nature (Perrin et al., 2009).

rbk | Wednesday 22 February 2017

J'ai honte parce que

les cétacés sont des êtres sentients aux capacités cognitives particulièrement développées. L'Inde leur a déjà reconnu le statut de personne animale, ainsi que le préconise la déclaration d'Helsinky, portée par 50 scientifiques internationaux depuis 2010, et qui stipule que "tous les cétacés comme les personnes ont le droit à la vie, la liberté et le bien-être".

À l'état sauvage, les cétacés peuvent nager jusqu'à 160 kilomètres par jour et plonger jusqu'à 60 mètres de profondeur. À titre de comparaison, l'espace dont ils disposent en captivité représente moins de 1% de ce qu'ils peuvent expérimenter dans la nature (Perrin et al., 2009).

Les établissements qui les détiennent ne peuvent restituer la richesse de l'environnement naturel. La plupart des bassins sont petits, lisses et exempts de tout stimuli (Couquiaud, 2005). Il est observé de façon récurrente que les gros carnivores de la faune sauvage qui ne disposent pas de suffisamment d'espace développent des problèmes comme des comportements répétitifs anormaux (stéréotypies) (Clubb & Mason, 2003).

Le fait de mettre en contact des cétacés qui n'ont rien en commun et qui parfois proviennent de différentes régions ou n'appartiennent pas à la même espèce, peut interférer sur la dynamique de groupe et conduire à des attaques de dominance, des blessures, des maladies, entraînant parfois la mort des individus (Waples & Gales, 2002). En captivité, les cétacés ne peuvent pas s'enfuir pour échapper à une éventuelle agression.

Les transferts d'individus entre les delphinariums modifient les rapports sociaux et l'équilibre précaire des groupes, et au-delà remettent en cause le bien-être de tous les membres du groupe, entrant et sortant.